mercredi, janvier 17, 2007

ely ould mohamed vall : j'y suis, j'y reste !

un anonyme a dit :

"Mais Monsieur X tu dors ou quoi? la rumeur circule maintenant que ElyCom va se présenter à l'élection présidentielle et qu'un gouvernement d'union nationale va être constitué ..etc..etc".
fin de citation.

non cher ami, je ne dort pas, je suis même très "éveillé", c'est juste que j'en est un peu marre d'avoir raison.

là, je ne sait pas quoi faire, ni quoi écrire.

ely futur président de la mauritanie ? et alors ? qu'est ce que tu veux que j'y fasse ?

il y'a quelques mois, quand j'ai mis ely parmi la liste des présidentiables, j'avait essuiyé sarcasmes et moqueries, et pourtant j'avait pris des pincettes, j'avait précisé que je "n'ecarte pas la possibilité qu'il se présente" à la dernière minute, j'ai voulu y aller doucement, ne pas choquer ni provoquer, presenter la chose de manière hypothétique, afin que l'opinion ne là rejette pas de prime abord, et apprenne à combattre le mal dans l'oeuf.

peine perdue.

ely futur président ? franchement je m'en fout comme de ma dernière paire de "çammara" lol, j'estime que j'ai fait plus que mon devoir, ma conscience est tranquille, et entre nous j'estime que nous l'avons bien mérité, maintenant ely sait qu'il peux faire de nous ce qu'il veux, personne ne protestera, ou alors très peu, et quand ce sera trop tard. le jour ou il envisagera, juste pour rire, de nous vendre tous, jusqu'au dernier, au marché des esclaves, il y'en aura certainement qu'il vont l'applaudir lol.

serieusement, on sait tous que la loi interdit aux membres du CMJD de se présenter, vous savez quelle sera la parade ? vous allez rire, c'est une trouvaille du trio ahmed salem ould bouboutt, mohamed sidiya ould khabbaz et mohamed lemine ould dahi :

la loi dit "membre du CMJD", mais pas "président" !

depuis la nomination de deddahi à la tête de la direction de la déontologie on avait compris qu'ely a un sens raffiné de l'humour noir, mais là il pousse le bouchon un peu trop loin.

ely est candidat ? c'est une blague c'est vrai, mais je ne sait pas s'il fait en rire ou en pleurer.

lui, il doit certainement en rire.

167 Comments:

Anonymous Anonyme said...

je sui elewal

hafed

17 janvier, 2007 17:17  
Anonymous Anonyme said...

si ely voulé ke le pouvoir pourkoi ne pas fair une dictatur dès le débu.
pkoi vouloir se justifié alor k il pouvai ne pa le fair si il le voulé et person n'alé rien dir.
tou le mond alé l'aplaudir meme com les mauritanien on l'habitud de fair.
moi je pense k'il é tro engagé dan le processus de transition que ce ke vou dite n'est pa possible.
il fau arrété de dir n import koi!

17 janvier, 2007 17:20  
Anonymous Anonyme said...

ya vadma vik inta x o.y inta ella li3yatt manak mwa7l iv chi imchi ya3tik innesekh
et merci

17 janvier, 2007 17:23  
Anonymous Anonyme said...

vive la dictature
vive ely
et a bas le peuple lechbotte et lache.

Bonne soiréé a tous!

17 janvier, 2007 17:24  
Anonymous Anonyme said...

x c parceke un minabl vien te dir san aucun preuv que ely va se présenté ke toi tu croi ça et tu va mem écrir sur ça.
ce n é pa sérieu ni responsabl de fer ca!
c honteu!

17 janvier, 2007 17:28  
Anonymous Anonyme said...

ely ould med vall president?
ps besoin alors de faire vote tout ce blabla,c une perte de temp.

x je suis le premier à t'appeller,mr son exellence ely ould med vall president de la republique de mauritanie.Avec force.

17 janvier, 2007 17:29  
Anonymous Anonyme said...

Je repond au 2nd commentaire de 17h20,

Je te rappelle que Faraounn (qui est dictateur confirmé par le Coran), n'a jamais eu le courage de le revendiquer, au contraire il disait craindre que Moise soit là pour la destruction de bonnes valeurs et.. Donc ce que tu as dit ne tient pas debout. Rappelle toi que le dictateur Taya disait tjrs vouloir instaurer la democratie...

Je pense que quitter le pouvoir n'est pas une chose evidente surtout après s'y être mis par la force. J'imagine deux senariot :

-Le prochain resident est Ely.

-Le prochain president est un pro-Ely (mis par Ely).


J'ajoute que X n'avait vraimment rien à dire pour ce blogg, aucune nouvelle!

Cher X,

Ton opinion est connued'avance, la rappeler n devrait pas constituer un blogg!!!

Bon courage



Moc

17 janvier, 2007 17:30  
Anonymous Anonyme said...

xxyy.
vraiment ils vont gater l'image de notre pays et la je parle aussi bien les militaitres que les civiles ( etvouvou e3lihoum ).
en ce qui concerne la classe politique vous avez vu comment ahmed nous parachite maalouma comme leader des mauritaniens et la les tunisiens connaissent tres bien maalouma!!! habibi heheytou ewe tersavhe!!! quelle leader et quel ahmed.
alors les militaires avec le cmjd qui nous a revé par la democracie
et la avec ces rumeurs et avec l'ingérance "negative" dans le processus ce qui tue l'espoir et encore j'insiste ce qui gate voir detruir l'image de la mauritanie en afrique et partous et la vous vous rappelez heykel yewd3ou
il a raison.
enfin j'espere que se sont juste des rumeurs sinon c'est grave.

17 janvier, 2007 17:36  
Anonymous Anonyme said...

ha ha ha
j'en ris encore.

j'imagine ceux qui sont crié gloire au cmjd,en parlant de l'avenemtn de la democratie de la lliberté de l'egalité et tout ce discours de fanfanrs (lol)
ce qui me fait encore plus rire,c'est ahmed daddh messaoud et autre qui se battent pour avoir le poste que ely e reservé à lui meme ou a son bras droight.
Donc le prochain president c soit ely ou sidioca lol

hugo tu pense koi?

17 janvier, 2007 17:40  
Anonymous Anonyme said...

x le president du cmjd est compté parmis ses membres.
Donc ely n'a tjrs pas le droit de se presenter!Puisque la loi precise ce cas?
droit?je parle de droit en mauritanie!

17 janvier, 2007 17:58  
Anonymous Anonyme said...

je vous signale que la loi qui interdit aux membres du cmjd de se présenter aux élections est anticonstitutionnelle.
donc tout ce qui les tient pour le moment c'est la parole donnée, on verra donc ce qu'elle vaut.

17 janvier, 2007 18:04  
Anonymous Anonyme said...

je crois que ce sera le dernier scenario du film que nous pouvos intitulé (la continuite de la dictature)
comme la si bien dit alioune en ce moment preparer vos valise car ca va chauffer.
comment le peuple le prendra t-il? je ne parle pas des politiciens pour qui tout etait bon pour degager la tayacrasie de la RIM

17 janvier, 2007 18:11  
Anonymous Anonyme said...

de toutes les façons même si Ely ne se présente pas cette fois, il ne sera pas loin pour revenir en force sous pretexte que l'intérêt de la mauritanie est en jeu.Ely restera au pouvoir, les militaires n'ont jamais tenu parole dans notre pays.

17 janvier, 2007 18:23  
Anonymous Anonyme said...

bonjours je suis Mme CHERCHMALA et je ne suis pas contente voir je suis revoltée.

c'est drole de voir que vous etes naif au point de penser que ELY se soucis du droit ou non.c'est quoi la definition de la loi . ELY s'est touyjours moqué par le passé des lois de cepâys qu'il a spolié et raquetter ces citoyens à 200 um .ce pays qui vit par perfusion goutte à goutte.la constitution qu'est ce qu'elle a de plus que l'ancienne elle a été bafouée aussi.
ELY est une pure racaille de la meme espece que TAYA.
moi j'appelle à un soulevement pour le renverser.ou à une rebellions pour le destituer et le chasser lui et tous les predateurs.
aux armes citoyens si les urnes et les dés sont truqués.
CHERCHMALA

17 janvier, 2007 18:24  
Anonymous Anonyme said...

A toutes et à tous,
Si Ely se présente à l'élection présidentielle, soyez prêts pour manifester vos soutiens non pas à Ely mais à celui qui va le déposer .C'est désormais une chose certaine.Rappelez-vous de l'un des premiers reportages SUR LE COUP D'ETAT du 3 AOUT de Mohd babe o.etvagha pour ALJAZIRA.Le CMJD surtout AZIZ et son mounavigh Zneigui Alioune doivent laisser les choses se passer naturellement entre les différents acteurs politiques sans ingérence ni appui pour qui que ce soit.C'est un avertissement.

17 janvier, 2007 18:28  
Anonymous Anonyme said...

X, je t'invite à visiter le site de l'Agence Mauritanienne d'Information, site d'infos officiel de la république Islamique de Mauritanie à l'adresse :

http://www.ami.mr/fr/images/conseil_militaire/galerie/index.htm

Sur cette page il est indiqué en toutes lettres, pour autant que je sache lire :

Les Membres du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie

Il y a la photo des 17 militaires, et la 1ère photo de ces MEMBRES est celle d'Ely Ould Mohamed VALL

Je conseille à tout le monde de faire une photo copie d'écran, car elle vaut son pesant d'or.

Il est officiellement MEMBRE du CMJD, et occupe la fonction de Président du CMJD comme c'est très souvent indiqué sur les dépêches de cette même agence.

La loi doit s'appliquer à tous, y inclus Ely Ould Mohamed VALL, membre à part entière du CMJD et les petits cons qui trouvent des astuces à la "mord-moi-le-noeud" ne sont que de petits crétins !!!

17 janvier, 2007 18:33  
Anonymous Anonyme said...

ELYCOM MA 7ANDOU KARAMA EW MOURTECHI EW SEKIR.

17 janvier, 2007 18:46  
Anonymous Anonyme said...

ELYCOM MA 7ANDOU KARAMA EW MOURTECHI EW SEKIR.

17 janvier, 2007 18:46  
Anonymous Anonyme said...

En tout cas je prefère qu'Ely se présente au lieu de soutenir un civile.
S' il se présente c clair c une dictature à visage découvert que l' opinion nationnale (et internationnale) va rejeter et lui faire subir un échec jamais vu. Alors qu' une candidature sidiok soutenue par le CMJD c trompeur pour beaucoup de monde et ça a déjà convaincu pas mal d'hônetes gens et le premier c sidiok lui même qui ne votera pas Ely.

17 janvier, 2007 19:00  
Anonymous Anonyme said...

g entendu se murmurer que notre presidet vient rendre des visite sur le blog de xoy,car lui aussi il ale net.Et qu dernierment il avait eté trés content de l'article de x ould y:
ely,ou l'empathie.
bizzard cet ely non!
mais aujord'hui il va rougir:

ely,ou le menteur

basep

17 janvier, 2007 19:02  
Anonymous Anonyme said...

Ely a pris des engagements envers les plus hautes institutions internationales de ce monde, que ce soit l'union européenne ou encore l'union africaine ou encore l'OIF

Il fait des déclarations tant à Bucarest, à Paris, à Pékin et partout où il a été "tourister".
Partout il a déclaré qu'il respecterait ses engagements et s'en irait dès le lendemain de l'élection du Président duement élu en mars prochain.

Pour autant que je sache, un militaire ne doit avoir qu'une parole, surtout si c'est celle d'un officier dit supérieur.

Mais bon, il est vrai que cela ne serait pas la premiere fois qu'il renie sa propre parole, sans la moindre vergogne.

C'est une honte pour le pays tout entier, c'est une honte pour la Mauritanie toute entière s'il fait cela. La Mauritanie perdrait toute crédibilité et serait mise à l'index.

S'il fait cela, je renie ma patrie, je demande la nationalité marocaine comme Horma, ou la belge comme Chbih ou encore la danoise comme Daddah, mais je ne veux plus être mauritanie, j'aurais trop honte

17 janvier, 2007 19:24  
Anonymous Anonyme said...

ely president,benediction ou malheur?

A l'approche des élèction presidentiel du 11 Mars 2007,les candidats s'enchaine pour postuler,ce qui cause une "DECHIRURE" politique.

je m'explique.

la CFCD se casse,cette cfcd qui s'etait elle meme reuni sous le dogme de le liberté delocratie et egalité, pour constituer une main forte contre le retours des fantomes de l'ancien regime.Puis l'on a vu s'elargire,jour aprés jour, et devenir de plus en plus pesant les 'independants".
Le derniere des nouvelles que j'ai personellement aprise,non de X ould Y,mais de sources trés fiables,que Ely ould med vall ne compte pas confier la direction de son cher etat a aucune force.Sa parade n'est pas celle que tu exalte Mr x,mais loin de cela.Ely ne veut pas donner le direction de sont pays à des gens qui sont incopetant!il ira plus loin en disant que ceux qui se divisent ne peuvent rien!
Donc ely ould med vall cher amis,a profité de vos intrats- conflits,qu'il a peut etre lui meme provoquer,pour s'emparer du pouvoir.Et tout cela a une pose intellectuel et revendicatrice,pour ecouter et obeïr,à son exellence monsieur le president ely ould med vall.

dr Demos cratos,service presidentiel

17 janvier, 2007 19:36  
Anonymous Anonyme said...

The oral tradition tells us that a certain Ould M'heimid was so powerful in his time to claim that Al-Houd is his, so he can do with it as he pleases. I always reacted to this saying with sarcasm and awe. Sarcasm because the claim is too ambitious to be worth considering, and awe because it shows the prince's high regard of himself to the extent of giving life and taking it.

Maybe history is now on the verge of repeating itself, only now the ambition of the new prince is bigger than Al-Houd. By running for presidency, Ely the prince is telling us that "he can do as he pleases" with the entire nation. He can instate laws just for the pleasure of breaking them. There's a pleasure side to this story of Ely's possible candidacy. I don't think it's only a question of power because the future prince is now in power and has been in it long enough to relinquish it. Oh now! You must be kidding me. You won't understand this aspect of Ely by applying commonsense or any other measure of understanding. Ely is beyond politics and reality and well into fantasy and fiction.

I am afraid, his Excellency is having fun by acting like a playwright who is modeling his characters, spinning his plot and creating his own drama to entertain himself. Ely being the playwright and the spectator, and the nation is the fictive world he shapes according to his wild dreams. So, Ely was just raising our hopes high when he outlawed his right to run only to crash them, drama requires a reversal of fortune and a great tragic fall. Mind you, you're well in the world of Aristotle and his "poetics" but also in the fictive world of Ely. The opposition, of course! How could Ely forget to give a share to his antagonist, his craft forbids. Drama requires a good space for the evil character before the noose is put on his neck at the end of the show. This is what we call poetic justice, rewarding the protagonist and punishing the antagonist or anti-hero. So, Daddah and the rest of the gang can enjoy all the step along the race, they can score some points along the way. But when the play draws to an end, and the last stage of the democratic race – presidential polls- is due, it's Ely who decides. FATE SEALED. WE APPLAUD. ELY'S PLAY IS A SUCCESS, WHAT A PLASUER FOR THE CREATER.

Now we can poke fun at each other, can trade insults for you x have no more editorial authority on us. We are all unreal in the pleasure-seeking craft of Ely.

If the news turns out to be wrong, I'll hold you in respect as I did the first day you broke to me the good news of toppling TAYA. It's up to you Ely to decide which ending our story will take.

mom

17 janvier, 2007 20:19  
Anonymous Anonyme said...

i agree with you.ely is the first maestro of all the process since the puch on 3 august 2005.
By analysing all ely's decisions and his influence on the opposition section and ,rumours,talking of"cmjd'candidat",we culmune at the end of ely transparency .So that,ely took power from taya,not to give it to mauritania,but only to get it for himself.

ely what a lier,you ar going to be.To the dustbin of history!Join your friends,taya saddam and others!

50cent(le faux)

17 janvier, 2007 20:36  
Anonymous Anonyme said...

BONSOIR LES GARS
BIGPAPA
pendant que vous discutiez du futur président , dites nous comment ely fera une merde pareille.
(il n'est pas bête )
Oui c'est une merde de gouverner un pays où les gens changent de face comme un caméléon.
"je flipais mais j'ai quand même réussi à le passer ce fameux referendum,là je viens d'empocher la cagnotte (petromillion),mon bout a matout m'a tout transféré ,il en reste donc de prendre les billets et décoller vite fais car taya était trop con (houwe mavhemhe meskin).
merci et n'euillez pas le culot de dire le contraire .

17 janvier, 2007 20:39  
Anonymous Anonyme said...

bonjour trojan
veux tu m'envoyer mon colis cad "la prison nomade"et les calebasses noires ,car en fait je doit revoir ce livre tres interressant pour mieux connaitre la mauritanie de ma grnd mere;et les oulad ebieri qu'est ce qu'ils ont fait dans tout ça?

17 janvier, 2007 20:47  
Anonymous Anonyme said...

hugo mon ami est porté disparu!
quelqu'un l'auré croisé ici?

HUGO T là?
je me casse bientoto?

sniper

17 janvier, 2007 20:53  
Anonymous Anonyme said...

toute cette histoire c'est une rumeur véhiculée par la CFCD et en particulier le clan de daddah pour gacher la fin de la transition....
c'est un coup classique
c'est de la pure et bonne intox

17 janvier, 2007 21:01  
Anonymous Anonyme said...

hugo espece de videur!
et tu ose me traiter de videur?
ki vide l'autre à present!
tu prefere le bassi et yassa au debat sur l'avenir enjeu?

k'en meme je te souhaite bonne night,et bon apetit(noubli pas badia,avent de te coucher,ca aide!)

lol

sniper le non snipé,encore

17 janvier, 2007 21:10  
Anonymous Anonyme said...

Sniper ton pote est là, le débat ne fait que commencer!

17 janvier, 2007 21:35  
Blogger Maatala said...

bonsoir

Je ne connais pas les intentions de Ely ,mais je crois que les Damitudes CMDJiennes ont en horreur le mois Mars 2007.Car elles auraient compris 2012 voir 2017,pour refiler le pouvoir à ces incapables de civils et leurs pintades(désolé).

Encore des émules de Mint Tolba dit le Fou

maatala

17 janvier, 2007 21:39  
Anonymous Anonyme said...

Sniper depuis quand dors-tu à 21 h 10?
Là tu me casses ma soirée!
franchement c'est n'importe quoi.
ouh sniper,
ouh sniper !

17 janvier, 2007 21:57  
Anonymous Anonyme said...

Chavez, you and sniper are becoming close friends, perhaps closer than you're willing to recognize. But did it ever occur to you that a sniper is the core of American war style. In the revolutionary style of Latin America, we're happy with the guerilla. To your mind, do sniper and guerilla go together.

mom

17 janvier, 2007 22:08  
Anonymous Anonyme said...

mom il faut garder ses amis proches de soit et ses ennemis encore plus ( lol ).


Sniper si tu lis ça demain en te réveillant après une longue nuit de sommeil,( de 21 h 20 à 12 h ça fait 15 heures de sommeil mon p'tit bédouin), sache que j'ai écrit ça juste comme figure de style... ne te vexe pas.
sniper le non snipé ( sauf quand il dort )

17 janvier, 2007 22:22  
Blogger Maatala said...

bonsoir

Reveillez-vous

Car tout fou le camp :ils seraient en train de nous mitonner un coup d'état juridique(sic).

Vingt ans à se dorer la pillule sous la clim cela semble vous changer un bidasse en Moine.

Il ne manquerait plus que Hannana donna une formation militaire au membres de la CFCD.

A quand Rambo-daddah dit le FOU

maatala

17 janvier, 2007 22:27  
Anonymous Anonyme said...

Bonsoir, Maatala toi personnellement t'en penses quoi?

17 janvier, 2007 22:28  
Anonymous Anonyme said...

Maatala n'écris pas une thèse non plus ( lol ).

17 janvier, 2007 22:41  
Anonymous Anonyme said...

Franchement vous etes naifs? je n'ai jamais cru en democratie en mauritanie et depuis lontemps j ai perdu espoir dans le pays car j 'ai aucun proche militaire donc j'ai decidé depuis 10ans d' hbiter au senegal avec toute ma famille et vivre tranquille au moins dans un pays stable car j'ai eloigé ma famille de la guerre et de toutes ses consequences!
la mauritanie c'est un mort -né malheureusement
donc je conseille tous les mauritaniens honnetes d'eloigner leurs famille de cette zone minée des embuches et d explosif ;;;;;
je suis trop desolé et pourtant je suis optimiste mais ça c'est une realité qui s'approche!

17 janvier, 2007 22:42  
Anonymous Anonyme said...

About time to pack up. Take your family and run to nearest border. Good strategy to flee "elkawassa"(lol)

17 janvier, 2007 22:49  
Anonymous Anonyme said...

Il a en outre promis de rendre le pouvoir à des autoritées civiles démocratiquement élues en mars 2007. Présidé par le colonel Ely Ould Mohamed Vall, ancien directeur de la Sureté Nationale, le Conseil à adopté une charte constitutionnelle interdisant à ses membres ainsi que les membres du gouvernement de se présenter aux futures échéances electorales et instituant de fait une stricte neutalité de l'État par rapport aux futures échéances electorales.

17 janvier, 2007 22:49  
Anonymous Anonyme said...

va te faire jouer avec ton anglais pourri

17 janvier, 2007 22:58  
Anonymous Anonyme said...

What? Insults. No problem, I'm playing with my English anyway. But your English, not for millions. I can't tolerate it let alone to play with it (lol)

17 janvier, 2007 23:04  
Blogger Yanis le R. said...

A 7 ou 8 jours de la fin du depôt des candidatures à la présidence (45 jours avant le 11/03), il est illogique qu'Ely et le CMJD fassent une aussi grosse bévue.

C'est impensable dans la situation actuelle sauf à une seule condition: créer un faux coup d'Etat (ou un faux attentat) et repousser l'échéance électorale avec par la suite des manifestations de soutien (à la Haimassou) à travers tout le pays suscitées par des acolytes et des indépendants-dépendants reclamant "le Messie" (pas l'autre con de Saharamedia...).

Et le coup est joué!

C'est comme cela que bien des chefs militaires qui étaient venus "redresser" une situation sont restés bien longtemps (Nasser et "l'attentat" d'Alexandrie, Kaddafi, Pinochet et bien d'autres toutes dimensions gardées).

Je n'y crois pas mais c'est le seul scénario qui me semble possible et jouable.

