samedi, février 05, 2005

Re : les 20 gloria de ould kebd

au secours, ould kebd revient, mais au fait, quand est ce qu'il est parti ?un retour en arrière d'au moins 15 ans s'impose, abdallahi est grand opposant,qui a fait de la prison pour ses idées et qui a subit la torture, mais leséléctions de 1991 sont un échéc, et l'ambitieux pressé s'impatiente, les soeuresson célibataires, et malgré cela elles font tout pour que abdallahi ne manque derien, y compris accepter les avances pas très catoliques de quelques messieurs,pour que le boubou de abdallahi ne soit pas moin "gommé" que celui de bechirould moulay el hacen.abdallahi n'en peut plus, alors il fait un saut à nouadhibou et tombe sur lafille de salke mint sid'ahmed (femme d'affaire smassid), que les potes sepassait de main à main, il comprend très vite le benefice qu'il pourrait tirerde cette pauvre fille.la suite est connu, présentation à quelques pontes smassids, dont baham ouldejiwen ( de Eidawaly mais sa mere la fille de hemedy dit Edehah ) et deddahiould abdallahi, mariage en grande pompe, véhicule 4X4 VX flambant veuf et voyagede noce à l'étranger, la vie quoi.dans la foulée, un poste est crée à la présidence, pour lui, taillé sur mésure.le problème de abdallahi est qu'il ne sait pas s'arreté, tel un iznogoud, il avoulu être kalif à la place de louleid, ce dernier ne voyais pas de très bonoeil cette proximité et cette complicité naissante entre abdallahi et ould taya.mais louleid est patient et abdallahi est pressé, il ne manque pas de fairequelques petites erreures de parcours, impardonnables dans les coulisses dupalais brun, et le voila balancer conseiller à l'ambassade de wachington, loin,très loin, du centre nerveux des prises de décision, là ou se font et se défonsles carrières, au gré des sautes d'humeurs du chef.mais les enuits ne s'arrete pas, l'ambassadeur de l'époque, bilal ould werzeg,ne le blaire pas, et abdallahi non plus, alors ce dernièr attend une occasion,celle-ci se présente le jour ou bilal est convoqué à nouakchott, abdallahis'installe alors à l'arrière de la voiture de l'ambassadeur, celle avec lepavillon sur le capôt, et arrive à l'ambassade, il voulait assurer l'interim, etmontrer aux éspions de l'ambassade qu'il est capable de remplacer bilal.à peine installé sur le bureau de bilal, la femme de l'ambassadeur rentre dansle bureau, comme une furie, et crie à abdallahi : "tu n'attend même pas qu'on tesignifie que tu le remplace, pour prendre sa place, mais si bilal est diplomate,moi je ne suis qu'une esclave (khadem m'diembra), et je ne te le dirait pas deuxfois, sort d'ici".abdallahi a voulu argumenter mais la gifle qu'il reçoit l'empeche d'en placerune, elle le chasse à coup de pied dans le derrière et il sort du bureau lacravate defaite et la chemise déchirée, personne ne s'est interposer.la femme de l'ambassadeur ferme alors le bureau à clé et demande au chauffeur degarer la voiture derrière, dans la cour, et de lui ramener les clés, avant dedire à tout le monde : "j'appele mon mari et je lui demande à qui je doit donnerce trousseaux de clé" avant de quitter les lieux, la tête haute.l'incident n'est pas apprecier en haut lieu et voila que abdallahi atterit àtunis, comme conseiller de l'ambassadeur de l'époque, q'rini, un kounta qui nese prend pas pour de la m... (excuser le pléonasme).les enuies commencent, et voila que le pauvre abdallahi est reballotté à nouveauvers une nouvelle déstination, cette fois-ci ce sera l'espagne.au dernières nouvelles, il hantait les salons nouakchottois en ventant lesmérites de ould taya, mais sa flagornerie ne trompe plus personne, et quand, auhasard des cafés éuroppéens, il rencontre une vieille connaissance de la periodede lutte qui n'a pas tournée sa veste, il tiens un discours bizarre du style :"ould taya est devenu fou, il mène le pays droit vers la guerre civile, vous,essayer de le faire tomber, et nous, on va essayer de temporiser ses ardeursafin que vous récuperiez quelque chose, mais au final, nous oeuvrons tous,chacun de sa position, pour le même but".en tout cas, il avait au moin, jusqu'a hier, la dignité de se taire, mais là,dèche oblige (la toyota VX est remplacer par une banale mercedès 190), il sembledésormais prêt à tous les sacrifices, quitte à tomber aussi bas, et être reduità chasser sur le terrain des laudateurs des bas étages, telles que meimouna minttaghi et sid'ahmed ould zein.même daha ould teiss n'est pas tomber aussi bas.à propos des deux zigs, il parait que meimouna a dit que l'internet ne vaut pasle coût (mahou sawi), qu'on s'éxpose trop, qu'elle a une famille, un mari et desenfants (tiens, elle vien tout juste de le découvrir, fallait y penser avant defricotter avec le ministre ! ), ou peut être qu'elle veut une augmentation,allez savoir.quand à sid'ahmed, il en est reduit à faire des P.C.C.C. des articles de ouldkebd, pensant sans doute que ces lettres renderons l'article plus "officiel".abdallahi, sans rancune, mais on t'as connu plus "fin" !!!à suivre ...

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

x tu es con
et adellahi ould kebed youdh3ou

13 juillet, 2006 03:46  

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