mardi, novembre 09, 2004

A la mémoire de zawy

Premièrement, nous n’avons aucun devoir de mémoire vis-à-vis de zawy (putain,voilà un nom qui coute cher, au scrabble !).Ce planton devenu multimilliardaire par la grâce du 12/12 a toujours était uneépée de Damoclès suspendu sur la tête de toute pauvre famille possédant un accèssur une place publique.Pour lui, rien à foutre si ces maisons brulent dans un quelconque incendie, etque les pompiers n’arrives pas à y accéder, car ladite place à était octroyer augrand frère du président.Deuxièmement, le proxénétisme, monsieur le maire, on peux en parler si vous levoulez, mais après, une fois que vous vous serez suffisamment calmé pourapprécier mes blagues. Oui, en effet, en tapant les mots « smassid » et «proxénète » dans le moteur de recherche « tlahlih des salons noikchottois » onobtient pas mal d’anecdotes véridiques.Mais bon, ça ce sera pour une prochaine fois, en attendant, voici une autresanecdotes, véridiques aussi comme les autres, d’ailleurs tout ce que je racontesur cette pègre est véridique, et c’est ce qui vous met, vous monsieur le maire,dans tout vos états !Ah, j’ai failli oublier, toute les qualités que vous m’attribués sont exactes :je suis méchant proxénète obscène tout ce que vous voulez, et même davantage.Je récuse un seul adjectif : je ne suis pas du tout menteur, et vous le savezbien, tout ce que je dit est la stricte vérité, ni plus ni moins, en plus c’estvérifiable, tout les acteurs sont encore parmi nous, sauf ce cher et nonregretté zawy.Bon, lisez plutot l’anecdote :Il est de notoriété publique que feu zawy était un grand amateur de biensimmobiliers de toute sorte : titres fonciers, terrains, ... etc.Chaque nouveau directeur des domaines avait droit, au soir de sa nomination, àla visite de félicitation de zawy, façon de lui rappeler qu'il doit concéderquelques terrains bien choisis, s'il veut conserver son poste.Seulement voila, le président venait de nommer un negro-africain à ce poste, etzawy ne parle pas un mot de français, tant pis, il ira quand même le féliciter.Et au moment de prendre congé, il lui lance sa phrase habituelle.Et le pauvre directeur de téléphoner à tout ses amis maures pour leurs demander: mais que veut dire le frère du président, quand il me dit "ne m'oublie pasdans le sable" !