17 janvier, 2007 23:23  
Anonymous Anonyme said...

bigpappa
x ,
il est de ton devoir (car tu dis la verité qui parait-elle enerve certains ,car authentique)
hé ben de nous faire une note de conso (comme chez un bar)pour notre elycom
histoire de dire aux cons qui n'arrêtent pas de chanter les lounges,que leur prési est mafiosi.
tu diras peut être que t'as déjà tout fait sur cette question . Mais
c'est confus et pénible à chaque fois d'aller d'un blog à l'autre.

allez un pti bilan eco vite fais

17 janvier, 2007 23:28  
Anonymous Anonyme said...

La loi dit que tous les articles et closes, de la constitution sont mis au point mort en cas d'urgence. Et c'est là la subtilité du droit mauritanien car justement la mauritanie est en état d'urgence depuis l'arrivée du "Mehdi" attendu ! lisez cet article:
http://www.saharamedia.net/?ArtID=428&alles=1&ArtCat=1
L'observatefaire..

18 janvier, 2007 00:05  
Anonymous Anonyme said...

Je serais tres content de voir une candidature du Colonel Ely Ould Mohamed Vall.
Je ne vois aucune contradiction entre cette position, mon soutien ferme pour son Excellence Moawiya Ould Sid'Ahmed Taya et mon opposition aux coups d'etat.
Notre pays est sur le point de plonger dans une crise aux consequeces graves. J'ai lu avec une tres grande attention l'interview de Mr. Ahmed Ould Dadah. Je constate egalement que chaque homme qui possede un parti politique, se croit deja President de la republique. La farce et l'irresponsabilite' de la classe politique nationale nous obligent a' continuer a' placer les interets superieurs de la nation Mauritanienne avant quelques interets individuels et egoistes.
Etre candidat a' l'election presidentielle Mauritanienne est devenue une farce. Nous avons deja pas moins de 20 candidats. Comme chaque Mauritanien se veut candidat, je pense que Colonel Ely doit avoir le meme droit que ses compatriotes. Ne me dites pas la charte du CMJD a dit ceci ou cela! C'est le CMJD QUI L'A CREE'E ET IL PEUT LA MODIFIER A' TOUT MOMENT!

Le nombre eleve' des candidatures et les menaces directes ou voile'es des uns et des autre, me font croire qu'il n' y a aucun serieux au niveau de la classe politique. LA SOLUTION SERAIT DE PROLONGER LE MANDAT DU CMJD OU DE LAISSER COLONEL ELY DEVENIR CANDIDAT.

APRES TOUT, N'OUBLIONS JAMAIS QUE LE CMJD A CREE' LE PROBLEME AVEC SON COUP D'ETAT DU 3 AOUT 2005. IL A L'OBLIGATION MORALE DE LE RESOUDRE!

PS.
Je ne suis contre aucun des candidats declare's. Je n'ai fait qu'exprimer une opinion en fonction de la situation actuelle qui existe au pays.

18 janvier, 2007 00:06  
Anonymous Anonyme said...

bigpappa
anonyme
je suis d'accord avec toi
choisir le moins nul parmis tous.
c'est ely car lui il ne sait que dévorer l'argent l'argent mais vu qu'il a tellement bouffé qu'il est entrain de devenir honnete , les daddahet autres crevars on acceptera pas qu'ils font ce qu'ely a déja fais.
vaut mieux garder son chauffeur et réparer la baniole que de chercher un autre chauffeur pire!
engros on veut pas un autre ely
celui la suffit largement.

18 janvier, 2007 00:16  
Anonymous Anonyme said...

Nous sommes un peuple LACHE ! "ou ye3melna ma nzarrgou"
L'observatefaire..

18 janvier, 2007 00:29  
Anonymous Anonyme said...

Si le CMJD ne respecte pas ses engagements, il s'exposera à toutes sortes de violences légitimes. Personne n'oserait blâmer des putschistes éventuels. Même Sidi ould cheikh abdallahi est préférable à Elycom président. Elycom président, l'arrogance, le cynisme, le mensonge de sang froid et la ruse.

Levez-vous, le plan des nouveaux pompiers pyromanes est extrêmement dangereux:

*Ahmed Ould Daddah devient premier ministre d'un gouvernement d'union nationale.
*Ely Ould Mohamed Vall poursuit la transition encore un an ou deux avant de se déclarer candidat de consensus à la demande des Indépendants, du PRDR et de la CFCD ( si le RFD arrive à convaincre les autres partis ).

Pour faire passer ce plan diabolique, les responsables du montage disent partout qu'ils ont reçu l'accord de Ahmed Ould daddah et espèrent celui de elycom. Pour donner un coup de pouce à toute la manipulation, ils vont multiplier les initiatives "civiques", "patriotiques", "nationales" au nom de la préservation de la paix, comme s'il n'était pas normal, dans toute démocratie, que les gens divergent et se critiquent. En quoi les mauritaniens seraient-ils obligés, pour vivre ensemble, d'aller tous dans le même sens et de s'embrasser tous les matins??

Ensuite, ils vont faire appel à des manifestations "spontanées" de la population, pour clouer le bec au partenaires extérieurs: " voyez, regardez, le peuple a peur de l'avenir, il réclame son sauveur et sa bouée de sauvetage!"

Ensuite, les deux chambres du Parlement se réunissent et votent le nouveau pacte.

A partir de ce moment, vous êtes cuits, c'en sera fini de votre liberté, de vos espoirs, de notre avenir paisible!

Vous savez pourquoi personne ne parle de l'extraordinaire pillage de la mauritanie durant la transition? Parce que nous avons tous fini par considérer que c'est le prix raisonnable de notre émancipation: Qu'ils volent tout, qu'ils emportent les meubles, pourvu qu'ils partent en mars 2007 ou même en avril!!!

Eh bien, voilà, les courtisans qui ont peur d'un futur sans militaires au pouvoir ont décidé de jouer leurs dernières cartes. Nous sommes la mise. Je ne veux pas être perdu dans cette partie de poker. Vous ne voulez pas, nous ne voulons pas!

Yanas khleytou, réveillez-vous!!!

18 janvier, 2007 02:03  
Anonymous Anonyme said...

OS SAID
X ,I LIVE FAR AWAY FROM THERE.PLEASE I WANT TO KNOW THE LIST OF ALL THE SENATOR'S CANDIDITS.
THANKS.

18 janvier, 2007 03:36  
Anonymous Anonyme said...

Je pense qu`ely nous prend pour des cons remarquez qu`ely parle toujours comme s`il est le president a vie de la Mauritanie
il y a donc deux senarios

1)ely nous place un zig du genre elamine zerwal en algerie "le note sera sidioca."

2)ely fera comme ould taya quand la lois interdisais a un militaire de se presenter a la presidence il demissionne de l`armee et reste cas memme president jusqu`a sont election .

18 janvier, 2007 07:18  
Anonymous Anonyme said...

Oh!Oui la rumeur persiste et ça plait à tous les nouveaux pardon je devrais dire les anciens nouveaux de l'entourage presidentiel.Dahi et Khabaz ok je peux comprendre avec la manière qu'ils ont eu leurs titres universitaires mais notre 1er agregé national qui s'en mêle là on est mal parti et sùrement pour de bon.Pauvre Mauritanie.

18 janvier, 2007 08:15  
Anonymous Anonyme said...

la rumeur change chaque jour de candidat , les militaires d'après x et bien d'autres ontv appele les gens a vote sidioca aujourd'hui c'est ely lui meme qui sera le candidat parceque il est le president du cmjd donc il n'est pas membre de cette instirution ! c'est logique ca , un pays qui a des intellos qui parlent de cette maniere allah iaoun ,d'autres (pour ne pas dire les derniers putchistes forgerons+abids+smasid idawali)parlent du president democratiquement elu comme si les blogers ne sont pas rabin vi lekhyam.
j'aime dire sous taya les elections ont ete toujours truques meme avec le soutien accorde par les commercants ,les fonctionnaires -c'est vrai le choix n'existe pas ou avec nous ou vous etes terroriste_s
notre opposition a malhereusement montree qu'elle est egoiste ,avec les candidatures annoncees en serie de ces chefs
enfin je dis que malh ns sommes un peuple ou le patriotisme n'existe plus .
les maures ne regardent que l'interet de la tribu et les negros celui de leur ethnie.
pour moi la democratie est un luxe voire un danger ,il faut beaucoup des sacrifices pour y arriver.
nous meritons

18 janvier, 2007 09:13  
Anonymous Anonyme said...

a madame cherchmala
je crois que vous avez ete tres revolte surtout que votre espece est connu pour sa tranqulite .
je crois que monsieur sera contraint a vous divorcer surtout que c'est seulement le pretexe qu'ilcherche ( il est tres avare pour entretenir une femme ces jours ci ,et de plus si elle a dans la tete d'etre connectee sur le net )
avant de quitter j'aime encore dire que cherchmala nom d'origine berbere indique chez nous les gens de 10 une "femme"
prier comment les gens d'ehel chargh appelle cherchmala monsieur x reponse

18 janvier, 2007 09:27  
Anonymous Anonyme said...

Bravo X,

c'est la deriniere me parait de poupées russes (l'autre blog)..

sidioca tga3ess notre ra3iss doit etre Ely gale3ha b dhra3ou

Youma ma t5ally el3iyel dir l'adage

Sherara

18 janvier, 2007 09:30  
Anonymous Anonyme said...

pour celui qui dit youm ma tkhali rajel,chez nous les ely youma tkhali ala rajala

18 janvier, 2007 09:37  
Anonymous Anonyme said...

SI ON EST PRESIDENT DE QUELQUE CHOSE, ON N'EST PAS MEMBRE DE CE QUELQUE CHOSE...

DONC DEMAIN SI ELY EST PRESDIENT DE LA MAURITANIE, IL N'EST PLUS MEMBRE DE LA MAURITANIE ET DONC CESSERA D'ETRE MAURITANIEN?

LAISSON LE SE FAIRE DESIGNER PRESIDENT. DEMAIN ON UTILISERA LA MEME LOGIQUE POUR LE CHASSER DE LA MAURITANIE PARCE QUE SI ON SUIT SA LOGIQUE, IL N'EST PAS MEMEBRE DE LA MAURITANIE...

PETIT DAHI CHERCHE AUTRE CHOSE...PETIT DAHI AVAIT DISPARU DEUX SEMAINES POUR REFLECHIR A LA QUESTION...APRES DEUX SEMAINES DE REFLEXION, IL RAMENE UNE CONNERIE PAREILLE...
PETIT DAHI TU MERITES PAS TON SALAIRE...T VRRAIMENT TROP PETIT POUR CES CHOSES

18 janvier, 2007 09:52  
Anonymous Anonyme said...

A visiter pour voir qui est membre du CMJD (Agence Mauritanienne d'Information)

http://www.ami.mr/fr/Conseil_Militaire/Conseil_militaire.htm

Les Membres du Conseil Militaire pour la Justice et la Démocratie 

18 janvier, 2007 09:55  
Anonymous Anonyme said...

دعاة الإصلاح إن هدفكم بعيد المدى لأنه ببساطة إعطاء كل ذي حق حقه لا تغيره التغيرات السياسية ولا يبدله اسم ولا قبيلة ولا جهة ساكن القصر الرمادي إن ما يهمنا جميعا هو مطابقة الواقع المعيش لمتلطلبات الدين والدنيا فنحن مجتمع مسلم يعتمد على التنمية الحيوانية والزراعة وشيء من الصناعة الحديثة والمواد الأولية وما علينا إلا متابعة المسؤولين من أعلاهم إلى أدناهم نحذرهم من المفسدين ونرغبهم في أهل التقوى والإصلاح ونحمد الله تعالى إن وجدنا من يقوم بالشأن العام على الوجه الذي يرضي الله تعالى فنحن إن شاء الله مرشدون موجهون لا قادة أو قضاة ووجودنا في تشكيلات سياسية متنوعة وأنا من قبائل وأعراق شتى خير دليل على ذلك فهلمو جميعا إلى ما ابتعثكم له مأجورين إن شاء الله تعالى وتعاملوا مع الجميع ما علمتم صدق نياتهم فإن الإصطلاحات ليست القياس الوحيد وإنما ما يحسنه هؤلاء وأولئك وما هم على استعداد للقيام به فأعينوهم على الإصلاح ما أصلحوا وحذروهم وحذروا الناس منهم ما مالوا إلى الفساد وأهله والله يوفقكم والسلام عليكم ،ولا نؤتى من قبلكم

18 janvier, 2007 10:02  
Anonymous Anonyme said...

Salut la compagnie de poules mouillées!
Ely candidat? Décidément, les rumeurs ont force de fait dans cet espace?
Admettons que ce soit vrai. Quelqu'un a-t-il ici le courage de clamer haut et fort à visage découvert qu'il est contre.
Où est-ce parce que x-ould-y (un copin de l'école annexe) vous a entraînés dans les méandres des rumeurs et de la lâcheté de son anonymat que vous, non plus, n'avez plus le courage de défendre vos convictions.
Bravo x tu es entrain de faire de cet espace un univers de lâches comme toi. Et là franchement, tu excèlles.
Alors, si vous persistez comme cela, Ely (et celui qui lui succedera) a de beaux jours devant lui.
En attendant x-ould-y peut continuer à vociférer vous donnant l'impression d'un juste mais en réalité ce n'est qu'une mauviette tapie dans l'ombre pour discréditer des hommes et des femmes pour des raisons personnelles.
Guévara

18 janvier, 2007 10:11  
Anonymous Anonyme said...

QUATRE SOLUTIONS POUR QUE ELY RESTE AU POUVOIR

NOTRE SERVICE a refléchi à "la question" et propose ce qui suit à son excellence le Président du CMJD:

1. Vous pouvez changer d'état civil: votre nom connu du public est ELY OULD MOHAMED VALL, mais votre vrai nom est ELY OULD ELEYA

Donc vous pouvez faire valoir votre droit à la candidature puisque les deux noms ne correspondent pas. Il suffit pour cela de changer de look: rasez la moustache et laisser pousser une petite barbe, et le tour sera joué..."c'est pas ley, c'est son frère qui était en Angola", diront les ouléma...Mais où est passé le vrai Ely? demandera Messoud. "Le vrai Ely est en brousse, il a pris des vacances bien méritées", lui répondront les Ouléma..."Où ça en brousse", insiste le Harnos sceptique. "dans l'Azéfale", diront-ils...Messoud s'en va, étouffant un rire.

2. Faites un faux coup d'état (je conseille de faire appel à Hanenna et ould Semmani, votre cousin salafiste - ce dernier rendra les chancelleries occidentales plus indulgentes à votre égard)...Alors les gens seront heureux de vous revoir reprendre le contrôle de la situation et vous accorderont un répit d'au moins un an.
Après quoi brulez les ordinateurs du MINT et saccagez le bureau de la CENI pour faire disparaitre les listes électorales - cela vous donnera encore 7 mois de plus.Soit en tout 19 mois.
Après ce délai, faites disparaitre les membres du CMJD l'un après l'autre et decréter à chaque fois un deuls de 40 jours; il est évident que l'on ne saurait faire voter un peuple en deuil (cela vous donnera 16x40 = 640 jours, soit 21,3333 mois de plus)...

3. Un livre vert comme Kadafi en créant un nouveau concept de "démocratie militaire" par lequel on introduit, outre les pouvoirs classique, un autre pouvoir matérialisé par un Conseil Supérieur des Armées, instance dont dépendent toutes les autres institutions de la "République"...

4. Ou alors réunissez tout le monde au Palais des Congrès et parlez leur comme vous l'avez déjà fait en leur disant ce que vous avez déjà dit:Personne ne vous a aidé à prendre le pouvoir et personne ne pourra donc vous l'arracher par la force...Là "le débat sera véritablement clos"

18 janvier, 2007 10:38  
Anonymous Anonyme said...

Slt x!!
c ca la rumeur. de "il parait que", on arrive rapidement à des affirmations dures comme fer.
je ne voulais pas parler politike, mais là...
d'abord tt le monde ici et en ville affirmait mordicus ke sidioca etait l'homme de paille, la marionette muette, aveugle et sourde de ely. et puis comme par enchantement, en moins de 24h la roue tourne, exit sidioca...
j'avais entendu dire hier ke des initiatives au prolongement de la transition dans la mm ligne ke moustapha ould abeidarrahmane se preparaient activement.
maintenant c ely en personne ki se présenterait comme candidat. non mais les gars STOP!! arretez le délire. c une insulte au génie du fin tacticien k'est ely. il ne se présentera jamais (du moins pas pour ces elections) comme ca à visage découvert. mais les initiatives demandant au cmjd de rester, ca c bien trouvé!! c un travail d'artiste du genre" écoutez, g rien fait, je ss innocent, blanc comme neige. je leur ai dit de se choisir un président en tt liberté, mais ils veulent pas. ils sont dans la rue depuis des jours sans manger ni boire avec femmes et enfants mm les chévres sont là, y a mm eu klk suicides et là ils menacent de le faire en collectif comme dans les sectes. alors je n'ai plus le choix, je ss obligé de rester malgré moi, j'aime trop mes compatriotes pour les laisser tous crever par amour de moi, mais je resterai pas lgt promis"
y en a marre de ces rumeurs ki nous pourissent la vie. remarquez c fait pour ca les rumeurs...
fidèle lectrice

18 janvier, 2007 10:47  
Anonymous Anonyme said...

diaisma poulo beydo séhil SDF(bhamtowo légnol foutankobé) a dit…

Bonjour à tous

voici une partie de l'histoire de notre pays
La composante négro-mauritanienne.
Elle est la première qui occupa le pays, de la préhistoire à l'arrivée des Berbères, au IIIe siècle avant J.-Christ. Très apparentée aux autres ethnies d'Afrique occidentale, elle est surtout composée de sédentaires, agriculteurs dans leur majorité. Elle serait issue de deux anciens grands groupes culturels : le groupe tékrourien (Hal Pulaaren, Wolof, Sérère) issu de ce que j'appellerai le "groupe Wakoré", et le groupe Mandé (Soninké et Bambara) issu de ce que j'appelle le "groupe Wangara".. Ces deux groupes seraient eux-mêmes issus d'autochtones sahariens que les traditions mauresques et négro-africaines appellent les Bâfour. Ce peuple - noir, selon les traditions mauresques - se serait plus tard en partie mélangé aux Berbères nouvellement arrivés du Maghreb au IIIe siècle de l'ère chrétienne. Il fut à l'origine de la plupart des palmeraies des oasis de la Mauritanie septentrionale.

Les sociétés négro-mauritaniennes issues de ces peuples anciens sont agricoles dans leur écrasante majorité. La redistribution et la mobilité géographiques actuelles des populations mauritaniennes résultent du dessèchement historique du Sahara et de l'occupation par les Arabo-Berbères de ce Sahara abandonné par les Noirs, dont le repli se fera vers le sud, dans la vallée du Sénégal. Les modes et systèmes de productions fondamentaux chez les Négro-mauritaniens étant agraires, c'est une lapalissade de rappeler que là où ces populations ont trouvé l'eau en abondance, elles ont établi avec elle et avec les autres ressources du milieu des contrats immémoriaux d'utilisation et de conservation durables, empreints de totémisme. Il faut donc considérer comme condition déterminante des replis vers les zones humides et les plaines d'inondation, non pas les pressions des nomades, mais les altérations du climat et du milieu, qui obligèrent les Négro-Mauritaniens à chercher fortune ailleurs. Lorsqu'elles descendront définitivement dans la vallée du Sénégal et ses affluents dans la deuxième moitié du XIXe siècle, elles n'en continueront pas moins de résister aux diverses pressions et tentatives de domination des nomades du Nord. Ceci est d'autant plus vrai que la nécessité du repli que leur imposa le dessèchement historique du Sahara vers les zones humides plus méridionales ne videra pas totalement les oasis du Nord de leurs autochtones noirs.Tant que les peuples de l'espace mauritanien vivaient dans des États différenciés, et avant que la colonisation ne les réunisse dans l'État territorial actuel et se situant au même niveau technologique, ils avaient su adopter des stratégies de défense qui protégeaient leurs sociétés respectives contre l'agression de leurs voisins, avec les mêmes types d'armes et les mêmes possibilités de les fabriquer ou de les acquérir. Quoi que l'on sache, et malgré l'accent mis par certaines études aux conclusions trop hâtives sur la prétendue supériorité militaire du nomade sur le sédentaire, il est démontré qu'au cours de l'histoire qui précède la traite négrière atlantique, des tribus entières de nomades maures avaient été très souvent assujetties par les États noirs agricoles, comme l'empire du Tékrour, du Ghana, du Mali, du Djolof, du Cayor, du Songhaï et du Fouta Toro (des Satigui et des Almami). Les États berbères Sanhadja d'Awdaghost et almoravide avaient également très souvent soumis beaucoup de tribus noires de l'espace mauritanien médiéval.

de diaisma walahi ko gonga! séhil.

18 janvier, 2007 10:58  
Anonymous Anonyme said...

Refuser d’embarquer dans la transition est le meilleur moyen pour rendre service a la Mauritanie et pour combattre le CMJD qui n'est qu'une continuite de Taya. La "transition" et le "coup d'etat" sont des inventions du service secret et du service de torture et de tueries du regime Taya.
Taya, le CMJD, les independants, le PRDR c'est du Kif-Kif. Ils sont tous les memes.

Quand Taya, ses renseignements, ses tortionnaires et ses sbires decidaient d'etouffer les contentieux, ils n'ont pas trouver une autre solution qu d'inventer un "coup d'etat" et une transition avec l'appui de leurs eternels tournesol, qui se sont metamorphoses en independants.
Cette "transition" est une invention pure et une manipulation donc un Funti comme on dit en Poulaar.C'est une manipulation "subtile". De telles pratiques sont usitees par les dictatures, les regimes agonisants pour manipuler des NAIFS mais aussi pour satisfaire une classe politique les intellectuels qui pensent que la politique correspond a la conquete et a la conservation du pouvoir par tous les moyens.

En qualifiant les autres d'anti- nationaux et de gens incapables parceque ayant refuse ou bien de rentrer ou bien de cooperer avec ce GRAND COMPLOT, la classe politique (dont une partie est NAIVE) cherche a seme le DOUTE ou a propager la PEUR ou encore a saper la moindre cohesion entre les opposants. Suivez bien les soit-disants amis de Taya sont gracies! Quel cinema. Ils sont, en verite, tous des amis de Taya. Independants negro, Sbires Benia Hassan, Tortinnaires c'est du KIf-Kif, Wallahi c'est du 7 et du 6 comme disent les Peulhs.

