taya échappe, de peu, à une tentative d'assassinat

avant-hier taya et yaya jameh n'ont finallement pas prie la route d'atar, levoyage était prévu par avion hier, 09/02/05. la délégation était déjà au bord del'avion, au grand complet, et ne menquait plus que les deux présidents, dontjustement le cortège venait de franchir le portail de la présidence, quandsaudain le téléphone du résponanble de la sécurité sonne, et immédiatementaprès, celui-ci ordonna le démi-tour. motif : une bombe venait d'être découvertedans le chariot qui transportait les bagages dans la soute, et ce chariot devaitjustement se trouvait sous l'appareil, au moment même ou les deux présidentserait en train de monter la passerelle. on arrete le résponsable du chariot,qui avoue, sous la torture, qu'un ami à lui, qui travaille à l'aéroport, l'avaitsupplier de transporter le chariot, disant qu'il voulait absollument voir tayade près, tellement il l'admirait, et comme le responsable du chariot étaitdébordé, il lui a laissé cette tache minime. on cherche l'ami en question, maisen vain, évapporé, la rumeur le dit déjà hors du territoire, en route versmohamed ould cheikhna. taya et jameh doivent s'envoler aujourd'hui, pas questiond'annuler le voyage car jameh doit demander la main de l'une des mnatt taya,mais pour que l'honneur reste sauf, la publicité smassid dit qu'elle n'est pasréellement mint taya, mais une haratine élevée par la famille et qui porte sonnom, pour que la dévise de la tribu reste inchangée : pas question de donner unebidane à un kowry, fut-il président.