Le coup d'etat est une invention, la transition en est une autre. L’objectif etant de semer la zizanie et de manipuler les Mauritanians. D'ailleurs le tres fameux CMJd a reussi, en partie, notamment en ramenant les cavaliers du changement qui, helas, se sont constitues en parti (Hatem), Ils nous ont abandonnes a notre sort et nous en sommes pronouncement touches; Ils auraient pu refuser et mettre en branle leur courage et le conjugeur a celui de leurs freres d’armes; Aussi le CMJD a draine les populations pour les votes qui confortent les criminels dans leur jihad contre la Justice. Bien sur que le CMJD s’active, en coulisses, pour ramener les refugies a leur maniere dans un avenir proche notamment en usant et abusant des devises petrolieres pour distribuer des pactoles aux familles des victimes.

La marionette des militaires qui sera nomme bientot aura surement comme premier role de distribuer les pactoles pour faire taire les negres. Je n'ai aucun doute.

Le mensonge qui entoure le "coup d'etat" du 5 Aout 2005 relaye a l'etranger par de l'intoxication et de la desinformation autour d'une fallacieuse volonte des militaires mauritaniens "de quitter le pouvoir" pour le passer aux civils eclatera un jour. Le monde, la sous-region et les mauritaniens sauront que Taya, le faux refugie, Ely OUld Mohamed VALL, son CMJD monte de toutes pieces, avec son dosage negro-mauritanien, ses "independants", son PRDR et son renseignement dont les tentacules sont perceptibles a l'etranger, sont les auteurs du complot contre la stabilite de la Mauritanie.

Il n'est donc pas question de s'incliner pour tendre la main a ce regime dont la dangerosite est etablie. Ely n'est pas Toumani.

Toumani a invente une RECONCILIATION VIA LA JUSTICE ET LA VERITE tandis que Ely imposera la RECONCILIATION VIA LES MENSONGES ET LES MANIPULATIONS: Coup d'etat d'abord, Journees "nationales" de reflexion, Elections municipales et legislatives, Elections presidentielles, tout ce vacarme est une perte de temps.

La fissure s'agrandit, l'avernir s'alourdit parce que les elements de divergences profondes prennent le dessus sur les elements de convergences dont il fallait profiter pour justement regler les contentieux entre les noirs et les arabo-berberes. L'Islam, qui devrait-etre un ciment a ete utilise, malheureusement avec l'appui des marabouts Banafas, pour enfoncer le pays dans un tunnel.

Il ne saurait donc etre question pour les noirs de chercher a cooperer ou a se reconcilier a une elite qui a du mal a s’accomoder a l’interet national.

Si et seulement si le "Coup d'etat" etait une ACTION SUBLIME DE SAUVETAGE D'UN PAYS MEUTRI ET D'ACTEURS AYANT REGRETTES LEUR PASSE, Ely et son equipe et ses conseilles tapis dans l'ombre auraient procede comme suit:
1. Demander dans un discours solonel un PARDON a la VALLEE, aux noirs , aux maures, a la sous-region et au monde entier apres les crimes odieux et l'esclavage tolere.
2. Demander a tous les fils du pays non pas de revenir mais d'accepter un debat autour des questions nationales. Ce debat pourrait-etre organise dans un terrain neutre (France, Senegal, Mali, Niger ou ailluers ou les opposants se sentiraient en securite. Opposants, societe civiel, intellectuels se rencontreraient pour lister les voies et moyens pour aider le CMJD a sortir le pays du danger. Definir un model politique qui sied a notre diversite africaine et arabe.
3. Mettre en place une commission d'enquete sur les crimes massifs organises par l'armee, la police que Ely dirigeait; Et identification des responsables qui devraient-etre juges pour subir des condamnations ethqies, sociales et penales pour satisfaire les exigences d'une cohabitation nationale parfaite. Et ce travail est le votre et non celui d'une marionette preparee, dictee pour faire telle ou telle chose abberante.
4. Organiser un retour des refugies, et ce chantier est aussi celui du CMJd et non d'un diablique futur president. Le CMJD qui devrait se sentir COUPABLE est seul responsable de conduire un retour organise des victimes. Vous etes seuls devant Allah et l'humanite responsables de 21 nas de deuil.
5. Ce n'est qu'apres qu'on pourrait alors engager nos populations dnas des luttes electorales pour assainir le pays.

Et comme toues ces conditions ne sont pas a l'ordre du Jour, le coup d'etat est une invention pour justement comploter contre toutes les victimes du regime raciste, esclavagiste et corrompu de Nouakchott.

Adama NGAIDE. Partisan d’une Mauritanie Africaine et Arabe reconciliee dans la douleur et via la Justice et non l’oubli.

18 janvier, 2007 11:10  
Anonymous Anonyme said...

Refuser d’embarquer dans la transition est le meilleur moyen pour rendre service a la Mauritanie et pour combattre le CMJD qui n'est qu'une continuite de Taya. La "transition" et le "coup d'etat" sont des inventions du service secret et du service de torture et de tueries du regime Taya.
Taya, le CMJD, les independants, le PRDR c'est du Kif-Kif. Ils sont tous les memes.

Quand Taya, ses renseignements, ses tortionnaires et ses sbires decidaient d'etouffer les contentieux, ils n'ont pas trouver une autre solution qu d'inventer un "coup d'etat" et une transition avec l'appui de leurs eternels tournesol, qui se sont metamorphoses en independants.
Cette "transition" est une invention pure et une manipulation donc un Funti comme on dit en Poulaar.C'est une manipulation "subtile". De telles pratiques sont usitees par les dictatures, les regimes agonisants pour manipuler des NAIFS mais aussi pour satisfaire une classe politique les intellectuels qui pensent que la politique correspond a la conquete et a la conservation du pouvoir par tous les moyens.

En qualifiant les autres d'anti- nationaux et de gens incapables parceque ayant refuse ou bien de rentrer ou bien de cooperer avec ce GRAND COMPLOT, la classe politique (dont une partie est NAIVE) cherche a seme le DOUTE ou a propager la PEUR ou encore a saper la moindre cohesion entre les opposants. Suivez bien les soit-disants amis de Taya sont gracies! Quel cinema. Ils sont, en verite, tous des amis de Taya. Independants negro, Sbires Benia Hassan, Tortinnaires c'est du KIf-Kif, Wallahi c'est du 7 et du 6 comme disent les Peulhs.

Le coup d'etat est une invention, la transition en est une autre. L’objectif etant de semer la zizanie et de manipuler les Mauritanians. D'ailleurs le tres fameux CMJd a reussi, en partie, notamment en ramenant les cavaliers du changement qui, helas, se sont constitues en parti (Hatem), Ils nous ont abandonnes a notre sort et nous en sommes pronouncement touches; Ils auraient pu refuser et mettre en branle leur courage et le conjugeur a celui de leurs freres d’armes; Aussi le CMJD a draine les populations pour les votes qui confortent les criminels dans leur jihad contre la Justice. Bien sur que le CMJD s’active, en coulisses, pour ramener les refugies a leur maniere dans un avenir proche notamment en usant et abusant des devises petrolieres pour distribuer des pactoles aux familles des victimes.

La marionette des militaires qui sera nomme bientot aura surement comme premier role de distribuer les pactoles pour faire taire les negres. Je n'ai aucun doute.

Le mensonge qui entoure le "coup d'etat" du 5 Aout 2005 relaye a l'etranger par de l'intoxication et de la desinformation autour d'une fallacieuse volonte des militaires mauritaniens "de quitter le pouvoir" pour le passer aux civils eclatera un jour. Le monde, la sous-region et les mauritaniens sauront que Taya, le faux refugie, Ely OUld Mohamed VALL, son CMJD monte de toutes pieces, avec son dosage negro-mauritanien, ses "independants", son PRDR et son renseignement dont les tentacules sont perceptibles a l'etranger, sont les auteurs du complot contre la stabilite de la Mauritanie.

Il n'est donc pas question de s'incliner pour tendre la main a ce regime dont la dangerosite est etablie. Ely n'est pas Toumani.

Toumani a invente une RECONCILIATION VIA LA JUSTICE ET LA VERITE tandis que Ely imposera la RECONCILIATION VIA LES MENSONGES ET LES MANIPULATIONS: Coup d'etat d'abord, Journees "nationales" de reflexion, Elections municipales et legislatives, Elections presidentielles, tout ce vacarme est une perte de temps.

La fissure s'agrandit, l'avernir s'alourdit parce que les elements de divergences profondes prennent le dessus sur les elements de convergences dont il fallait profiter pour justement regler les contentieux entre les noirs et les arabo-berberes. L'Islam, qui devrait-etre un ciment a ete utilise, malheureusement avec l'appui des marabouts Banafas, pour enfoncer le pays dans un tunnel.

Il ne saurait donc etre question pour les noirs de chercher a cooperer ou a se reconcilier a une elite qui a du mal a s’accomoder a l’interet national.

Si et seulement si le "Coup d'etat" etait une ACTION SUBLIME DE SAUVETAGE D'UN PAYS MEUTRI ET D'ACTEURS AYANT REGRETTES LEUR PASSE, Ely et son equipe et ses conseilles tapis dans l'ombre auraient procede comme suit:
1. Demander dans un discours solonel un PARDON a la VALLEE, aux noirs , aux maures, a la sous-region et au monde entier apres les crimes odieux et l'esclavage tolere.
2. Demander a tous les fils du pays non pas de revenir mais d'accepter un debat autour des questions nationales. Ce debat pourrait-etre organise dans un terrain neutre (France, Senegal, Mali, Niger ou ailluers ou les opposants se sentiraient en securite. Opposants, societe civiel, intellectuels se rencontreraient pour lister les voies et moyens pour aider le CMJD a sortir le pays du danger. Definir un model politique qui sied a notre diversite africaine et arabe.
3. Mettre en place une commission d'enquete sur les crimes massifs organises par l'armee, la police que Ely dirigeait; Et identification des responsables qui devraient-etre juges pour subir des condamnations ethqies, sociales et penales pour satisfaire les exigences d'une cohabitation nationale parfaite. Et ce travail est le votre et non celui d'une marionette preparee, dictee pour faire telle ou telle chose abberante.
4. Organiser un retour des refugies, et ce chantier est aussi celui du CMJd et non d'un diablique futur president. Le CMJD qui devrait se sentir COUPABLE est seul responsable de conduire un retour organise des victimes. Vous etes seuls devant Allah et l'humanite responsables de 21 nas de deuil.
5. Ce n'est qu'apres qu'on pourrait alors engager nos populations dnas des luttes electorales pour assainir le pays.

Et comme toues ces conditions ne sont pas a l'ordre du Jour, le coup d'etat est une invention pour justement comploter contre toutes les victimes du regime raciste, esclavagiste et corrompu de Nouakchott.

18 janvier, 2007 11:40  
Anonymous Anonyme said...

Au secour! au secour!
Helas,Vue de loin pour bien des gens(observateurs), la Mauritanie apparaît comme un pays tranquille, calme, sans problème majeur, stable même aux dires de ses dirigeants. C'est une image trompeuse qui égare bien des observateurs ; la Mauritanie est un pays complexe, secret, un volcan endormi, qui couve une crise interne découlant des relations d'équilibre intercommunautaire, aujourd'hui rompues.
Cette perception première, trompeuse à souhait, est due au fait qu'à l'image de beaucoup de pays africains depuis le discours de la Baule, la Mauritanie, elle aussi, dispose de sa " démocratie". Avec une constitution (sur mesure) des partis politiques qui foisonnent, une presse écrite dite "indépendante" mais je préfère dire "presse privée" et de temps à autre, un simulacre de compétition électorale, pour compléter le tableau ; ce sont bien là des attributs, pour qui n'est pas averti, d'une parfaite démocratie, et l'on se croirait dans un pays où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Nos plaintes et nos réserves à l'endroit de notre"démocratie" mauritanienne ne seraient pas alors comprises. Et pourtant ! La Mauritanie recouvre une tout autre réalité, dissimule une face cachée de démocratie raciale !
Telle est la réalité que bien des gens ne comprennent pas. Et pour la faire comprendre il nous faut faire un détour, un long détour, remonter quelque peu le cours de l'histoire récente du pays .

Il est nécessaire de rappeler que la Mauritanie est un Etat conventionnel, artificiel, créé de toutes pièces pour les besoins du colonialisme français en 1904, je vous fais l'économie de la géopolitique de l'époque. La France, par sa volonté, décida donc de faire coexister, dans un même espace, deux communautés, arabo-berbère et négro-africaine, deux communautés, il faut le souligner, qui s'étaient forgées chacune au cours de l'histoire dans un espace autonome, régies par des pouvoirs politiques spécifiques, indépendantes l'une de l'autre. Elles entretenaient naturellement, du fait de la proximité, des relations tantôt amicales, le plus souvent heurtées à cause des incessants rezzous maures opérés, pillant et capturant la population des villages à des fins d'esclavage (origine, entre autres, de la composante haratine actuelle). Depuis l'indépendance, nos chefs politiques, incapables de se départir de l'esprit partisan, tous issus du milieu maure, se sont attelés sans
relâche à développer,tour à tour, des politiques qui, loin de forger la nation encore inexistante, ont conduit à des crises cycliques, répétées, à une déchirure profonde entre les deux communautés.
Par ces politiques nocives développées au fil des années et des régimes que guidait un système inique, on mit en place un apartheid déguisé. Je dis déguisé car on le chercherait en vain dans les textes institutionnels alors qu'il existe partout, pour peu qu'on observe.

Le racisme d'Etat est partout Cette discrimination raciale commença d'abord feutrée, subtile, insidieuse, pour un projet qui allait devenir obsessionnel : construire une Mauritanie exclusivement arabe !
Pour ce faire, des mécanismes furent mis en oeuvre pour que l'Etat soit la"chose" des arabo-berbères ; progressivement, au rythme des résistances qu'opposaient les négro-Africains, ont fit de sorte que les Arabo-Berbères contrôlent la réalité du pouvoir politique et économique, la justice, l'éducation, l'armée.

La diplomatie ne sera pas en reste ; à l'extérieur , il faut afficher l'image d'une Mauritanie arabe par la composition des délégations, le discours et les clichés culturels, il faut gommer totalement l'autre "personnalité" de la Mauritanie. Évidemment, pour masquer la nature discriminatoire des régimes, on va saupoudrer un peu quelques nègres de service, sans responsabilité aucune, personnalités aux genoux tremblants, figurines sans aucun pouvoir de décision !

Un des rouages essentiels de cette machine à discriminer fut l'usage qu'on fit de la langue arabe.Cette langue, introduite très tôt dans le système éducatif... à des fins" d'indépendance nationale", disait le discours officiel ! Vaste supercherie, qui visait en fait à cacher des motivations sordides. On lui fit jouer un rôle non pas d'intégration, non pas d'épanouissement pour tous, mais d' instrument de sélection et de discrimination dans l'emploi et l'éducation pour éliminer les négro-Africains. Les enfants négro-africains commencèrent à échouer massivement. Ce fut la période où il y eut un raz-de-marée sans précédent de cadis, de magistrats, d'enseignants, des centaines de jeunes sautant à pieds joints dans le système, sans aucune formation, et dont le seul critère de recrutement imposait un passage par l'école coranique. Comme si passer par cette école entraînait automatiquement les compétences et les capacités requises ! Un vrai gâchis au plan national, à la base de
l'impasse et de la déchéance actuelle du système éducatif. Ce fut donc le prélude à la rélève des négro-Africains, le commencement de leur marginalisation massive, qui allait se poursuivre et atteindre son apogée avec l'avènement du colonel Taya . Bien entendu, au fur et à mesure des réformes impopulaires et imposées, des réactions d'hostilité ne manquèrent pas de s'exprimer du côté négro-africain. Les réformateurs marquaient alors un temps d'arrêt ; en fins stratèges ils donnaient du mou à la ligne, pour laisser passer l'orage, et obstinément le projet était poursuivi. Beaucoup d'observateurs, se méprenant alors sur le sens de ces crises, les présentaient, à tort, comme des crises inter-ethniques, comme si les communautés arabo-berbère et négro-africaine se dressaient, par animosité, l'une contre l'autre. Ce ne fut jamais le cas. Ces crises étaient à l'image de ce qui se passait au Kwazulu-natal du temps de Botha. Elles étaient orchestrées par nos dirigeants à
des fins politiques, ils les exploitaient alors à chaque fois et judicieusement ; ils les présentaient, en milieu maure, comme des menaces graves aux intérêts et acquis maures, de manière à créer autour d'eux un consensus. Ce fut le cas pour les évènements de 1966, de 1987 et de 1989 pour ne citer que les plus graves et les plus douloureux. Ce n'est pas par hasard si la déportation de 120 000 noirs mauritaniens au Senégal et au Mali ne suscita que peu d'émoi du côté des intellectuels et de la classe politique beydane, où l'on remarquait un silence assourdissant.
Si, par ailleurs, des blancs risquèrent leur vie ou se firent pendre (aux USA avec l'underground) pour la cause des faibles, ce ne fut pas le cas en Mauritanie pendant ces terribles déportations. Seuls quelques jeunes du Mouvement des démocrates indépendants (MDI) allaient faire exception. Or, j'ai toujours eu le sentiment que l'intellectuel ressemblait davantage à Zola qu'à Gobineau ou Goebbels, et qu'il ne pouvait rester sans rien faire, sans rien dire devant l'injustice.

Pourquoi un tel silence ? Le régime du colonel-président avait-il réussi à les convaincre ? C'est là du reste une dimension, entre autres, qui rend malaisée la recherche d'une solution au problème, au regard de l'ambiguïté de ces formations politiques sur notre question nationale. Certaines formations, si elles ne nient pas purement et simplement l'existence du problème, le réduisent à une simple question linguistique, ou de violation des droits de l'homme. A les entendre il suffirait, pour tout régler, que les déportés reviennent. Le débat, en général, dans l'opposition politique, au lieu de se focaliser sur les vrais problèmes, tourne hélas autour de questions périphériques. En tout état de cause, ces déportations planifiées, aux relents de nazisme, avaient des motivations sordides. Il s'agissait de profiter du "conflit" avec le Sénégal pour tenter de "dénégrifier" le pays, car le taux d'accroissement important des négro-Africains est devenu une hantise, au
point que tous les résultats des recensements démographiques (par ethnie) sont tenus secrets et ceci depuis 1960 ! Il s'agissait aussi de saisir cette occasion pour faire passer enfin une réforme foncière qui rencontrait une forte résistance en milieu négro-africain, pour servir des intérêts inavoués. La déportation, justement, permit de redistribuer la terre, et les terres de ces réfugiés en exil forcé au Sénégal, comme s'ils ne devaient plus jamais revenir ! Il s'agissait enfin de frapper les esprits en sévissant durement et partout pour intimider, afin de décourager à jamais toute velléité de résistance, en décapitant la seule force politique organisée que sont les FLAM, de manière à neutraliser l'avant-garde éclairée de la contestation du projet hégémonique. Dans le feu des événements allait surgir une quatrième raison : récupérer le bétail peulh ( 150 000 bovins ) pour compenser les pertes matérielles subies par les Maures rapatriés du Sénégal. Pour se venger
du Sénégal voisin, les autorités mauritaniennes allaient se rabattre, sans remords, sur leurs propres citoyens qu'elles spolièrent et dépossédèrent pour les chasser ensuite comme de "vulgaires étrangers". Quelle ignominie ! Et dire que l'Afrique se tait devant ces actes barbares, ici et au Soudan ! Et qu'à côté, on garde un silence, à la limite de la complicité. Mais revenons après cette digression, que j'ai crue utile, au fil chronologique de notre marginalisation.
Ainsi donc, au fil des années et des régimes guidés par un même projet, la discrimination raciale allait s'accentuer, pour s'afficher violemment dans les années 1980. Si, avec les premiers régimes, un peu plus futés, elle fut feutrée, sous le règne du colonel Taya qui, lui, ne s'embarrassera pas de scrupules, les négro-Africains passeront de l'état de marginalisation à l'exclusion totale ouvertement déclarée, dans laquelle il faut replacer les déportations évoquées plus haut.

Le colonel Taya allait, le premier, donner le cadre juridique de notre élimination par une constitution qui imposerait désormais la langue arabe comme seule langue officielle. Mesure certainement légitime pour la communauté arabo-berbère, mais injuste pour les négro-africains de l'aveu même de Hamid El Mauritanyi, connu sous le nom de Mohamed Ould Cheikh, ancien ministre de la Défense de Daddah, qui disait : " Vouloir que ceux qui savent à quoi s'identifier abandonnent leurs valeurs propres pour être embrigadés dans l'aventure de ceux qui se cherchent une identité est non seulement de l'arbitraire, mais d'une politique culturelle imbécile." Les plans d'ajustements structurels du FMI, arrivant à point nommé, servirent pour vider l'administration des négro-Africains, surtout. Résolu, par une répression physique et mentale féroce, sans tergiverser comme ses prédécesseurs,Taya allait, à marche forcée, consolider le système et afficher l'option désormais déclarée d'une
Mauritanie exclusivement arabe. " La Mauritanie n'est pas en voie d'arabisation, c'est un pays arabe", devait-il déclarer à Jeune Afrique en janvier 1990. J'avais besoin de ce détour pour montrer les conditions prévalant en Mauritanie, à la veille de la fameuse démocratisation... pour que l'on comprenne que la Mauritanie n'a pas été et n'est pas comme les autres pays africains que balaie le vent démocratique. Ici, on a affaire à une minorité arabe qui, pour pérenniser son pouvoir, abuse de l'Etat et use d'une politique à soubassement idéologique pour assimiler et asservir les autres composantes culturelles, une minorité qui confisque le pouvoir depuis près de quarante-cinq ans, qui ne veut ni l'abandonner, ni le partager. Le contexte dans lequel arrivent notre"démocratie" et le "coup d'Etat " du 3 août 2005, c'est celui-là. Notre "démocratie" arrive donc et se plaque sur cette triste réalité qu'elle recouvre, intacte, sans rien changer, se muant ainsi en
une "démocratie raciale", à la manière de l'antique Afrique du Sud ; il suffit de gratter un peu pour découvrir derrière le racisme le plus hideux, l'exclusion la plus brutale, l'esclavage le plus primaire. Maintenant, vous pouvez comprendre pourquoi les négro-Africains se plaignent (légitimement de leur "démocratie"... qui n'est pas comme les autres. Nous ne nous sentons pas concernés par cette pseudo-démocratie qui nous exclut, nous avons cessé de croire en notre" Etat ", on a fait de nous des spectateurs passifs du jeu de compétitions électorales réservées... aux citoyens (blancs) à part entière. Du reste, on tend de plus en plus à une bipolarisation raciale du champ politique. En Mauritanie, on est dans une phase en-deçà de ces démocraties, même tarées, qu'on retrouve ailleurs, et que nous envions, et pour cause ! Nous sommes, nous, négro-Africains, au stade où nous luttons pour notre survie, pour notre reconnaissance en tant que citoyens, en tant qu'hommes
simplement, dans un milieu hostile où l'homme voue l'homme au racisme et à l'esclavage. Notre "démocratie" est assise sur la tête qu'il faut redresser.

J'ai le sentiment qu'on a mis les charrues avant les boeufs, et qu'il n'est pas encore trop tard pour bien faire. Il est temps de comprendre que l'exclusion est en soi économiquement mauvaise, socialement corrosive, politiquement explosive.
Comprenons qu'une " nation dispersée, battue, humiliée peut (heureusement) toujours se rebeller contre son sort et revenir à la vie". Tentons dès à présent de sortir de ce cul-de-sac qui, tout le monde le sait, ne mène nulle part. Pour en sortir, il faut, à mon avis, une attitude, un climat et des conditions.

Une attitude courageuse, d'ouverture sincère et de reconnaissance du problème de fond.

Un climat de décrispation sociale grâce à un train de mesures positives à l'endroit de tous ceux qui, victimes et blessés dans leur chair, ont subi des préjudices matériels et moraux. La sanction des crimes commis pour rendre leur dignité aux victimes, à leurs veuves et à leurs enfants. Je crois qu'il faut se parler, car ce formidable potentiel de révolte enfouie commence à gronder. Il serait erroné de croire que vingt années de calme plat peuvent exclure toute éventualité de soulèvement populaire. Après seulement ce forum, dont les conclusions pourraient éventuellement être soumises au peuple, comme l'ont proposé les véritables FLAM, on aborderait enfin la phase d'une véritable démocratisation.

D.S.F

18 janvier, 2007 11:47  
Anonymous Anonyme said...

cher x o y
pourquoi tu parle pas de ce qui se passe dans le ministere de l'education, de la distrubition aléatoire des bourses des etudiants maures à l'etranger.
surtout pour les etudiants du 3eme cycle au maroc et surtout en economie, parceque vraiment ils souffrent ils sont la vraie misère.
la bourse d'etat est distribué selon la conjoncture: je m'explique 60% la prt du ministre et ses proches et son entourage et 40% pour l'imbéssile, le foutu et pouru l'ambasssadeur ici au maroc.
j'aimerai que tu parle des criteres de la distribution de la bourse"excépte la tete du client lol". merci x
au nom des etudiant mauritanienns au maroc qui sont un millier de perssonne qui survivent à peine.

18 janvier, 2007 11:58  
Anonymous Anonyme said...

pleurer avec moi pour les etudiant mauritaniens. la moitié des etudients au maroc abandonnent chaque année, à cause des conditions de vie et d'etude dans lesquelles il vivent.

18 janvier, 2007 12:02  
Anonymous Anonyme said...

Merçi Guevara de nous ouvrir les yeux.
Alors qui le premier va se denonser? XOULDY? je crois pas. Pas de courage

18 janvier, 2007 12:10  
Anonymous Anonyme said...

VOUS ETES TOUS FAUX!
Lorsque le CMJD a tente' de cvhanger les regles du jeu pour limiter le nombre de candidats, vous avez tous crie' qu'Ely et son equipe veulent tricher. MAINTENANT VOUS AVEZ 1000 CANDIDATS! RIEN N'EST SERIEUX!

QU'ALLAH PROTEGE LA MAURITANIE DE SA CLASSE POLITIQUE QUI EST PLUS QUE BETE!
La logique voulait qu'on limite le nombre de candidats a' 4 ou 5:
Sidi Ould Cheikh Abdallahi
Ahmed Ould Dadah
Ahmedou Ould Abdallah
Mohamed Khouna Ould Haidallah
Messaoud Ould Boulkher.

CE QUI SE PASSE AUJOURD'HUI EST DE LA FOUTAISE!

18 janvier, 2007 12:13  
Anonymous Anonyme said...

Salut X,

Je pense qu'Ely "Ma yentkar 3lih shi", on peut s'attendre à tout de la part d'Ely.

Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que le président du CMJD sera présent dans l'après transition, soit en se présentant à la présidentielle soit en plaçant une marionette comme sidioca, ou encore en inventant un "faux coup d'etat" comme l'a dit l'un des bloguers anonymes; le résultat est le même.

Je rejoins l'anonyme du 17 janvier, 2007 19:00, qui pense qu'un maintient du pouvoir par Ely est meilleur vu qu'à la limite personne ne pourra nous bourrer avec les histoires d'éléctions transparentes en plaçant sidioca.

D'une autre part, j'ai juste vu l'info sur le site alakhbar.info, ils parlent d'une rencontre imminente entre Ely et les chefs des partis de la CFCD, qui préparait une conférence de presse pour mettre au clair les différentes étapes entamées par les membre du CMJD (et son président lol) pour empêcher des éléctions sénatoriales et présidentielle libres et transparentes.

Wait and see, dans tous les cas, la CFCD a appelé à des manifestations énormes le 31 janvier si Elycom & Co continuent à nous la jouer dure.

Mauritanois

18 janvier, 2007 12:19  
Anonymous Anonyme said...

Au secour! au secour!
Helas,Vue de loin pour bien des gens(observateurs), la Mauritanie apparaît comme un pays tranquille, calme, sans problème majeur, stable même aux dires de ses dirigeants. C'est une image trompeuse qui égare bien des observateurs ; la Mauritanie est un pays complexe, secret, un volcan endormi, qui couve une crise interne découlant des relations d'équilibre intercommunautaire, aujourd'hui rompues.
Cette perception première, trompeuse à souhait, est due au fait qu'à l'image de beaucoup de pays africains depuis le discours de la Baule, la Mauritanie, elle aussi, dispose de sa " démocratie". Avec une constitution (sur mesure) des partis politiques qui foisonnent, une presse écrite dite "indépendante" mais je préfère dire "presse privée" et de temps à autre, un simulacre de compétition électorale, pour compléter le tableau ; ce sont bien là des attributs, pour qui n'est pas averti, d'une parfaite démocratie, et l'on se croirait dans un pays où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Nos plaintes et nos réserves à l'endroit de notre"démocratie" mauritanienne ne seraient pas alors comprises. Et pourtant ! La Mauritanie recouvre une tout autre réalité, dissimule une face cachée de démocratie raciale !
Telle est la réalité que bien des gens ne comprennent pas. Et pour la faire comprendre il nous faut faire un détour, un long détour, remonter quelque peu le cours de l'histoire récente du pays .

Il est nécessaire de rappeler que la Mauritanie est un Etat conventionnel, artificiel, créé de toutes pièces pour les besoins du colonialisme français en 1904, je vous fais l'économie de la géopolitique de l'époque. La France, par sa volonté, décida donc de faire coexister, dans un même espace, deux communautés, arabo-berbère et négro-africaine, deux communautés, il faut le souligner, qui s'étaient forgées chacune au cours de l'histoire dans un espace autonome, régies par des pouvoirs politiques spécifiques, indépendantes l'une de l'autre. Elles entretenaient naturellement, du fait de la proximité, des relations tantôt amicales, le plus souvent heurtées à cause des incessants rezzous maures opérés, pillant et capturant la population des villages à des fins d'esclavage (origine, entre autres, de la composante haratine actuelle). Depuis l'indépendance, nos chefs politiques, incapables de se départir de l'esprit partisan, tous issus du milieu maure, se sont attelés sans
relâche à développer,tour à tour, des politiques qui, loin de forger la nation encore inexistante, ont conduit à des crises cycliques, répétées, à une déchirure profonde entre les deux communautés.
Par ces politiques nocives développées au fil des années et des régimes que guidait un système inique, on mit en place un apartheid déguisé. Je dis déguisé car on le chercherait en vain dans les textes institutionnels alors qu'il existe partout, pour peu qu'on observe.

Le racisme d'Etat est partout Cette discrimination raciale commença d'abord feutrée, subtile, insidieuse, pour un projet qui allait devenir obsessionnel : construire une Mauritanie exclusivement arabe !
Pour ce faire, des mécanismes furent mis en oeuvre pour que l'Etat soit la"chose" des arabo-berbères ; progressivement, au rythme des résistances qu'opposaient les négro-Africains, ont fit de sorte que les Arabo-Berbères contrôlent la réalité du pouvoir politique et économique, la justice, l'éducation, l'armée.

La diplomatie ne sera pas en reste ; à l'extérieur , il faut afficher l'image d'une Mauritanie arabe par la composition des délégations, le discours et les clichés culturels, il faut gommer totalement l'autre "personnalité" de la Mauritanie. Évidemment, pour masquer la nature discriminatoire des régimes, on va saupoudrer un peu quelques nègres de service, sans responsabilité aucune, personnalités aux genoux tremblants, figurines sans aucun pouvoir de décision !

Un des rouages essentiels de cette machine à discriminer fut l'usage qu'on fit de la langue arabe.Cette langue, introduite très tôt dans le système éducatif... à des fins" d'indépendance nationale", disait le discours officiel ! Vaste supercherie, qui visait en fait à cacher des motivations sordides. On lui fit jouer un rôle non pas d'intégration, non pas d'épanouissement pour tous, mais d' instrument de sélection et de discrimination dans l'emploi et l'éducation pour éliminer les négro-Africains. Les enfants négro-africains commencèrent à échouer massivement. Ce fut la période où il y eut un raz-de-marée sans précédent de cadis, de magistrats, d'enseignants, des centaines de jeunes sautant à pieds joints dans le système, sans aucune formation, et dont le seul critère de recrutement imposait un passage par l'école coranique. Comme si passer par cette école entraînait automatiquement les compétences et les capacités requises ! Un vrai gâchis au plan national, à la base de
l'impasse et de la déchéance actuelle du système éducatif. Ce fut donc le prélude à la rélève des négro-Africains, le commencement de leur marginalisation massive, qui allait se poursuivre et atteindre son apogée avec l'avènement du colonel Taya . Bien entendu, au fur et à mesure des réformes impopulaires et imposées, des réactions d'hostilité ne manquèrent pas de s'exprimer du côté négro-africain. Les réformateurs marquaient alors un temps d'arrêt ; en fins stratèges ils donnaient du mou à la ligne, pour laisser passer l'orage, et obstinément le projet était poursuivi. Beaucoup d'observateurs, se méprenant alors sur le sens de ces crises, les présentaient, à tort, comme des crises inter-ethniques, comme si les communautés arabo-berbère et négro-africaine se dressaient, par animosité, l'une contre l'autre. Ce ne fut jamais le cas. Ces crises étaient à l'image de ce qui se passait au Kwazulu-natal du temps de Botha. Elles étaient orchestrées par nos dirigeants à
des fins politiques, ils les exploitaient alors à chaque fois et judicieusement ; ils les présentaient, en milieu maure, comme des menaces graves aux intérêts et acquis maures, de manière à créer autour d'eux un consensus. Ce fut le cas pour les évènements de 1966, de 1987 et de 1989 pour ne citer que les plus graves et les plus douloureux. Ce n'est pas par hasard si la déportation de 120 000 noirs mauritaniens au Senégal et au Mali ne suscita que peu d'émoi du côté des intellectuels et de la classe politique beydane, où l'on remarquait un silence assourdissant.
Si, par ailleurs, des blancs risquèrent leur vie ou se firent pendre (aux USA avec l'underground) pour la cause des faibles, ce ne fut pas le cas en Mauritanie pendant ces terribles déportations. Seuls quelques jeunes du Mouvement des démocrates indépendants (MDI) allaient faire exception. Or, j'ai toujours eu le sentiment que l'intellectuel ressemblait davantage à Zola qu'à Gobineau ou Goebbels, et qu'il ne pouvait rester sans rien faire, sans rien dire devant l'injustice.

Pourquoi un tel silence ? Le régime du colonel-président avait-il réussi à les convaincre ? C'est là du reste une dimension, entre autres, qui rend malaisée la recherche d'une solution au problème, au regard de l'ambiguïté de ces formations politiques sur notre question nationale. Certaines formations, si elles ne nient pas purement et simplement l'existence du problème, le réduisent à une simple question linguistique, ou de violation des droits de l'homme. A les entendre il suffirait, pour tout régler, que les déportés reviennent. Le débat, en général, dans l'opposition politique, au lieu de se focaliser sur les vrais problèmes, tourne hélas autour de questions périphériques. En tout état de cause, ces déportations planifiées, aux relents de nazisme, avaient des motivations sordides. Il s'agissait de profiter du "conflit" avec le Sénégal pour tenter de "dénégrifier" le pays, car le taux d'accroissement important des négro-Africains est devenu une hantise, au
point que tous les résultats des recensements démographiques (par ethnie) sont tenus secrets et ceci depuis 1960 ! Il s'agissait aussi de saisir cette occasion pour faire passer enfin une réforme foncière qui rencontrait une forte résistance en milieu négro-africain, pour servir des intérêts inavoués. La déportation, justement, permit de redistribuer la terre, et les terres de ces réfugiés en exil forcé au Sénégal, comme s'ils ne devaient plus jamais revenir ! Il s'agissait enfin de frapper les esprits en sévissant durement et partout pour intimider, afin de décourager à jamais toute velléité de résistance, en décapitant la seule force politique organisée que sont les FLAM, de manière à neutraliser l'avant-garde éclairée de la contestation du projet hégémonique. Dans le feu des événements allait surgir une quatrième raison : récupérer le bétail peulh ( 150 000 bovins ) pour compenser les pertes matérielles subies par les Maures rapatriés du Sénégal. Pour se venger
du Sénégal voisin, les autorités mauritaniennes allaient se rabattre, sans remords, sur leurs propres citoyens qu'elles spolièrent et dépossédèrent pour les chasser ensuite comme de "vulgaires étrangers". Quelle ignominie ! Et dire que l'Afrique se tait devant ces actes barbares, ici et au Soudan ! Et qu'à côté, on garde un silence, à la limite de la complicité. Mais revenons après cette digression, que j'ai crue utile, au fil chronologique de notre marginalisation.
Ainsi donc, au fil des années et des régimes guidés par un même projet, la discrimination raciale allait s'accentuer, pour s'afficher violemment dans les années 1980. Si, avec les premiers régimes, un peu plus futés, elle fut feutrée, sous le règne du colonel Taya qui, lui, ne s'embarrassera pas de scrupules, les négro-Africains passeront de l'état de marginalisation à l'exclusion totale ouvertement déclarée, dans laquelle il faut replacer les déportations évoquées plus haut.

Le colonel Taya allait, le premier, donner le cadre juridique de notre élimination par une constitution qui imposerait désormais la langue arabe comme seule langue officielle. Mesure certainement légitime pour la communauté arabo-berbère, mais injuste pour les négro-africains de l'aveu même de Hamid El Mauritanyi, connu sous le nom de Mohamed Ould Cheikh, ancien ministre de la Défense de Daddah, qui disait : " Vouloir que ceux qui savent à quoi s'identifier abandonnent leurs valeurs propres pour être embrigadés dans l'aventure de ceux qui se cherchent une identité est non seulement de l'arbitraire, mais d'une politique culturelle imbécile." Les plans d'ajustements structurels du FMI, arrivant à point nommé, servirent pour vider l'administration des négro-Africains, surtout. Résolu, par une répression physique et mentale féroce, sans tergiverser comme ses prédécesseurs,Taya allait, à marche forcée, consolider le système et afficher l'option désormais déclarée d'une
Mauritanie exclusivement arabe. " La Mauritanie n'est pas en voie d'arabisation, c'est un pays arabe", devait-il déclarer à Jeune Afrique en janvier 1990. J'avais besoin de ce détour pour montrer les conditions prévalant en Mauritanie, à la veille de la fameuse démocratisation... pour que l'on comprenne que la Mauritanie n'a pas été et n'est pas comme les autres pays africains que balaie le vent démocratique. Ici, on a affaire à une minorité arabe qui, pour pérenniser son pouvoir, abuse de l'Etat et use d'une politique à soubassement idéologique pour assimiler et asservir les autres composantes culturelles, une minorité qui confisque le pouvoir depuis près de quarante-cinq ans, qui ne veut ni l'abandonner, ni le partager. Le contexte dans lequel arrivent notre"démocratie" et le "coup d'Etat " du 3 août 2005, c'est celui-là. Notre "démocratie" arrive donc et se plaque sur cette triste réalité qu'elle recouvre, intacte, sans rien changer, se muant ainsi en
une "démocratie raciale", à la manière de l'antique Afrique du Sud ; il suffit de gratter un peu pour découvrir derrière le racisme le plus hideux, l'exclusion la plus brutale, l'esclavage le plus primaire. Maintenant, vous pouvez comprendre pourquoi les négro-Africains se plaignent (légitimement de leur "démocratie"... qui n'est pas comme les autres. Nous ne nous sentons pas concernés par cette pseudo-démocratie qui nous exclut, nous avons cessé de croire en notre" Etat ", on a fait de nous des spectateurs passifs du jeu de compétitions électorales réservées... aux citoyens (blancs) à part entière. Du reste, on tend de plus en plus à une bipolarisation raciale du champ politique. En Mauritanie, on est dans une phase en-deçà de ces démocraties, même tarées, qu'on retrouve ailleurs, et que nous envions, et pour cause ! Nous sommes, nous, négro-Africains, au stade où nous luttons pour notre survie, pour notre reconnaissance en tant que citoyens, en tant qu'hommes
simplement, dans un milieu hostile où l'homme voue l'homme au racisme et à l'esclavage. Notre "démocratie" est assise sur la tête qu'il faut redresser.

J'ai le sentiment qu'on a mis les charrues avant les boeufs, et qu'il n'est pas encore trop tard pour bien faire. Il est temps de comprendre que l'exclusion est en soi économiquement mauvaise, socialement corrosive, politiquement explosive.
Comprenons qu'une " nation dispersée, battue, humiliée peut (heureusement) toujours se rebeller contre son sort et revenir à la vie". Tentons dès à présent de sortir de ce cul-de-sac qui, tout le monde le sait, ne mène nulle part. Pour en sortir, il faut, à mon avis, une attitude, un climat et des conditions.

Une attitude courageuse, d'ouverture sincère et de reconnaissance du problème de fond.

Un climat de décrispation sociale grâce à un train de mesures positives à l'endroit de tous ceux qui, victimes et blessés dans leur chair, ont subi des préjudices matériels et moraux. La sanction des crimes commis pour rendre leur dignité aux victimes, à leurs veuves et à leurs enfants. Je crois qu'il faut se parler, car ce formidable potentiel de révolte enfouie commence à gronder. Il serait erroné de croire que vingt années de calme plat peuvent exclure toute éventualité de soulèvement populaire. Après seulement ce forum, dont les conclusions pourraient éventuellement être soumises au peuple, comme l'ont proposé les véritables FLAM, on aborderait enfin la phase d'une véritable démocratisation.

D.S.F

18 janvier, 2007 12:22  
Anonymous Anonyme said...

ely o/ med vall président = maayouia président donc pouquoi ce fatigué tout ce temps

18 janvier, 2007 12:23  
Anonymous Anonyme said...

Anonyme du 18 janvier, 2007 12:13 :

Peux-tu nous donner la logique que tu as utilisé pour en sortir avec cette liste restreinte de 5 candiats :

-Sidi Ould Cheikh Abdallahi
-Ahmed Ould Dadah
-Ahmedou Ould Abdallah
-Mohamed Khouna Ould Haidallah
-Messaoud Ould Boulkher.

Je crois que tu as utilisé la formule age 70 ans minimum, et regagnera son dieu dans quelques jours

Salut,

Mauritanois

18 janvier, 2007 12:24  
Anonymous Anonyme said...

ely o/ med vall = maaouiya o/ taya = sidi o/ cheikh abdelahi

donc pourquoi cette transition

Kreybita

18 janvier, 2007 12:26  
Anonymous Anonyme said...

DSF
J’ai bu d’un trait ta longue litanie sur «l’accaparement» supposé par les maures du Pouvoir. J’ai apprécié la gaine du discours sans l’épouser. Une écriture limpide comme on en trouve pas toujours dans ce blog. En revanche, je suis consterné par des affirmations à la va-vite de l’auteur dans certains passages pamphlétaires qui résonnent plus de la campagne de dénigrement contre les maures que d’un combat contre l’exclusion. Ceci dit, je suis d’accord avec l’auteur que la dualité du système éducatif dans notre pays est pour beaucoup dans les schismes communautaires. Plusieurs générations ont été sacrifiées (l’auteur reconnaît lui-même que les sortants de cette école-là ne brillaient pas par leur formation). Mais, je crois que pour l’Histoire, il faut ramener les choses dans leur véritable contexte pour tenter (j’insiste sur tenter) de trouver une explication plausible à l’émergence de ces nationalismes exacerbés.
La langue arabe est une langue internationale, elle est aussi la langue du Coran. Devrai-je rappeler la maîtrise et l’érudition des grands hommes négro-mauritaniens dans cette langue? J’ose espérer que mon frère m’accordera, sur ce point, raison. La répulsion de la langue arabe chez nos frères noires (Halpularen notamment) provient du fait que certaines sphères politiques y voient l’instrument d’une domination ethnique. Ce constat est renforcé par une réalité cynique : les enfants des maures (beydhane et hartani) sont favorisés parce qu’elle est leur langue maternelle. Je pense que le fait de rappeler le faux-débat sur la majorité démographique est en soi fallacieux et porteur de germes (non déclarés) de division.
Quant à dire que les intellectuels maures (et mêmes les maures ordinaires) sont restés insensibles aux déportations de nos frères vers le Sénégal, je pense intimement que c’est une affirmation gratuite. Il n’est qu’à voir les protestations et le combat que mènent des centaines voire des milliers de maures pour comprendre qu’une telle affirmation ne peut être innocente. D’ailleurs, les déportations dont il s’agit ont été faites dans un climat malsain ou des mauritaniens (et même sénégalais d’origine mauritanienne) ont été refoulés de leurs territoires. Faut-il encore vous rafraîchir la mémoire en vous rappelant que l’incident de Diawara à l’origine des douloureux événements de 1989, mettait en face cultivateurs noirs sénégalais et éleveurs peulhs mauritaniens? Je crois qu’il est de votre responsabilité de ne pas dénaturer les faits quand vous les utiliser comme supports pour expliquer votre appréhension de la gestion d’un Pouvoir. Tout comme, je crois que vous le faîtes insidieusement, jeter l’huile sur le feu. Bien sûr, la Mauritanie est un Etat conventionnel. Y en a-t-il qui ne soit pas en Afrique ? Je vous renvoie à vos chères études sur le partage d’influence coloniale en Afrique. Cependant, les mauritaniens, qui ne vivent, je vous le concède dans un Etat parfait, ne se honnissent pas et partagent (ne croyez pas que c’est un slogan creux), des valeurs culturelles et religieuses certaines. Il ne sert donc à rien de chercher à les dresser les uns contre les autres, si vous n’arrivez pas à leur proposer des solutions. Contrairement à ce que vous dîtes la Mauritanie n’est pas le Kwazulu.natal comme elle ne risque pas d’être un autre Burundi.
S’agissant de la question des haratines, vous n’avez aucun droit de dire que ces hommes et ces femmes sont le fruit de rezzous. La tare de l’esclavage quoique condamnable existe dans toutes les sociétés africaines. Vous ne devez vous en servir pour «marquer » votre coup.
Je vous invite à réfléchir aux opportunités de resserrer les liens entre nos communautés loin de tout discours fascistes et irresponsable.
Dans cette hypothèse, nous aurions, vous et moi, en invitant nos autres compatriotes, tenter de lever les suspicions entretenues par un discours sectaire et inefficace.
A bon entendeur, salut !
Guevara

18 janvier, 2007 12:47  
Anonymous Anonyme said...

D.S.F du18 janvier, 2007 12:22

Au secours mon statut d'exilé est en danger.
Le terrain sur lequel tu danses est d'une époque revolue et n'a de topographie que dans la cervelle certe ronde , parfois ovale ,souvent pyramidale mais surtout trés petite.
Nous mauritnaiens nous sommés musulmans et notre réligion nous unit par ses valeurs .
Il est frequent de voir des maures apprendre le coran chez un negro et plus frequent de voir des maures qui venerent leurs cheikhs et imam de tarika qui n'est autre qu'un negro.
Vous les DSF (DOMICLE ET SAPE EN FRANCE° Votre interet est guidé par votre nom.
ALL BONNI MA KANGHADOU DE DSF.
toco

18 janvier, 2007 12:54  
Anonymous Anonyme said...

A Mauritanois le putois et autres:
Les americains ne sont pas alle sur la lune, un ovni s'est ecrase au noveau mexique, bush a fait le 11 septembre, ely se presentera aux elections...Vous etes des paranos et des idiots!

18 janvier, 2007 12:57  
Anonymous Anonyme said...

une manifestation va être organisé aujourd'hui à Aïoun pour demander la prolongation de 5 ans de la période de tranisition. certainement d'autres seront organisées dan d'autres points du pays pour évetuellement demander à Ely de se présenter aux élections présidentielles de mars 2007. C'est ce qu'on a appris aujourd'hui dans la presse locale. Alors peut-on considérer le peuple comme étant "blanche neige" et qu'Ely est le prince charmant lontemps attendu? ou faudra t-il chercher un puissant anesthésiant et endormir le peuple quelques années de plus?

18 janvier, 2007 12:59  
Anonymous Anonyme said...

salut tous soyez -prudents vous pensez que ely parès avoir obtenu le pouvoir va le lacher tout simplement, ely qui etait le bras droit de maaouiya pourquoi a t-il enlevé son ami c'est pas parcequ'il veut du bien au pays mais c'est parcequ'il veut le pouvoir pour lui même . ely qui n'asjamais porté le boubou il etait toujours habille a sa tenu , ely veut le pouvoir pour lui mais il ne peut pas se presenter au election presidentielle donc la seule solution qu'il a est de presenter sidi ould cheikh abdallahi car il est malade ,aussi c'est un vieux et après quelque mois voir même quelque semaine le grand homme ely qui veut du bien pour son pays va intervenir et dire que sidi ne pouvait plus s'occuper du pays et donc ely deviendra president .....

18 janvier, 2007 13:28  
Anonymous Anonyme said...

HE MESSIEURS !
ne donnez pas a cette fausse rumeur toute cette importance ,Ely ne sera jamais elu president en outre je me demande pourquoi nos experts juristes n'ont pas remarqué cette tromperie juridique dés le debit pourquoi ils ont laissé a ould bouboutta ould khabaz l'occasion de jouer avec notre constitution si riduculement .

18 janvier, 2007 13:39  
Anonymous Anonyme said...

parfait vraiment ely c'est maaouya mais auusi c'est sidi ould cheikh abdallahi moi j'en doute même que le coup d'etat fait par ely etait organisé par lui et maoouiya, puisque maaouya savait qu'il ne pouvait pas tenir plus après le coup d'etat de saleh ould hanena mais il ne pouvait laisser le pouvoir comme ça car on va le juger au trubinal à cause des gens qu'il avait tué à l'epoque et donc il voulait vraiment s'en sortir de ses deux problèmes avant que quelqu'un d'autre le faisait sortir par force et donc il n'a trouvé que son bras droit ely pour l'aider à s'en sortir et là il est tranquil au qatar ,il ne va pas être jugé au tribunal , et en plus il n'a pas peur des coups d'etat ...
zoro

18 janvier, 2007 13:40  
Anonymous Anonyme said...

The country of wonders:

- Almahdi Almuntadher is now a reality. He's among us and adamant about his sacred mission.

- Ely's candidacy is now a reality. He's not among us, in fact above us.

- Everything goes in this country of wonders, which is not among us or above us. In fact, Mauritania is nowhere.

X, could please figure out what would be our future if the main front-runners in the next polls happen to be Almahdi Almuntadher and Ely Almuntadhar.


ZORO Almuntadhar (from the middle of nowhere)

18 janvier, 2007 13:47  
Anonymous Anonyme said...

Je te remercie beaucoup mon cher X d'avoir répondu à mes commentaires et j'en suis fier.

Dorenavant je vais signé mes commentaires par le pseudo "الطفيل", tu aimes l'anonymat non?

J'ai appris tout à l'heure qu'une manifestation vas être organisée demain pour implorer ElyCom de se présenter à l'election présidentielle je ne sais pas encore les organisateurs (Khaled, Mint Taghy... peut être!!!).

Allez M. X les choses se compliquent et pas de blog...

الطفيل

18 janvier, 2007 14:18  
Anonymous Anonyme said...

Ely O/ Med vall prépart sa sortie par la petite porte

Kreybita

18 janvier, 2007 14:47  
Blogger diaisma said...

Au delà de la discrimination raciale érigée en système de gouvernement , le régime mauritanien tolére pour ne pas dire couvre de graves tares sociales comme l'esclavage.

En Mauritanie, l'esclavage sévit encore de nos jours dans le Nord et le Centre ou l'on trouve encore des enfants objets de rapt ou parfois de vente hors de la Mauritanie vers les pays arabes.

Ici encore, on prête ou on loue un "Homme" soit pour travail servile, soit comme étalon pour féconder des femmes-haraitines, propriétés d'un autre maître.

Ici les esclaves ne se marient qu'en fonction du besoin du maître: les enfants sont séparés de la mère vers l'âge de deux ans, et appartiennent au maître; ils peuvent être mutilés en cas de "fautes graves".

Les Haratines ou abid (esclaves) son ceux qui font tout et n'ont droit à rien, privés jusqu'au droit à l'héritage de leurs ascendants: les maîtres ceux qui ne font rien et ont droit à tout! Il y a lieu de rappeler ici que par trois fois l'esclavage a été aboli "officiellement"... en vain!

Quand nous parlons de l'esclavage en Mauritanie le pouvoir mauritanien crie au "complot international ourdi par le monde occidental et leurs "valets" (que nous sommes parait-il) contre le monde arabe et le monde musulman". Quand un voleur crie au voleur imaginez la réaction des passants! Les accusations fantaisistes du régime mauritanien nous laissent de marbre.

Parfois pour faire bonne presse auprès de ce monde occidental, considéré comme "ennemi" du monde arabe et musulman, on fait appel à la fameuse loi et ordonnance numéro 81.234 du 9 novembre 1981, une loi scélérate qui stipule dans son article numero 2: "conformément à la charria, cette abolition donnera lieu à une compensation au profit des ayant-droits " en termes clairs pour se libérer l'esclave qui a été exploité, assujetti, maltraité, doit indemniser son maître! Quelle monstruosité! C'est sur cette loi inique que se fonde le régime mauritanien et ses thuriféraires pour clamer haut et fort un peu partout que l'esclavage est abolie en Mauritanie! Quand nous qualifions la Mauritanie, de pays d'Apartheïd, certains nous accusent d'exagérer! et pourtant cette loi "d'abolition" montre bien que chez nous c'est pire que l'Apartheïd sous l'ancienne Afrique du Sud.

En Afrique du Sud, il n y a pas d'esclavage et on n'y penserait pas indeminiser un Maître parce qu'il a perdu son esclave...qui doit rester pour le faire vivre. Notre entendement est choqué et dire que la Mauritanie a signé la charte universelle des droits de l'homme où il est stipulé "qu'aucun homme ne doit en exploiter un autre!". Cette loi injuste, cette loi inique est pourtant toujours en vigueur! et c'est sur elle que se fonde nos "aimables" dirigeants quand ils clament haut et fort, un peu partout, que l'esclavage est aboli en Mauritanie depuis 1981.

Cet esclave, toujours noir, qui a hérité son statut "d'inférieur" de son père et celui-ci de son père, cet esclave donc doit indemniser pour être libre!! et dire que nous avons là un Etat moderne et de surcroit de gouvernements africains et occidentaux soutiennent sans se donner mauvaise conscience.C'est un scandale!

L'administration mauritanienne copie exactement en ce qui concerne l'esclavage, le comportement de l'ancienne administration coloniale, me rappelait un camarade historien, qui appliquait une politique résolument opportuniste et peu soucieuse des droits humains que résume cette phrase de l'ancien directeur des affaires indigénes du Sénégal "sauvegarder tous les intérêts tout en maintenant les principes humanitaires". L'administration coloniale française n'avait jamais voulu appliquer intégralement le décret d'abolition pour ne pas léser les maîtres qui étaient ses alliés, malgré l'arrêté du 4 decembre 1904 qui rappelait que "l'esclavage était aboli sur l'ensemble du territoire français".

Au nom de la dignité humaine, au nom du respect du genre humain, au nom de la justice et de la liberté, il est temps que les pays progressistes et tous les hommes et femmes épris de paix et de justice agissent contre la Mauritanie qui bafoue l'ordre et les valeurs élémentaires du monde moderne et "civilisé".

La lutte continue!

Elimane Bilbassi

NB: pour ceux qui veulent connaitre la réalité de l'esclavage en Mauritanie je vous donne quelques références que vous pouvez retrouver sur le net:

18 janvier, 2007 14:53  
Blogger diaisma said...

anonymat 13h40
Bien sur que c'est vrai,le coup a bien eté monté,comme tu l'a dit puisque maaouya savait qu'il ne pouvait pas tenir plus après le coup d'etat de saleh ould hanena mais il ne pouvait laisser le pouvoir comme ça car on va le juger au trubinal à cause des gens qu'il avait tué à l'epoque

18 janvier, 2007 14:57  
Anonymous Anonyme said...

hh

18 janvier, 2007 14:57  
Anonymous Anonyme said...

x-ould-y : Messaoud OULD BOULKHEIR

18 janvier, 2007 15:21  
Anonymous Anonyme said...

Mes Oulad Bousbaa… »
Capitaine Frère-Jean, 1906.
Un éclairage historique tout autant que factuel s’impose. Le but ici est d’éclairer le citoyen mauritanien ordinaire, qui, de loin, ne voit que le petit rocher qui s’avance vers lui, tout de blanc maculé. Ce citoyen ordinaire, qui n’a jamais vu de rocher blanc, crédule et rêveur, croit que ce petit rocher, qui porte dix sept colonels corsaires, n’est que mont, et merveilles fabuleuses. Il est loin de soupçonner qu’en dessous de ce petit cailloux immaculé, en apparence inoffensif, que précède une petite brise fraîche, berceuse d’illusions, il y’a un continent de glace, froid, impitoyable, ravageur. Le Tsunami qu’il va provoquer, au premier contact avec la réalité ferme, emportera cette fois toute la Mauritanie. Et le Sahara reverdira peut-être de tant d’eau déversée sur ses berges, mais sans nous, sans la Mauritanie.

Prologue historique :
Que ceux parmi les Oulad bousba, dont je ne met en doute ni l’honorabilité ni le nationalisme, et ils sont nombreux, (j’en cite de mémoire, les Ehel Marrakchi, Cheiguer, Gharrabi, Boukhary, et j’en oublie), des familles de lettrés notoires (Ehel Hommody, Benhmeida, et d’autres) que mes propos ici ne manqueront de blesser, parce qu’il s’agit malgré tout de leurs parents, si ce n’est de leur tribu, que ceux là m’en pardonnent. Ces familles honorables et respectables, à l’histoire fière et propre, ne sont concernées à aucun moment par ce propos. Ces familles, prestigieuses à plus d’un titre, ont été malheureusement reléguées loin ces dernières années, par des personnalités que la fortune et le pouvoir ont porté aux rennes de la tribu, et une nouvelle oligarchie à l’ arrivage récent, qui constituent aujourd’hui le gros du contingent Oulad Bousbaa en Mauritanie. J’ai des parents très proches et des amis qui me sont très chers parmi cette tribu, et je leur voue une estime sans borne. J’aurais aimé ne jamais avoir à parler aussi crûment de telles choses, au risque de heurter des êtres qui me sont chers, mais il s’agit cette fois de la Mauritanie, et quand il s’agit de mon pays, il m’est interdit de me taire devant les dangers qui en menacent jusqu’à l’existence même, simplement pour des considération tribales ou parentales. Et je ne doute pas une seconde que les Oulad Bousbaa authentiques de Mauritanie, ceux-là qui y sont attachés depuis des générations, partageront tout à fait mon inquiétude et la comprendront. Quand il s’agit de la Mauritanie, aujourd’hui comme hier, aucune tribu ne doit plus rester à l’abri. On ne peut dénoncer hier l’hégémonie tribale de certains, et se taire aujourd’hui pour d’autres. En clair ce qui est en cause ici c’est l’attachement réel de la tribu Oulad Bousbaa (plus exactement la majorité écrasant constituée du tout venant de celle-ci, et qui malheureusement détient aujourd’hui le sort des autres) à la Mauritanie, à sa souveraineté, à son avenir, à son existence même. En effet, à voir la légèreté et la dérision avec laquelle le président du CMJD traite et aborde les problèmes très graves dans lesquels se débat le pays, à voir le saccage de l’économie et des mœurs par une poignée de parvenus de la vingt cinquième heure, à voir la réorientation plus que douteuse de notre politique intérieure et extérieure à l’avantage de certains milieux étrangers bien connus, on ne peut s’empêcher de penser que ces gens qui agissent de la sorte doivent avoir un pays de rechange, pour aliéner aussi dangereusement l’avenir de ce qui est supposé être le leur propre. Surtout si l’histoire se met de la partie.

Les Ould Bousbaa, tribu aux lointaines ascendances arabes, sont originaires du Maroc. C’est le commerce, plus exactement le trafic des armes, qui les amena en Mauritanie, vers le milieu du 19ème siècle. Ils y découvrent que les armes à feu sont encore inconnues des maures. Leur redoutable marchandise aidant, ils eurent d’idée de transformer leur excursion commerciale en une conquête armée. Les détonations lugubres, jamais entendues auparavant dans ces étendues du silence, ajoutées à la barbarie de ces gens sans foi ni loi venus du nord, sèment une terreur jamais connues en ces terres, où il existait malgré tout un code strict de l’honneur et de la guerre. Après quelques succès fulgurants, dues à l’inégalité des armes, les tribus Hassan qui les affrontèrent eurent vite fait de reprendre le dessus, et les Oulad Bousbaa furent chassés de chaque émirat où ils voulurent prendre pied. Ils se retirèrent vers leur pays d’origine, mais quelques familles sont restées, coincées dans les zones côtières, le long du littoral. L’aversion naturelle que les maures ont pour la mer, où ils ne s’aventuraient pas trop en ces temps là, permit à ce petit nombre d’avoir la vie sauve. Quelque rezzou Oulad Bousbaa, qui s’était reconstitué quelques années plus tard, voulut remonter vers le nord, et il reprit sur son chemin les razzias. Mais il finit par tomber sur bien plus fort que lui : les Réguibat. Ils furent décimés, et les survivants ne durent leur salut qu’à la tribu Ideichili, qui intervint en leur faveur, en les sauvant d’un génocide certain. Les petits groupes Oulad Bousbaa restés au sud n’eurent pas pour autant une vie de tout repos, car les tribus Hassan voisine de la côte, notamment au Trarza et en inchiri, continuaient à les pourchasser sans merci. La hargne des maures contre les Oulad Bousbaa était telle qu’on s’était donné la consigne très dure au Trarza : « si tu rencontres un Oulad Bousbaa et une vipère, tues le Oulad Bousbaa d’abord ». Quelques Oulad Bousbaa, revenus à un commerce plus conciliant, ont pu, plus tard, élire domicile à Atar, où il se sont fortement mélangé aux Smassid. Les Oulad Bousbaa, qui étaient venus par centaines du Maroc la première fois (ce qui était considérable à l’époque), avaient presque totalement disparu de la Mauritanie quand arrive la colonisation française. Il en restait tout au plus quelques dizaines de tentes, essentiellement en Inchiri, et au Trarza. La pénétration française allait leur donner une seconde vie. Les Oulad Bousbaa, qui ruminent encore leur vengeance sur les maures, et les Hassan (bien que d’origine arabe, les Oulad Bousbaa ne sont pas Hassan), croient que l’heure de la revanche a sonné pour eux, et proposent sans hésiter leurs services au projet de colonisation française (à l’exception d’une fraction dirigée par Ehel Marrakchi, et quelques autres en Adrar, qui firent dissidence de leurs cousins, en rejoignant la résistance). La France trouva en eux un précieux allié. Ils présentaient l’avantage d’être en conflit avec presque toutes les tribus maures, qu’ils n’avaient aucun attachement à une région ou un territoire particulier, d’être de bons connaisseurs de la société et du pays, et ils étaient familiarisés de longue date avec les armes. C’est ainsi que tous les premiers goumes coloniaux de Mauritanie sont constitués quasi-exlusivement de Oulad Bousbaa. Ils conserveront ce monopole et cette préférence auprès de la France. C’est là aussi l’origine d’un peu de fortune pour certains d’entre eux. Après l’indépendance, la plupart des Oulad Bousbaa préfèreront suivre leur employeur français au Sénégal, ou rentrer au Maroc, plutôt que rester en Mauritanie. Ils ne reviendront en nombre en Mauritanie qu’au début des années soixante dix, timidement d’abord, puis plus massivement à partir du milieu des années quatre vingt. Ils sont redescendus par vagues successives du Sénégal et du Maroc, après qu’ils s’y soient fait oublié. Les événements avec le Sénégal allaient occasionner le plus gros retour des Oulad Bousbaa en Mauritanie. C’est peut-être une simple coïncidence, mais c’est aussi à partir de cette date que la Mauritanie entre de plein pied dans l’ère de la fraude, du trafic en tous genres, de la drogue, de l’alcool, de la prostitution, du blanchiment d’argent, des détournements à grande échelle, de l’argent roi.
Les Oulad Bousbaa de Mauritanie, étaient jusque récemment encore, une tribu plutôt pauvre, sans patrimoine, ni territoire propres. Ils se consacraient au commerce, pour les plus dignes d’entre eux, ceux qui possédaient quelques têtes de chameaux. Pour les autres, ils s’adonnaient à de petites activités commerciales douteuses, au Sénégal essentiellement. Nous l’avions dit : les Oulad Bousbaa, à quelques rares exceptions, furent les premiers à proposer leurs services aux visées colonialistes de l’hexagone, dans l’espoir de prendre leur revanche sur les tribus et émirats qui les avaient chassé. Autant dire que sans eux la France ne serait peut-être jamais allée au-delà de la région du fleuve Sénégal. C’est grâce à leur aide, et leur connaissance du terrain, que s’est faite la « pacification » du Trarza, puis du Tagant (Où un Oulad Bousbaa a achevé de sang froid, d’une salve de fusil à grenaille, le grand héros et résistant Bakar Ould Soueid’Ahmed, à Bougadoum, alors qu’il était déjà mortellement blessé), et enfin l’Adrar (cf le commandant Frère-Jean, 1906). Après le départ des français les Ould Bousbaa ont vite périclité. La plupart préférèrent rester au Sénégal ou retourner au Maroc (leur pays d’origine), plutôt que s’installer en Mauritanie, où leur inimitié séculaire avec la quasi-totalité des tribus du pays, s’était doublée, pour la plupart d’entre eux, de l’étiquette peu enviable de suppôts du colonialisme français.
C’est dire donc que jusqu’au milieu des années soixante dix il était rare de rencontrer un Oulad Bousbaa en Mauritanie, où ils n’avaient aucun lieu de résidence connu, ou qui soit attaché à leur nom. Les quelques Oulad Bousbaa qui existaient en Mauritanie, se rencontraient essentiellement à Nouakchott ou Atar, pour les plus en vue, et pour le reste il s’agissait de quelques tentes qui vivaient de leur élevage, et qu’on pouvait rencontrer, en cherchant longuement, en Inchiri et au Trarza. C’est dire aussi que jusqu’au début des années quatre vingt les Oulad Bousbaa ne possédaient absolument rien, si on exceptait, les quelques têtes de chameaux et les quelques dizaines de boutiques du Sénégal cités plus haut.
Ce petit aperçu historique n’a, je l’ai dit, d’autre but que d’éclairer le lecteur sur l’histoire, les pratiques, et mentalité, de ceux qui aujourd’hui nous gouvernent. Car c’est le droit de chaque mauritanien de savoir. Certains diront que c’est un homme qui nous dirige, et que sa tribu n’a pas à être mise à l’index. Malheureusement, hier comme aujourd’hui, et aujourd’hui plus que jamais d’ailleurs, ce qui nous dirige c’est encore et toujours une tribu, jamais un homme seul, ou un groupe d’hommes. Des tribus qui profitent du pouvoir il y en a toujours eu en Mauritanie. Mais le danger cette fois c’est qu’il s’agit d’une tribu qui, dans son écrasante majorité, n’a aucun attachement réel à la Mauritanie ( ils n’y ont ni territoire, ni patrimoine, ni histoire propres), et dont les attaches véritables sont notoirement étrangères. D’aucuns pensent qu’ils n’ont d’autres pays que l’argent et le profit tout simplement.
Pour la première fois les richesses de la Mauritanie sont massivement déplacées à l’étranger, chez les voisins, et les moins voisins, à l’insu des mauritaniens. Autrefois, les détournements, l’argent publique, finissait toujours par profiter à la Mauritanie, d’une manière ou d’une autre. Ces détournements restaient malgré tout au pays, car ceux qui en étaient les auteurs (quelque soit leur tribu, de l’est, du nord, ou du sud) avaient leurs attaches en Mauritanie, nulle part ailleurs. Ils y investissaient toutes leurs richesses, bien ou mal acquises. C’est là une maigre consolation c’est vrai, mais elle vaut toujours mieux que rien. Aujourd’hui nous faisons face à une tribu au pouvoir, et à des hommes, qui prennent la Mauritanie pour un grand navire en naufrage, qu’il faut vider en vitesse, puis disparaître, vers sa cité toute proche, ou vers une planque lointaine. Ce qui les intéresse ce n’est pas les passagers en détresse sur le navire, ceux là peuvent attendre. Ils sont sourd à leurs souffrances et à leurs appels désespérés. Il s’occupent uniquement des cales et des trésors qu’elles renferment. A ceux parmi ces naufragés qui s’agrippent à eux malgré tout, ils leurs disent que eux sont là pour vider les cales, et qu’ils ont très peu de temps devant eux (on les comprends ; le navire sombre de toutes parts, sabordé par quelques complices à bord). Suprême astuce, pour être tranquilles, ils font croire aux miraculés qu’une autre équipe de secours viendra après eux, pour les sauver. Les pauvres naufragés n’ont d’autres choix qu’attendre, impuissants, accrochés à leur seul espoir. Ils regardent, médusés, la cargaison de leur navire disparaître sous leurs yeux. Et quand le dernier corsaire aura quitté le navire, avec le dernier trésor tiré des soutes, les naufragés comprendront trop tard qu’aucune équipe de secours ne pourra jamais plus les sauver. Ils n’auront plus que le choix entre nager jusqu’à l’essoufflement ou couler à pique. Comme quoi les vrais Boat People sont ceux qui restent chez eux, et voient impuissants leurs richesses s’en aller par la mer.

De la dynastie Ehel Taya, à la Dynastie Ehel Eleya
Cahier de devoirs d’un petit écolier issu de l’école X-OULD-Y.

Jusqu’au début des années quatre vingt les Oulad Bousbaa ne comptaient pas d’hommes fortunés à proprement parler. Leur patrimoine se limitait à quelques têtes de chameaux en Mauritanie, et quelques dizaines de boutiques au Sénégal. Les deux hommes les plus riches de la tribu étaient : Sidi Ould Dahi, qui possédait tout au plus une ou deux maisonnettes (plus tard il sera très riche grâce à l’argent publique. Il avait trouvé une combine avec un trésorier publique de Rosso, du nom de Jeyid Ould El Bou, de la tribu Laghlal, qui lui prêtait l’argent de sa perception. Sidi le faisait travailler et le lui rendait avant chaque contrôle. Un jour Sidi lui tourne le dos, avec tout l’argent du trésor. Le trésorier se donnera la mort pour éviter l’humiliation et le déshonneur), et Azizi Ould El Mamy, transitaire à l’époque, qui possédait tout au plus une grande concession sise au Ksar (héritée frauduleusement de feu Commandant Soueidatt Ould Wedad, chez qui il était gérant), actuellement siège du groupe multinational Transac (appartenant à la tribu).
Mais je me limiterais ici, pour ne pas être trop long, aux deux personnalités aujourd’hui les plus en vue, les chefs des Oulad Bousbaa New age : celles qui détiennent le pouvoir. Les autres suivront, dans d’autres textes.

I/ La dynastie Ehel Eleya
1 / Les chefs du CMJD

A/ ELY OULD MOHAMED VALL OULD ELEYA.
Un conte maure dit qu’un jour une hyène trouva le sanglier « arr » (en hassaniya) en train de saccager un champs de « tara » (petit buisson très prisé de « arr »). L’hyène lui demande alors pourquoi il se donnait tant d’efforts à déterrer cette plante sans valeur ni goût. « Arr » le sanglier lui répondit que s’était pour avoir du muscle et se forger un puissant cou. L’hyène lui demande alors pourquoi il voulait avoir un puissant cou ? Le sanglier « arr » lui répondit le plus naturellement du monde que c’était pour pouvoir déterrer « tara ».
Cette fable pourrait en tous points s’appliquer au président du CMJD (et les cousins complices et alliés) actuellement au pouvoir. Pourquoi est-il si riche ? c’est pour prendre le pouvoir. Pourquoi alors prendre le pouvoir ? C’est encore pour être riche.
En vérité Ely ne cherche pas le pouvoir, en tout cas pas pour l’heure. Il est trop malin pour savoir qu’il ne peut encore le conserver. Ce qu’il veut, en attendant, c’est se forger une fortune impériale, qui lui permette d’assurer à coup certain son come-back et celui de son clan. La transition est réglée sur mesure pour assouvir ce plan. Elle lui permettra de se débarrasser de ceux qui feraient encore obstacle, placer ses hommes, remplir ses valises, confier les clés du palais à l’autre Ould Eleya du CMJD, confier les clés de l’économie à Bouamatou et les autres hommes de la tribu, puis s’en aller tranquillement en vacances, avant le retour triomphal. Bouamatou vient d’ailleurs de rentrer d’un voyage en Belgique où il a acheté deux villas flambant neuves pour Ely. Avant cela Ely avait acquis il y a quelques mois deux villas en Tunisie, et une à Las Palmas. Ely ne l’a d’ailleurs pas caché à son confident François Soudan. Il lui répond qu’à la fin de la Transition il compte beaucoup voyager. On sait maintenant vers quelles destinations. Il dît aussi à J.A, sur un ton qui ne veut plus de place au doute, que sa retraite est assurée. On sait désormais que ce n’est pas sur sa pension de retraite que le colonel compte pour assurer ses vieux jours.

Ely Ould Mohamed Vall Ould Eleya :
natif de Louga au Sénégal. Fait école buissonnière, puis s’essaye à la petite délinquance dans sa jeunesse. Plusieurs larcins à Rosso, à la fin des années soixante, chez des boutiquiers et des particuliers. Fait de la prison, mais est libéré à chaque fois, par l’entremise de son beau frère Sid’Ahmed Ould taya, époux de sa grande sœur Lemliha Mint Eleya, actuelle épouse de Ould Bouamama, un oulad Bousbaa. A cette époque, Maouiya Ould Taya, jeune officier, avait l’habitude de passer ses jours de vacances chez son grand cousin Sid’Ahmed à Rosso. Lemliha profite de l’un de ses passages pour lui plaindre la perdition de son jeune frère Ely, et le supplie en larmes de faire quelque chose afin de lui éviter de sombrer dans le banditisme. Ce dernier lui conseille de le prendre avec lui et de l’enrôler dans l’armée, seule capable de le redresser, selon lui. C’est ainsi que Ely rentre dans les rangs, sous le parrainage de Ould Taya. Celui-ci ne le laissera plus tomber. Il fera grâce à ould Taya une ascension fulgurante dans la hiérarchie militaire. Il est entrée en simple officier, et débarque en Mauritanie en pleine guerre du Sahara(où il ne combattit pas beaucoup), après plusieurs années d’études (Sénégal, France, Maroc), et dès 1984 il était déjà commandant de région militaire. En 1985 il est membre du CMSN, où il sera nommé directeur de la sûreté nationale, poste qu’il occupera jusqu’au jour où il décida d’être le tombeur de son unique bienfaiteur après Allah. A partir de son poste de DGSN Ely se consacre entièrement à sa tribu. Il se met à construire autour d’elle un véritable empire tribal. Il fait littéralement renaître les Oulad Bousbaa (plus exactement le tout venant de celle-ci, qui en constitue aujourd’hui le pilier).
Ely a un style particulier : il fait tout sans en donner l’air, et sans jamais être en première ligne. Son action est d’autant plus efficace ,pour son projet tribal ,qu’il agit dans l’ombre, le silence, et toujours par le biais d’hommes de mains, sans jamais apparaître lui-même. Ely est paresseux, c’est connu. Mais quand il s’agit d’intervenir pour un Oulad Bousbaa de sa propre fabrication, ou défendre les intérêts de la tribu, il bondit, en plein milieu de la nuit. Il n’y a qu’à voir comment il s’est démené pour faire libérer son cousin Baba Ould Ahmed Youra, accusé de haute trahison, lors de l’affaire des vallées fossiles (il aurait favorisé le Sénégal, au détriment de ce qui est supposé être son pays. Vingt ans plus tôt il avait impunément saccagé la SNIM, dont le petit avion se déplaçait pour livrer un bouquet de menthe pour le thé de madame à Las Palmas, qui n’en trouvait pas sur place). C’était la première fois dans l’histoire de la Mauritanie, qu’une tribu osait narguer ouvertement l’autorité de l’état, avec une démonstration de force sans précédent. Le palais de justice et la prison civile sont littéralement assiégés, nuit et jour, les juges menacés, les policiers molestés. Ce siège se poursuivra jusqu’à la libération du détenu Oulad Bousbaa, par acquittement. Ce fut alors une explosion de joie Oulad Bousbaa, qui prit d’assaut les rues de Nouakchott, insultant et vociférant contre l’état, les autorités, le pouvoir, dans l’impunité la plus totale. C’était là ,le début véritable du retour de la toute puissance tribale. Cet épisode allait être le départ de ce qui maintenant est une des traditions politiques les plus acceptées ; chaque tribu défend ses fils en prison, et fait le siège jusqu’à leur libération. Ely a un principe aussi, il ne donne rien directement de sa poche .Ely, à la différence de bien de ses « cousins » authentiques, est si radin, qu’il en étranglerait un coq pour un grain de blé avalé, comme on dit chez nous . Il use de tous les moyens, menaces, intimidations, délations, pour se débarrasser des obstacles qui se dressent devant la nomination, l’avancement, ou la prolifération financière, de ses cousins. Au bout des cinq premières années seulement de son arrivée à la DGSN les Oulad Bousbaa « d’arrivage » avaient commencé à émerger, au détriment des tribus traditionnellement et historiquement puissantes, grâce aux pouvoirs « Elyséen » de Ely. C’était les débuts de la revanche, sur la Mauritanie et ses tribus, « des enfants du père du lion » ( traduction de « Oulad Bousbaa »), revenus d’outre frontières. L’empire des fils « des enfants du père du lion » règne aujourd’hui en maître absolu sur la Mauritanie, et les principaux postes clés de la république, sont solidement tenus par la tribu. L’emprise Oulad bousbaa ,est désormais totale, et son pouvoir, ne souffre d’aucune intrusion. Le pétrole, les mines, l’industrie, la pêche, le pain, les pâtes, le commerce, les finances, le tabac, la drogue, le blanchiment d’argent, les armes, rien n’échappe plus à Ely et sa nouvelle tribu.

Les biens propres d’Ely lui-même.
Commençons par dire qu’Ely est issu d’une famille extrêmement pauvre. Elle squattait un terrain sis dans l’enceinte même de l’actuelle Radio Mauritanie, où elle avait une tente pour seule habitation, et une chèvre, une seule, comme tout patrimoine. Avant 1984, Ely ne possédait pas un mur, et ne parlons même pas de voiture. En 1984, au moment du coup d’état, Ely habitait une maison sise près des jardins maraîchers de Nouakchott. Cette maison appartenait à sa sœur Lemliha, que celle-ci avait obtenue en dot de divorce de son ex mari. Il faut noter qu’on ne lui connaît aucune activité autre que celle de DGSN, dont le salaire ne dépasse au meilleur des cas 200.000 ouguiyas (environs 800 dollars aujourd’hui). D’ailleurs sa fonction lui interdit toute autre activité.
Au matin du 03 Août 2005 Ely devenait pourtant le premier président riche de la Mauritanie. Son patrimoine personnel à cette date est composé de plusieurs dizaines de villas et appartements, de plus de 7 marchés, de centaines de terrains parmi les plus lucratifs du pays, de chaînes de stations-service, de magasins, boulangeries, des dizaines de milliers de têtes de bétail, et ne comptons même pas les voitures et autre mobilier. Il est actionnaire dans plusieurs banques et sociétés parmi les plus florissantes du pays. Il serait fastidieux de faire le décompte de la fortune d’Ely, mais pour vous donner une petite idée de son degré de richesse, il suffit de savoir que rien que le revenu tirés de ses loyers immobiliers dépasse 27 millions d’ouguiya par mois ( 1 millions d’euros annuels), sans compter les revenus de ses avoirs financiers et commerciaux. Cà c’est pour ce qui est plus ou moins avouable. Il y a maintenant les sources de revenus occultes, de loin les plus importantes. La défunte Fédération Nationale des Transports par exemple (qu’il a dissout sous la contrainte des bailleurs de fonds, tellement elle était devenue tentaculaire et puissante, grâce à Ely qui en fit sa chasse gardée, autant pour ses renseignements que pour ses finances) reversait à Ely bon an mal an plus de 100 millions d’ouguiya (le fameux service payé), que Ely engloutissait en totalité, alors qu’ils était destinés au trésor publique. On ne compte pas les recettes de la police, qui vont, elles aussi, directement dans les poches sans fond d’Ely. Chaque agent devait partager avec Ely les 200 ouguiya qu’il percevait à tors et à travers, sur chaque voiture qui a la mauvaise idée de s’arrêter à un contrôle de police. Et la moindre incartade d’un agent à cette règle était sévèrement réprimée. En contrepartie les policiers avaient libre cour pour tout ce qu’ils voulaient faire d’autre avec les pauvres automobilistes. Si la police est aujourd’hui l’un des corps les plus corrompus de l’état c’est grâce à Ely, qui vingt ans durant s’appliqua méticuleusement à en faire le premier pourvoyeur de bandits et hors la loi de Mauritanie, à telle enseigne qu’elle en est à jamais irréformable. La lutte contre le banditisme passe aujourd’hui avant toute chose par le démantèlement pure et simple de cette police. Mais puisque celle-ci n’en est devenue que plus forte depuis le 03 Août, le banditisme a atteint depuis des sommets jamais égalés. Il y a aussi les débits d’alcool, qui devaient reverser à Ely un pourcentage conséquent de leurs recettes, s’ils ne voulaient pas avoir des décentes de police et les démêlées avec la justice. Il y a encore les prostituées et les délinquants, sur l’activité desquels Ely fermait l’œil, en contrepartie d’une partie des recettes, des fois des paiements en nature et en bonne chair pour les prostituées. Un réseau de proxènètes et receleurs se chargeait d’acheminer les paiements ou la chair (des mineures souvent) à Ely, au bureau, en brousse, ou en appartement. Certains de ces proxènétes et receleurs sont devenus aujourd’hui des personnages semi-officiels, qui se déplacent au sein même de la délégation présidentielle, et s’affichent au grand jour (notamment le célèbre Soueid’Amar, communément connu des pros sous le nom de « médecin de nuit », pour ses « ambulances » nocturnes, qui arrivent en urgence absolue au moindre coup de téléphone abonné). Tous ces milieux bien entendu servaient aussi d’indics pour les renseignements. Enfin arrive la drogue, et le blanchiment d’argent sale. Pour la drogue, la plaque tournante était Nouadhibou, où Ely avait placé son homme de confiance ; le commissaire Ould Adda, qui se chargeait de faire tourner le business. En plus des activités liées à la drogue, Ould Adda se livre au racket des étrangers, qu’il déleste de sommes importantes en devise, notamment les pauvres touriste, les concurrents du Rallye Paris-Dakar, les pauvres candidats à l’exil en Boat people (ce n’est pas pour rien que le nombre des clandestins en partance pour l’Europe depuis les côtes mauritaniennes a décuplé à partir du 03 Août, car la Mauritanie est devenue une vraie passoire et le business tourne à fond, dirigé désormais par nos propres services de sécurité), les prostituées encore une fois. Sur chaque vol d’Air Mauritanie, de grosse enveloppes de devises, sont acheminés par Ould Adda vers son boss à Nouakchott. Ely Gratifiera Ould Adda du poste de directeur de la sûreté de l’état après le 03 Août, pour ses bons et loyaux services, poste qu’il occupe aujourd’hui. Quant au blanchiment d’argent sale, Ely opère avec son cousin, banquier, et associé, Mohamed Ould Bouamatou. Mais celui-là nous lui consacrerons une rubrique entière à lui tout seul. Ely a en main aussi la Douane, où il a fait nommer un cousin (ou devenu tel, par un sombre marchandage). Ce cousin du nom de Mouhamedou Ould Bousneina fait passer toutes les marchandises Oulad Bousbaa en franchise absolu de droits et taxe, d’abord quand il était au port de Nouakchott où il est resté dix ans, puis ensuite à la douane. Ely fait aussi, par le biais du banquier de la tribu Mohamed Ould Bouamatou, la contrefaçon de billets de Banque, et en submerge le marché (le fils d’un ancien député de la vallée avait failli divulguer le pot aux roses, avant d’être dissuadé autant par des menaces de mort que par des arguments sonnants et trébuchants. Quand à l’affaire Marc d’Ombres, associé et DGA de Bouamatou, qui était au fait des trafics en tous genres qui s’y tramait et voulut en informer au dernier moment, il ne dut son salut qu’à sa fuite vers son pays). Ely intervient auprès de la BCM pour faire céder des paquets de devises au profit de la GBM, et à ses cousins, et fut ainsi le premier artisan de la chute libre de notre monnaie nationale. Une réforme du secteur bancaire, qui était en cours avant le 03 Août, allait imposer que les banques ne soient plus dirigées par les actionnaires, ce qui constitua une menace directe sur les activités occultes de Ely à la GBM si Bouamatou était obligé de céder la gestion de la GBM à une personne étrangère au « business », d’aucuns disent que ce fut l’une des raisons déterminantes du putsch. Ely, il faut le dire, n’a confiance qu’en ses cousins et frères. Toutes ses activités sont chapotées par un frère ou un cousin direct. Bokke Ould Eleya, le jeune frère, est chargé des marchés publiques. Il raflera tous les marchés juteux des télécoms (Domsat, les antennes relais du réseaux GSM, etc.). Il gère aussi les licences de pêche pour le compte du grand frère. Bokke a quelques hobbies propres ; récolter l’argent pour son frère, collecter les villas (il en possède une bonne quinzaine à Nouakchott, plus un appartement à Las Palmas en face de l’hotel Mélia), se saouler à mort, et jouer comme un malade dans les casinos. Ahmed Bezeid Ould Allouch, cousin maternel d’Ely, et Oulad Bousbaa, jouissait de la confiance d’Ely, pour lequel il gérait tous ses biens immobiliers, avant de tomber en disgrâce, au profit d’un autre cousin (la mère d’Ely a tenté jusqu’à sa mort de réconcilier son fils et son neveu, sans succès, car Ely, comme Ould Taya, a la rancune tenace). Ahmed Baba Ould Eleya, cousin direct d’Ely, a repris la place de Ould Allouch dans la gestion du patrimoine foncier d’Ely. Il dirigea aussi la chaîne de boulangeries de son patron, avant d’être parachuté président de la puissante fédération des boulangeries de Mauritanie, qui était elle aussi un nid d’indics. Ahmed Baba Ould Eleya était avant cela le maître berger chargé exclusivement du cheptel du grand boss. C’est lui qui vient de remporter le marché de la troisième licence de téléphonie que d’aucuns appellent aujourd’hui « ELYTEL », car bien sûr Ahmed Baba, tout le monde le sait, ne fait qu’agir pour le compte de son patron de président. Enfin, preuve s’il en faut qu’Ely ne fait confiance qu’à ses cousins et ne s’en cache plus, il confie sa garde personnelle après le 03 Août au plus proche parmi les proches : le colonel Mohamed Ould Abdelaziz Ould Eleya lui même. Même Ould taya, qui n’est pourtant pas susceptible de détester ses parents, n’avait nommé un cousin à lui, même lointain, pour assurer sa garde rapprochée. C’est une première dans l’histoire du pays, aucun président avant Ely n’avait été ostentatoire à ce point (si l’on excepte le contexte bien particulier où Moctar Ould Daddah fit nommer quelques uns de ses frères à de hautes fonctions de l’état). C’est que Ely ne veut pas commettre l’erreur de Ould Taya, et confier sa sécurité personnelle, celle de son pouvoir, à une personne étrangère au cercle familiale ; il sait ce qu’il en coûte. Le problème c’est qu’avec un tel précédent chaque président (s’il en arrive bien sûr) voudra s’entourer exclusivement de ses proches, et plus personne ne pourra s’en offusquer. Autrement dit c’est la voie grande ouverte vers les dynasties tribales, à partir d’un bastion présidentiel, tribalement bien en main.

B/Le deuxième membre du CMJD (le CMJD ne compte en réalité que deux membres) :

Mohamed Ould Abdelaziz Ould Eleya.
Natif aussi de Louga au Sénégal. Cousin direct d’Ely, et gardien du temple « Elyséen » depuis le 03 Août. Touche à la délinquance dans sa jeunesse, comme son grand cousin moustachu. Plusieurs séjours en prison à Louga, dans les années soixante dix (vols à la boutique et menus larcins). Il doit sa libération à chaque fois au mari de sa tante, du nom de Ould Lehah (tribu Kounta), commerçant établi à Louga, depuis plusieurs années. Il débarque en Mauritanie vers la fin des années 70, et va voir son cousin Ely. Celui-ci, qui connaît déjà la potion, l’enrôle dans l’armée, et lui décroche une bourse militaire pour l’Académie de Mekhnès (celle-là même dont est issu Ely). Au Maroc Ould Abdelaziz (Oueiziz pour les potes, et Aziz pour les moins intimes) sombre dans l’alcool. C’est en fréquentant le milieu de la « saoul », ou les « potes » (comme on les appelle en Mauritanie), qu’il rencontrera sa future épouse, elle-même alcoolique, et droguée jusqu’à la moelle. Il commence à fréquenter la famille de sa futur épouse, une famille de notables mauritaniens smassid (çà tombe bien pour lui), établie au Maroc. Le père n’en croît pas ses oreilles quand Ould Abdelaziz se décide à lui demander la main de sa fille, tellement heureux qu’on le soulage de cette pauvre fille dont il ne sait plus quoi faire. Reconnaissant, le père fera tout dès cet instant pour que Ould Abdelaziz fasse une ascension fulgurante dans l’armée, et fera jouer toutes ses relations au Maroc et en Mauritanie. Revenu au pays il est repris en coupe par Ely, que la nouvelle relation matrimoniale de Ould Abdelaziz avec la tribu Smassid rend fou de joie, car elle va lui faciliter infiniment la tâche et le rôle auquel il destine son jeune cousin. C’est qu’il avait déjà des projets pour lui. Dès lors Ould Abdelaziz cesse d’être le militaire qu’il ne fut jamais. Il ne connaîtra plus que les bureaux climatisés, et les atmosphères feutrées des villas cossues de Tevragh-Zeina. A l’armée il laissera, dans les quelques postes qu’il a occupé çà et là avant de se mettre en rampe de lancement pour la présidence, l’image d’un homme propret, douillet, presque délicat, qui a l’air de tout sauf d’un rugueux militaire (depuis qu’il a délogé héroïquement une femme et ses trois enfants du palais présidentiel, Aziz nous la joue Attila le Hun, ou les durs mystérieux. Mais seuls les civils sont impressionnés. Les militaires eux savent ce qu’il en est). On lui prête des préoccupations uniquement somptuaires, partout où il est passé. La seule chose qui l’intéresse c’est comment écouler son budget, et il en avait toujours de conséquents de budget (il avait notamment une rubrique spéciale au budget de l’état intitulée « divers nourritures », pour le BASEP. Cette rubrique était dotée d’environs 130 millions, que Aziz engloutissait en entier, et affamait ses soldats). Une petite anecdote avec un jeune sergent en dit long. Ould Abdel Aziz avait infligé une sanction de mise aux arrêts de rigueur contre ce sergent. Un jour il arrive et trouve la porte de la prison du jeune sergent fermée, comme il se doit. Au lieu de l’ouvrir avec la clé, Aziz se défoule et la défonce. Le jeune sergent, qui était à l’intérieur, lui dit alors qu’il sait pourquoi il a défoncé la porte ; c’est pour trouver prétexte à dépense, et remplacer toutes les portes de la garnison. Aziz furieux lui double sa peine. Il a laissé une très mauvaise impression dans les quelques garnisons qu’il a commandé (il n’a jamais servi ailleurs qu’à Nouakchott). Les soldats qu’il a commandé se plaignent tous du détournement systématique de leurs rations alimentaires, rations qui étaient sa seule source d’enrichissement durant ses premières années. Même quand il est devenu relativement riche, Aziz continuait à détourner la ration alimentaire de ses hommes. C’est d’ailleurs la raison principale pour laquelle ses hommes n’ont pas voulu combattre pour lui lors du coup d’état du 08 juin. Si certains hommes du BASEP sont revenus pour reprendre le combat c’était uniquement à cause de feu capitaine Mohamed Ould Oudaa, officier héroïque, qui combattit jusqu’à la mort ce jour là, et pour lequel les soldats du BASEP vouaient une estime et un dévouement sans limite. Le 08 juin Ould Abdelaziz disparaît avec les clés du dépôt de munition du BASEP. Ould Oudaa ordennera à ses hommes de défoncer la porte, puisque Aziz était introuvable. Aziz ne réapparaîtra que le lendemain matin, après que le BASEP ait livré le plus dur des combats, toute une nuit durant, sans lui. Un autre exemple du mauvais traitement que Ould Abdelaziz infligeait à ceux qui le servaient est un pauvre soldat, qui lui était détaché en ordonnance pour sa maison (autrement dit un domestique). Aziz l’a emprisonné plusieurs jours, et l’a humilié publiquement, pour avoir simplement cassé un plat de vaisselle. Aziz est un personnage ombrageux, qui vit enfermé, et déteste les visiteurs. Il est distant, arrogant, suffisant. C’est qu’il a sur qui compter ; d’un côté son cousin Ely, de l’autre sa femme, très introduite au palais, amie et confidente de la présidente pour laquelle elle tenait lieu de chef de cabinet jusqu’à sa disgrâce, disgrâce que d’aucun disent qu’elle fut le déclic qui précipita le 03 Août. Après un petit passage donc à l’état major, puis à la sixième région militaire, Aziz allait se voir propulser, par l’action conjuguée de Ely et celle de son épouse, au poste de commandant du très convoité BASEP, chargé de la sécurité présidentielle. Commence alors pour lui l’heure, de l’enrichissement d’abord, puis du pouvoir ensuite. C’est lui qui le premier initia la pratique, très en vogue depuis, de l’accaparement des places publiques. Il commence par s’approprier sans autre forme de procès la place publique sise face l’école 2 du Ksar. Dans cette parcelle de terrain surdimensionnée il construisit son célèbre Hammam, où les militaires qu’ils commandaient avaient obligation de travailler et servir les clients gratuitement. Suivent plusieurs autres places publiques, et quelques terrains bien placés. Ensuite Aziz s’improvise transporteur, et acquiert coup sur coup une vingtaine de camions semi-remorques. Pour un jeune colonel dont la solde mensuelle ne dépasse guère 100.000 ouguiya, il y a déjà de quoi adhérer au syndicat des patrons de son cousin Bouamatou. Il en était encore à ce niveau quant il est sollicité par son grand cousin pour le 03 Août. Depuis cette date le patrimoine du jeune ambitieux a cru à vue d’œil. Aujourd’hui il a une usine près de Bénichab, dans l’Inchiri. Il possède un domaine de plusieurs kilomètres dans la même région, où sont acheminés jour et nuit des dizaines de containers qui pourraientt être une nouvelle usine d’on ne sait trop quoi. Il a acheté plusieurs villas au Maroc, où parait-il il compte se retirer en cas de pépins. Il a placé de l’argent en bourse à Casablanca, que des cousins font fructifier. Quant à Nouakchott il y possède déjà plusieurs villas, et pas un seul marché publique juteux n’est passé sans qu’il en perçoive sa commission. Il paraît qu’il s’est spécialisé dans le domaine de la pêche, dont il fait sa chasse gardée, par le biais de son homme à tout faire ; le commandant de la surveillance des pêche, nommé par lui-même à ce poste, en dehors de toute procédure légale (même le chef d’état major, qui est seul habilité à nommer un militaire, n’était pas au courant). Ce dernier se charge, avec l’aide du ministre, de chasser du secteur les anciens armateurs, puis les faire remplacer par de nouveaux, qui devraient émaner soit de Aziz directement soit être associés aux hommes d’affaires CMJDEENS (entendez exclusivement Oulad Bousbaa, ou agrées).
A suivre..
A.O.K

18 janvier, 2007 15:36  
Anonymous Anonyme said...

Mauritaniens, mauritaniennes, toutes ces rumeurs ne sont pas fondées.
Nous savons de quoi nous parlons, nous avons des informateurs très bien placés.
Il faut que tout le monde sache la vérité, nous courrons à notre perte si des personnes malveillantes ou mal renseignées continuent à tenir de tels propos.
Ces rumeurs ,c'est-à-dire, l'appui du CMJD à la candidature de Sidi Ould Cheikh Abdellah et l'éventuel candidature de Ely Ould Mohamed Vall sont toutes créées de toute pièce par les partisans d'un homme ,que nous ne citerons pas.
Nous vous jurons sur l'honneur et devant Dieu que c'est la vérité, toute la vérité rien que la vérité.
Cet homme sentant que ses chances d'arriver au pouvoir s'amenuisées était prêt à tout faire pour empêcher que les élections présidentielles aient lieu dans de bonne condition, il a donc inventé de toute pièce un scénario qu'il a mis en oeuvre avec l'aide de ses collaborateurs.
Il prend le risque de déclencher une guerre civile dans le pays alors que ce dernier est proche du chaos .
Nous tenons juste à vous tenir au courant chers bloggers et chers compatriotes, l'avenir de la nation est entre vos mains, saisissez cette chance inestimable qui ne se reproduira plus une deuxième fois.
Nous vous assurons que le vote sera transparent et sous contrôle.
Aucun bourrage des urnes ne sera possible.
Il sera la continuité de celui des légilatives et des sénatoriales.
Réfléchissez bien, soyez logique et mettez de côté ces rumeurs sans fondement et surtout DANGEREUSES pour notre nation et pour chaque vie dans cette nation.
Nous voulons la paix, la prospérité et la justice et tout cela passe fondamentalement par une Démocratie dont les pilliers fondateurs seront à jamais, grâce à Dieu et grâce à vous, protégés et soutenus pour le bien de la patrie et pour l'unité nationale.
Nous ne sommes avec ou contre aucun candidat, nous voulons juste oeuvrer pour , nous le répètons , notre unité nationale, la seule chose que nous vous demandons de faire c'est de Voter librement.
Nous vous jurons sur l'honneur que toutes les personnes qui risquent le destin de la nation par le biais de leurs actions immorales et égoistes seront jugées tôt ou tard.
Merci pour votre écoute et bonne continuation à chacun d'entre vous.

Des hommes qui vous veulent du bien.

18 janvier, 2007 15:48  
Anonymous Anonyme said...

A..O.K

J'avais des doutes que les knivards (utlisateurs de KIV) avaient de si belles plus.
C'est tant mieux vous les utiliserez pour pleurer votre Kleylou de Taya.
Frère-Jean (comme tous les français de l'époque coloniale), on trouvé des trous (dans tous les sens du terme) pour perpétuer l'espèce? Où!
Là où leurs paroles sont sacrées!
Je n'ai indexé personne, mais qui se sent morveux se mouche
A.O.KAKA

18 janvier, 2007 15:54  
Anonymous Anonyme said...

A.O.K
TAYA était-il si sobre?
L'alcool est venu avec les colons. Sais-tu où les premières brasseries ont éclos en Mauritanie. Chez Taya. C'est pas grave, c'est de l'histoire...
Toi aussi tu picoles sauf que l'argent que tu piquais dans les caisses de l'Etat, tu n'y a plus accès alors tu enrages.
Ne seais-tu pas par hasard un ancien secrétaire d'Etat de l'ère Taya?
A.O.KAKA

18 janvier, 2007 15:59  
Anonymous Anonyme said...

we are desperatelty waiting for a blog Mr XouldY.
be quick

18 janvier, 2007 16:03  
Anonymous Anonyme said...

A.O.K
Ta lâcheté n'a d'égale que celle de x-ould-y!
Alors x-ould-y ne signe plus A.O.KAKA
Le baiseur de ta soeur

18 janvier, 2007 16:07  
Anonymous Anonyme said...

AVIS AU PUBLIC

SAWAB voulait présenter un candidat à la présidentielle en la personne de Ismael Ould Amar. Mais le vieux n'arrêtait pas de péter. Alors plus de candidature (lol), c'était le plus en vue par xouldy

18 janvier, 2007 16:11  
Anonymous Anonyme said...

A Elimane bilbassi, le raciste.
cesse de nous importuner avec ton esclavage et ton inexistant probleme de la cohabitation nationale. AJD Flam et Plej n'ont rien obtenu aux elections ils ne representent rien.Ces problemes n'existent que dans ta cervelle de moineau raciste. Les anciens esclaves sont maintenat ministres et font la cour aux filles de leurs anciens maitres. et bonne chance. Quand à la cohabitation il n y a pas de problemes: blancs et noirs sont musulmans mais c'est à cause du racisme des gens comme toi qu'il y a eu des problemes en 66, en 87 en 89 quand vous avez tenté un putsch pour egorger les berberes.heureusement que cela n'a pss marché car vous les thiouks vous êtes sans pitié. au lieu d'avoir honte de tenter de nous massacer en 86 et d aider au génocide de vos freres maures blancs et noirs au senegal en 1989 vous criez au racisme.Elimane, azmad effeymak yali yaetik ergeybatt
Ben ibn Tachefine, le magnifique

18 janvier, 2007 16:26  
Anonymous Anonyme said...

x guetlak elycom tha ila 3ad hamou yetracha7 ma kanet hamtou ya 9er cha3b mouritanie bih enniva9 wer5ay da5al v rassou yasser men lekhramez wi la hemtou i3oud mahou 3a9el bih eli vat gal v aljazeera 3annou mahou metracha7 ou sewlouh 3an maaouiya kanou igued yetracha7 galhoum 3anou yen6aba9 3lih tha eli yen6aba9 3lihoum

18 janvier, 2007 16:28  
Anonymous Anonyme said...

Ely, Daddah, Massoud, Maouloud,CMJD, etc are all Mort-anians, let them fight their way to power to the death of the last one. We the people! Let us debate and bark as the caravan passes.

ZORO (from the place of much ado about nothing)

18 janvier, 2007 16:36  
Anonymous Anonyme said...

a alakhbar info*cessez d'ecrire :"selon des sources bien placées" c'est incorrect!

18 janvier, 2007 16:49  
Anonymous Anonyme said...

Mr the barker ,
HIO to all bloggers,today i preferd to write in englich,after noticing that a lot of commentat talk,and very well,english lol

Let us not be precipitated,the end of transition doesn't come yet.And the CMJD did not declar his ambition to prolong the tran-perdiod,or to make ely president!

In my way,i think like the anonymous,who declared that those news are maybe rumourus conveid by the cfcd,to disturb the trans-process.Candidats,sur of their defeat want to cause a civil war,in wich no winners but only flow of blood,is the result.

So thinkers,let wait and see.After that commnet!

To x ould y:

DO you speak english?


Rim.

18 janvier, 2007 16:50  
Anonymous Anonyme said...

aujoudhui c'est les Ouladbousbaa hier c'était les Idawalis qu'on diffame dans votre blog de merde.ASSEZ!

18 janvier, 2007 16:53  
Anonymous Anonyme said...

A.O.K = X ould Y = elhasoud = elmekhzi...

g des preuve pour ça

18 janvier, 2007 17:07  
Anonymous Anonyme said...

minable soldatdit:
mes respects mon colonel, ah oui, je suis en civil(donc je peus dire mon point de vue), alors, à ELYCOM nous avons marre de la Mauritanie de discrimination, de corruption, de malle gestion..etc; bref nous voulons respirer avec nosz poumons et non des poumons pretées car, vivre avec des moyens aléatoires (comme c le cas pour 99% des foctionnaires de l'Etat) par ce qu'il s'agit de: el KERYE, EL MA3ta donc el KHAWVE et ETMA3).
s'il vout plait laisser nous vivre pour le restant de nos jours avec nos propres gains et éduquer nos enfants au mois sur les bonnes choses, ce qui ne peut pas être tant que nous nous alimentaons de l'argent sale

18 janvier, 2007 17:09  
Anonymous Anonyme said...

minable soldat:
à tous les DOUBBATT et DOUBATT ESSAF, gadez-vous bien et préparez vos armes, pour recuperer notre Mauritanie de la plus mauvaise dictature, celle de nos présidents jusque là. sinon c foutu

18 janvier, 2007 17:13  
Anonymous Anonyme said...

Mauritaniens, mauritaniennes, toutes ces rumeurs ne sont pas fondées.
Nous savons de quoi nous parlons, nous avons des informateurs très bien placés.
Il faut que tout le monde sache la vérité, nous courrons à notre perte si des personnes malveillantes ou mal renseignées continuent à tenir de tels propos.
Ces rumeurs ,c'est-à-dire, l'appui du CMJD à la candidature de Sidi Ould Cheikh Abdellah et l'éventuel candidature de Ely Ould Mohamed Vall sont toutes créées de toute pièce par les partisans d'un homme ,que nous ne citerons pas.
Nous vous jurons sur l'honneur et devant Dieu que c'est la vérité, toute la vérité rien que la vérité.
Cet homme sentant que ses chances d'arriver au pouvoir s'amenuisées était prêt à tout faire pour empêcher que les élections présidentielles aient lieu dans de bonne condition, il a donc inventé de toute pièce un scénario qu'il a mis en oeuvre avec l'aide de ses collaborateurs.
Il prend le risque de déclencher une guerre civile dans le pays alors que ce dernier est proche du chaos .
Nous tenons juste à vous tenir au courant chers bloggers et chers compatriotes, l'avenir de la nation est entre vos mains, saisissez cette chance inestimable qui ne se reproduira plus une deuxième fois.
Nous vous assurons que le vote sera transparent et sous contrôle.
Aucun bourrage des urnes ne sera possible.
Il sera la continuité de celui des légilatives et des sénatoriales.
Réfléchissez bien, soyez logique et mettez de côté ces rumeurs sans fondement et surtout DANGEREUSES pour notre nation et pour chaque vie dans cette nation.
Nous voulons la paix, la prospérité et la justice et tout cela passe fondamentalement par une Démocratie dont les pilliers fondateurs seront à jamais, grâce à Dieu et grâce à vous, protégés et soutenus pour le bien de la patrie et pour l'unité nationale.
Nous ne sommes avec ou contre aucun candidat, nous voulons juste oeuvrer pour , nous le répètons , notre unité nationale, la seule chose que nous vous demandons de faire c'est de Voter librement.
Nous vous jurons sur l'honneur que toutes les personnes qui risquent le destin de la nation par le biais de leurs actions immorales et égoistes seront jugées tôt ou tard.
Merci pour votre écoute et bonne continuation à chacun d'entre vous.

Des hommes qui vous veulent du bien.

18 janvier, 2007 17:17  
Anonymous Anonyme said...

Mauritaniens, mauritaniennes, toutes ces rumeurs ne sont pas fondées.
Nous savons de quoi nous parlons, nous avons des informateurs très bien placés.
Il faut que tout le monde sache la vérité, nous courrons à notre perte si des personnes malveillantes ou mal renseignées continuent à tenir de tels propos.
Ces rumeurs ,c'est-à-dire, l'appui du CMJD à la candidature de Sidi Ould Cheikh Abdellah et l'éventuel candidature de Ely Ould Mohamed Vall sont toutes créées de toute pièce par les partisans d'un homme ,que nous ne citerons pas.
Nous vous jurons sur l'honneur et devant Dieu que c'est la vérité, toute la vérité rien que la vérité.
Cet homme sentant que ses chances d'arriver au pouvoir s'amenuisées était prêt à tout faire pour empêcher que les élections présidentielles aient lieu dans de bonne condition, il a donc inventé de toute pièce un scénario qu'il a mis en oeuvre avec l'aide de ses collaborateurs.
Il prend le risque de déclencher une guerre civile dans le pays alors que ce dernier est proche du chaos .
Nous tenons juste à vous tenir au courant chers bloggers et chers compatriotes, l'avenir de la nation est entre vos mains, saisissez cette chance inestimable qui ne se reproduira plus une deuxième fois.
Nous vous assurons que le vote sera transparent et sous contrôle.
Aucun bourrage des urnes ne sera possible.
Il sera la continuité de celui des légilatives et des sénatoriales.
Réfléchissez bien, soyez logique et mettez de côté ces rumeurs sans fondement et surtout DANGEREUSES pour notre nation et pour chaque vie dans cette nation.
Nous voulons la paix, la prospérité et la justice et tout cela passe fondamentalement par une Démocratie dont les pilliers fondateurs seront à jamais, grâce à Dieu et grâce à vous, protégés et soutenus pour le bien de la patrie et pour l'unité nationale.
Nous ne sommes avec ou contre aucun candidat, nous voulons juste oeuvrer pour , nous le répètons , notre unité nationale, la seule chose que nous vous demandons de faire c'est de Voter librement.
Nous vous jurons sur l'honneur que toutes les personnes qui risquent le destin de la nation par le biais de leurs actions immorales et égoistes seront jugées tôt ou tard.
Merci pour votre écoute et bonne continuation à chacun d'entre vous.

Des hommes qui vous veulent du bien.

18 janvier, 2007 17:20  
Anonymous Anonyme said...

anonyme 18 janvier, 2007 17:20

je vois ce que tu veu dire.Mais quel est le degré de ta sureté de l'incorrectiblite de ce q'avance x ould y

ely te la dit?

18 janvier, 2007 17:25  
Anonymous Anonyme said...

voila une verité incontestable!
Helas,Vue de loin pour bien des gens(observateurs), la Mauritanie apparaît comme un pays tranquille, calme, sans problème majeur, stable même aux dires de ses dirigeants. C'est une image trompeuse qui égare bien des observateurs ; la Mauritanie est un pays complexe, secret, un volcan endormi, qui couve une crise interne découlant des relations d'équilibre intercommunautaire, aujourd'hui rompues.
Cette perception première, trompeuse à souhait, est due au fait qu'à l'image de beaucoup de pays africains depuis le discours de la Baule, la Mauritanie, elle aussi, dispose de sa " démocratie". Avec une constitution (sur mesure) des partis politiques qui foisonnent, une presse écrite dite "indépendante" mais je préfère dire "presse privée" et de temps à autre, un simulacre de compétition électorale, pour compléter le tableau ; ce sont bien là des attributs, pour qui n'est pas averti, d'une parfaite démocratie, et l'on se croirait dans un pays où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Nos plaintes et nos réserves à l'endroit de notre"démocratie" mauritanienne ne seraient pas alors comprises. Et pourtant ! La Mauritanie recouvre une tout autre réalité, dissimule une face cachée de démocratie raciale !
Telle est la réalité que bien des gens ne comprennent pas. Et pour la faire comprendre il nous faut faire un détour, un long détour, remonter quelque peu le cours de l'histoire récente du pays .

Il est nécessaire de rappeler que la Mauritanie est un Etat conventionnel, artificiel, créé de toutes pièces pour les besoins du colonialisme français en 1904, je vous fais l'économie de la géopolitique de l'époque. La France, par sa volonté, décida donc de faire coexister, dans un même espace, deux communautés, arabo-berbère et négro-africaine, deux communautés, il faut le souligner, qui s'étaient forgées chacune au cours de l'histoire dans un espace autonome, régies par des pouvoirs politiques spécifiques, indépendantes l'une de l'autre. Elles entretenaient naturellement, du fait de la proximité, des relations tantôt amicales, le plus souvent heurtées à cause des incessants rezzous maures opérés, pillant et capturant la population des villages à des fins d'esclavage (origine, entre autres, de la composante haratine actuelle). Depuis l'indépendance, nos chefs politiques, incapables de se départir de l'esprit partisan, tous issus du milieu maure, se sont attelés sans
relâche à développer,tour à tour, des politiques qui, loin de forger la nation encore inexistante, ont conduit à des crises cycliques, répétées, à une déchirure profonde entre les deux communautés.
Par ces politiques nocives développées au fil des années et des régimes que guidait un système inique, on mit en place un apartheid déguisé. Je dis déguisé car on le chercherait en vain dans les textes institutionnels alors qu'il existe partout, pour peu qu'on observe.

Le racisme d'Etat est partout Cette discrimination raciale commença d'abord feutrée, subtile, insidieuse, pour un projet qui allait devenir obsessionnel : construire une Mauritanie exclusivement arabe !
Pour ce faire, des mécanismes furent mis en oeuvre pour que l'Etat soit la"chose" des arabo-berbères ; progressivement, au rythme des résistances qu'opposaient les négro-Africains, ont fit de sorte que les Arabo-Berbères contrôlent la réalité du pouvoir politique et économique, la justice, l'éducation, l'armée.

La diplomatie ne sera pas en reste ; à l'extérieur , il faut afficher l'image d'une Mauritanie arabe par la composition des délégations, le discours et les clichés culturels, il faut gommer totalement l'autre "personnalité" de la Mauritanie. Évidemment, pour masquer la nature discriminatoire des régimes, on va saupoudrer un peu quelques nègres de service, sans responsabilité aucune, personnalités aux genoux tremblants, figurines sans aucun pouvoir de décision !

Un des rouages essentiels de cette machine à discriminer fut l'usage qu'on fit de la langue arabe.Cette langue, introduite très tôt dans le système éducatif... à des fins" d'indépendance nationale", disait le discours officiel ! Vaste supercherie, qui visait en fait à cacher des motivations sordides. On lui fit jouer un rôle non pas d'intégration, non pas d'épanouissement pour tous, mais d' instrument de sélection et de discrimination dans l'emploi et l'éducation pour éliminer les négro-Africains. Les enfants négro-africains commencèrent à échouer massivement. Ce fut la période où il y eut un raz-de-marée sans précédent de cadis, de magistrats, d'enseignants, des centaines de jeunes sautant à pieds joints dans le système, sans aucune formation, et dont le seul critère de recrutement imposait un passage par l'école coranique. Comme si passer par cette école entraînait automatiquement les compétences et les capacités requises ! Un vrai gâchis au plan national, à la base de
l'impasse et de la déchéance actuelle du système éducatif. Ce fut donc le prélude à la rélève des négro-Africains, le commencement de leur marginalisation massive, qui allait se poursuivre et atteindre son apogée avec l'avènement du colonel Taya . Bien entendu, au fur et à mesure des réformes impopulaires et imposées, des réactions d'hostilité ne manquèrent pas de s'exprimer du côté négro-africain. Les réformateurs marquaient alors un temps d'arrêt ; en fins stratèges ils donnaient du mou à la ligne, pour laisser passer l'orage, et obstinément le projet était poursuivi. Beaucoup d'observateurs, se méprenant alors sur le sens de ces crises, les présentaient, à tort, comme des crises inter-ethniques, comme si les communautés arabo-berbère et négro-africaine se dressaient, par animosité, l'une contre l'autre. Ce ne fut jamais le cas. Ces crises étaient à l'image de ce qui se passait au Kwazulu-natal du temps de Botha. Elles étaient orchestrées par nos dirigeants à
des fins politiques, ils les exploitaient alors à chaque fois et judicieusement ; ils les présentaient, en milieu maure, comme des menaces graves aux intérêts et acquis maures, de manière à créer autour d'eux un consensus. Ce fut le cas pour les évènements de 1966, de 1987 et de 1989 pour ne citer que les plus graves et les plus douloureux. Ce n'est pas par hasard si la déportation de 120 000 noirs mauritaniens au Senégal et au Mali ne suscita que peu d'émoi du côté des intellectuels et de la classe politique beydane, où l'on remarquait un silence assourdissant.
Si, par ailleurs, des blancs risquèrent leur vie ou se firent pendre (aux USA avec l'underground) pour la cause des faibles, ce ne fut pas le cas en Mauritanie pendant ces terribles déportations. Seuls quelques jeunes du Mouvement des démocrates indépendants (MDI) allaient faire exception. Or, j'ai toujours eu le sentiment que l'intellectuel ressemblait davantage à Zola qu'à Gobineau ou Goebbels, et qu'il ne pouvait rester sans rien faire, sans rien dire devant l'injustice.

Pourquoi un tel silence ? Le régime du colonel-président avait-il réussi à les convaincre ? C'est là du reste une dimension, entre autres, qui rend malaisée la recherche d'une solution au problème, au regard de l'ambiguïté de ces formations politiques sur notre question nationale. Certaines formations, si elles ne nient pas purement et simplement l'existence du problème, le réduisent à une simple question linguistique, ou de violation des droits de l'homme. A les entendre il suffirait, pour tout régler, que les déportés reviennent. Le débat, en général, dans l'opposition politique, au lieu de se focaliser sur les vrais problèmes, tourne hélas autour de questions périphériques. En tout état de cause, ces déportations planifiées, aux relents de nazisme, avaient des motivations sordides. Il s'agissait de profiter du "conflit" avec le Sénégal pour tenter de "dénégrifier" le pays, car le taux d'accroissement important des négro-Africains est devenu une hantise, au
point que tous les résultats des recensements démographiques (par ethnie) sont tenus secrets et ceci depuis 1960 ! Il s'agissait aussi de saisir cette occasion pour faire passer enfin une réforme foncière qui rencontrait une forte résistance en milieu négro-africain, pour servir des intérêts inavoués. La déportation, justement, permit de redistribuer la terre, et les terres de ces réfugiés en exil forcé au Sénégal, comme s'ils ne devaient plus jamais revenir ! Il s'agissait enfin de frapper les esprits en sévissant durement et partout pour intimider, afin de décourager à jamais toute velléité de résistance, en décapitant la seule force politique organisée que sont les FLAM, de manière à neutraliser l'avant-garde éclairée de la contestation du projet hégémonique. Dans le feu des événements allait surgir une quatrième raison : récupérer le bétail peulh ( 150 000 bovins ) pour compenser les pertes matérielles subies par les Maures rapatriés du Sénégal. Pour se venger
du Sénégal voisin, les autorités mauritaniennes allaient se rabattre, sans remords, sur leurs propres citoyens qu'elles spolièrent et dépossédèrent pour les chasser ensuite comme de "vulgaires étrangers". Quelle ignominie ! Et dire que l'Afrique se tait devant ces actes barbares, ici et au Soudan ! Et qu'à côté, on garde un silence, à la limite de la complicité. Mais revenons après cette digression, que j'ai crue utile, au fil chronologique de notre marginalisation.
Ainsi donc, au fil des années et des régimes guidés par un même projet, la discrimination raciale allait s'accentuer, pour s'afficher violemment dans les années 1980. Si, avec les premiers régimes, un peu plus futés, elle fut feutrée, sous le règne du colonel Taya qui, lui, ne s'embarrassera pas de scrupules, les négro-Africains passeront de l'état de marginalisation à l'exclusion totale ouvertement déclarée, dans laquelle il faut replacer les déportations évoquées plus haut.

Le colonel Taya allait, le premier, donner le cadre juridique de notre élimination par une constitution qui imposerait désormais la langue arabe comme seule langue officielle. Mesure certainement légitime pour la communauté arabo-berbère, mais injuste pour les négro-africains de l'aveu même de Hamid El Mauritanyi, connu sous le nom de Mohamed Ould Cheikh, ancien ministre de la Défense de Daddah, qui disait : " Vouloir que ceux qui savent à quoi s'identifier abandonnent leurs valeurs propres pour être embrigadés dans l'aventure de ceux qui se cherchent une identité est non seulement de l'arbitraire, mais d'une politique culturelle imbécile." Les plans d'ajustements structurels du FMI, arrivant à point nommé, servirent pour vider l'administration des négro-Africains, surtout. Résolu, par une répression physique et mentale féroce, sans tergiverser comme ses prédécesseurs,Taya allait, à marche forcée, consolider le système et afficher l'option désormais déclarée d'une
Mauritanie exclusivement arabe. " La Mauritanie n'est pas en voie d'arabisation, c'est un pays arabe", devait-il déclarer à Jeune Afrique en janvier 1990. J'avais besoin de ce détour pour montrer les conditions prévalant en Mauritanie, à la veille de la fameuse démocratisation... pour que l'on comprenne que la Mauritanie n'a pas été et n'est pas comme les autres pays africains que balaie le vent démocratique. Ici, on a affaire à une minorité arabe qui, pour pérenniser son pouvoir, abuse de l'Etat et use d'une politique à soubassement idéologique pour assimiler et asservir les autres composantes culturelles, une minorité qui confisque le pouvoir depuis près de quarante-cinq ans, qui ne veut ni l'abandonner, ni le partager. Le contexte dans lequel arrivent notre"démocratie" et le "coup d'Etat " du 3 août 2005, c'est celui-là. Notre "démocratie" arrive donc et se plaque sur cette triste réalité qu'elle recouvre, intacte, sans rien changer, se muant ainsi en
une "démocratie raciale", à la manière de l'antique Afrique du Sud ; il suffit de gratter un peu pour découvrir derrière le racisme le plus hideux, l'exclusion la plus brutale, l'esclavage le plus primaire. Maintenant, vous pouvez comprendre pourquoi les négro-Africains se plaignent (légitimement de leur "démocratie"... qui n'est pas comme les autres. Nous ne nous sentons pas concernés par cette pseudo-démocratie qui nous exclut, nous avons cessé de croire en notre" Etat ", on a fait de nous des spectateurs passifs du jeu de compétitions électorales réservées... aux citoyens (blancs) à part entière. Du reste, on tend de plus en plus à une bipolarisation raciale du champ politique. En Mauritanie, on est dans une phase en-deçà de ces démocraties, même tarées, qu'on retrouve ailleurs, et que nous envions, et pour cause ! Nous sommes, nous, négro-Africains, au stade où nous luttons pour notre survie, pour notre reconnaissance en tant que citoyens, en tant qu'hommes
simplement, dans un milieu hostile où l'homme voue l'homme au racisme et à l'esclavage. Notre "démocratie" est assise sur la tête qu'il faut redresser.

J'ai le sentiment qu'on a mis les charrues avant les boeufs, et qu'il n'est pas encore trop tard pour bien faire. Il est temps de comprendre que l'exclusion est en soi économiquement mauvaise, socialement corrosive, politiquement explosive.
Comprenons qu'une " nation dispersée, battue, humiliée peut (heureusement) toujours se rebeller contre son sort et revenir à la vie". Tentons dès à présent de sortir de ce cul-de-sac qui, tout le monde le sait, ne mène nulle part. Pour en sortir, il faut, à mon avis, une attitude, un climat et des conditions.

Une attitude courageuse, d'ouverture sincère et de reconnaissance du problème de fond.

Un climat de décrispation sociale grâce à un train de mesures positives à l'endroit de tous ceux qui, victimes et blessés dans leur chair, ont subi des préjudices matériels et moraux. La sanction des crimes commis pour rendre leur dignité aux victimes, à leurs veuves et à leurs enfants. Je crois qu'il faut se parler, car ce formidable potentiel de révolte enfouie commence à gronder. Il serait erroné de croire que vingt années de calme plat peuvent exclure toute éventualité de soulèvement populaire. Après seulement ce forum, dont les conclusions pourraient éventuellement être soumises au peuple, comme l'ont proposé les véritables FLAM, on aborderait enfin la phase d'une véritable démocratisation.

D.S.F (vérité et lumiére )

18 janvier, 2007 17:37  
Anonymous Anonyme said...

Chers frères et soeurs,il est temps de rompre avec les hypocrites et les barbares en Mauritanie .c'est pour cela je vous propose de choisir un candidat noir pour changer vraiment la Mauritanie après 47 ans de pillage des arabo-berbères qui ne sont autres que même leurs propres familles souffrent désormais de cet malhonnête. Voici quelques propositions pour l'avenir de tous les Mauritaniens.

1)-La reconnaissance de la communauté haratine comme étant à part entière victime de l'esclavage et du racisme dans la constitution de la république.

2)-Criminaliser le rascime et l'esclavage dans la constitution.

3)-La creation des strictures d'accueille pour les victimes de l'esclavage et les assurer d'une formation pour qu'ils puissent s'integrer dans la societe avec un avenir à long terme.

4)-L'indemnisation des victimes de l'esclavage pour les permettre de repartir dans des bonnes bases.

5)-Le reglement du passif humanitaire qui perdure.

6)-Le retour des deportes et exilés au Mali et Senegal sous l'egide du H.C.R

7)-La reintegration des fonctionnaires negro.mauritaniens et l'indemnisation des orphelins des victimes de la barbarie raciscite.

8)-La creation d'une commission de verite et reconciation,la restitution des corps soldats negro-mauritaniens qui ont ete executer sommairement à leurs familles pour pouvoir faire le deuil de leurs proches et aussi la reconnaissance de leurs enfants comme pupilles de la nation.

9)-L'extradition des criminels en liberté actuellement devant un tribunal national ou international pour repondre aux crimes commis.

10)-une loi pour la protection des minorités quelques soient leurs races ou religions.

11)-L'instauration d'un systeme des quatos en faveur des haratine(esclaves) longtemps exclus par les instutions de la republique islamique de Mauritanie.

12)- Faire la Mauritanie d'un etat laic et juste.

13)-Une loi pour la protection des enfants mineurs,rendre obligatoire la scolarisation des enfants et aussi le service militaire à l'age de 18 ans avec à la clé un metier pour l'avenir.

14)-L'integration dans les manuels scolaires que le racisme et l'esclavage est un crime contre l'humanité.

15)- La reconnaissance de tous les acteurs sociaux,les movements syndicaux et les associations qui oeuvrent pour ameliorer les conditions de vie de nos citoyens.

16)-La mise en place d'une administration entierement au service des citoyens ,toute accolade passive ou active de corruption sera severement puni.

17)-Une couverture sociale pour les plus demunies,creation des revenus minimum et l'assurance maladie universelle pour tous.

Merci diko hanoune membre de
l'association des haratine de Mauritanie
en Europe.www.haratine.com




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L’esclavage sévit en Mauritanie (Score: 1)
par diko (diko12003@yahoo.fr) le 18 janvier 2007 à 17:26:58 CET
(Profil Utilisateur | Envoyer un message) http://www.crodem.org
Chers frères et soeurs,il est temps de rompre avec les hypocrites et les barbares en Mauritanie .c'est pour cela je vous propose de choisir un candidat noir pour changer vraiment la Mauritanie après 47 ans de pillage des arabo-berbères qui ne sont autres que même leurs propres familles souffrent désormais de cet malhonnête. Voici quelques propositions pour l'avenir de tous les Mauritaniens.

1)-La reconnaissance de la communauté haratine comme étant à part entière victime de l'esclavage et du racisme dans la constitution de la république.

2)-Criminaliser le rascime et l'esclavage dans la constitution.

3)-La creation des strictures d'accueille pour les victimes de l'esclavage et les assurer d'une formation pour qu'ils puissent s'integrer dans la societe avec un avenir à long terme.

4)-L'indemnisation des victimes de l'esclavage pour les permettre de repartir dans des bonnes bases.

5)-Le reglement du passif humanitaire qui perdure.

6)-Le retour des deportes et exilés au Mali et Senegal sous l'egide du H.C.R

7)-La reintegration des fonctionnaires negro.mauritaniens et l'indemnisation des orphelins des victimes de la barbarie raciscite.

8)-La creation d'une commission de verite et reconciation,la restitution des corps soldats negro-mauritaniens qui ont ete executer sommairement à leurs familles pour pouvoir faire le deuil de leurs proches et aussi la reconnaissance de leurs enfants comme pupilles de la nation.

9)-L'extradition des criminels en liberté actuellement devant un tribunal national ou international pour repondre aux crimes commis.

10)-une loi pour la protection des minorités quelques soient leurs races ou religions.

11)-L'instauration d'un systeme des quatos en faveur des haratine(esclaves) longtemps exclus par les instutions de la republique islamique de Mauritanie.

12)- Faire la Mauritanie d'un etat laic et juste.

13)-Une loi pour la protection des enfants mineurs,rendre obligatoire la scolarisation des enfants et aussi le service militaire à l'age de 18 ans avec à la clé un metier pour l'avenir.

14)-L'integration dans les manuels scolaires que le racisme et l'esclavage est un crime contre l'humanité.

15)- La reconnaissance de tous les acteurs sociaux,les movements syndicaux et les associations qui oeuvrent pour ameliorer les conditions de vie de nos citoyens.

16)-La mise en place d'une administration entierement au service des citoyens ,toute accolade passive ou active de corruption sera severement puni.

17)-Une couverture sociale pour les plus demunies,creation des revenus minimum et l'assurance maladie universelle pour tous.

Merci diko hanoune membre de
l'association des haratine de Mauritanie
en Europe.www.haratine.com

18 janvier, 2007 17:45  
Anonymous Anonyme said...

salam
pour ceux qui appellent a la guerre,civile!

ecoutez moi bien,sachez que vous n'etes pas guerrier,en suite que meme lorseque vous deciderez d'entamer la resitance,Votre insurrection sera represseé tot ou tard et arrivera à un echec fulgurant!

Pour que la mauritanie sort de la crise saine et sauve,le seul moyen c'est le dialogue.La force c'est pour les ignorant,ou les colonisés.Et c'est pas notre cas.Malgrés tout je garde un espoir sur Le CMJD,qui sont nos freres aprés tout.NON?

Et dieu est plus savant

18 janvier, 2007 17:53  
Anonymous Anonyme said...

DSF montre toi,tu es ou en europe ou en afrique tu es maure ou kwar, c'est quoi DSF?
pourtant tu dis des choses veridique sur la mauritanie et pourtant moi personnellement je suis un maure blanc et j'ai 34 ans j'ai j'ai jamais connu que y'a tant du racisme et de discrimination pour mes fréres négro- je demande pardon
dis moi,DSF est ce vrai le 28 novembre l'Etat mauritanien a pendu 28 de ses fréres

18 janvier, 2007 18:17  
Anonymous Anonyme said...

les haratines,vous faites chier le monde! il n'ya plus d'esclavage en mauritanie. vous allez nous jouer "holocauste" bientôt?

18 janvier, 2007 18:31  
Anonymous Anonyme said...

A qui profite le crime?
Quelques oiseaux de mauvaises augures font le relais d'une tentative de prolonger la transition.
En fait, il s'agit de quelques aigris d'un pouvoir que leur candidat ne peut gagner dans des circonstances transparentes et qui cherchent, aidés en cela par les nostalgiques de l'ancien régime, à semer la zizanie dans nos esprits.
Le calendrier pour la présidentielle est bien pour le 11 mars alors que le meilleur gagne. Et cessez de croire tout ce que raconte ce ZREIRIT de xouldy et ses acolytes (même s'ils ne sont pas toujours du même bord).
Ils se recoupent dans le mensonge.

18 janvier, 2007 18:41  
Anonymous Anonyme said...

Honestly, we're sick and tired of your poor literature about racial and class-based racism. Stop crying all the time, and step up with something constructive. As far I am concerned I don't give a damn to you, your dead or your Taya. It's none of my business or worries. So go off. It's true a "Kawry" is always a "Kawry". You know why we say here "Kalmett Kawry", because they are not capable of reasoning, I fear they don't have that capacity in the first place (lol). Go fight your war, a la Don Quixote.

18 janvier, 2007 18:50  
Anonymous Anonyme said...

----------
If you mean Ahemed Ould Elbou, could you please give me his contact number or email. I've been desperately trying to reach him, ever since we lost track of each other two years ago.

Ahmed Maaloum
--------------------
Voilà son mail:laowai1@hotmail.fr

me demande pas qu'est ce que ça veut dire laowai,je crois que c'est du chinois;

18 janvier, 2007 19:26  
Anonymous Anonyme said...

Ahmed Maaloum,
il fait comment au senegal?

conaté

18 janvier, 2007 19:29  
Anonymous Anonyme said...

mohamed ould sidoca
I knew you are the one said those
remirouse about cmjd backing his father is from the leaders of CFCD
you man so convidence that your dead will be the next president you will see even with the backing of ALMOUNAVIKEEN we will send him and his SARAKE home like ZIEDAN .. WE DON'T NEED A BLOOD CHILD AS YOU SAID WE JUST NEED A FAIR ELECTION

18 janvier, 2007 19:31  
Anonymous Anonyme said...

Mr Rimos at the top and Rim at bottom- no double meaning here (lol).

You're warmly welcome in our English-talking shop. Now, if you're Rimos I would say Ely will stand in the next elections. If by contrast you're Rim, I am inclined to say that he wouldn't. After all, Ely loves Rim, his country. Believe it or not, he loves it so much to keep it for life. (lo)

You're welcome again. It's been a pleasure.

ZORO (from Rim, the place of much ado about nothing, the place of Ely)

18 janvier, 2007 19:35  
Anonymous Anonyme said...

parce que les noirs ne sont pas esclavagistes?

18 janvier, 2007 19:40  
Anonymous Anonyme said...

To ANO 19:26

Sorry for the delay, It's my first visit to the blog today. My unbounded gratitude for the email.

To conate (sorry for the accent my keyboard is English). This is another Ahmed Maaloum.

18 janvier, 2007 20:01  
Anonymous Anonyme said...

svp
un mot au mois pour l'interet general de la mauritanie chaque fois que vous echangez des insultes.
amw

18 janvier, 2007 20:09  
Anonymous Anonyme said...

maaloum
i know who you are,and my keyboard is perfect,so don't try hiding from me.I m a marabout i can know poeple,without even seeing them or hearing of them!

yer man!!!it's the power of "sihr"..."grigri"

...And

if i'm not wrong,you're from dakar?

conaté the marabout.

18 janvier, 2007 20:12  
Anonymous Anonyme said...

maaloum
i know who you are,and my keyboard is perfect,so don't try hiding from me.I m a marabout i can know poeple,without even seeing them or hearing of them!

yer man!!!it's the power of "sihr"..."grigri"

...And

if i'm not wrong,you're from dakar?

conaté the marabout.

18 janvier, 2007 20:12  
Anonymous Anonyme said...

maaloum
i know who you are,and my keyboard is perfect,so don't try hiding from me.I m a marabout i can know poeple,without even seeing them or hearing of them!

yer man!!!it's the power of "sihr"..."grigri"

...And

if i'm not wrong,you're from dakar?

conaté the marabout.

18 janvier, 2007 20:14  
Anonymous Anonyme said...

Ahmed O Daddah est un homme dangereux. Il est dangereux pour la stabilité du pays parce qu’il est obsédé par le fauteuil présidentiel. Depuis qu’il s’est rendu compte qu’il ne pourra pas, arithmétiquement, gagner l’élection présidentielle il fait tout pour dérailler la transition. Cette homme refuse d’accepter le verdict des urnes (les législatives ont montre qu’il n’est populaire que chez lui au Trarza) et tel Hitler, il mettrait le pays a feu et a sang (celui des autres bien sur), plutôt que d’accepter que le peuple ne veut plus de lui. Les rumeurs c’est lui, les initiatives bidons pour que la transition se prolonge c’est lui, les attaques personnelles contre ses opposants, c’est encore lui. Ahmed Ould Daddah est un mégalomane et sa place n’est pas a la tête de notre pays mais plutôt dans un asile de fous.

18 janvier, 2007 20:14  
Anonymous Anonyme said...

madame CHERCHMALA
d'une part c'est vrai ahmed ould DADAH est un poison pour le pays ainsi que ould taya et ely ould mohamed vall.
d'autre part le moutachu est voleur est ce qu'il peut declarer son patrimoine. jamais . il a volé la mauritanie couché avec les bonnes senegalaises les femmes des ministres s'est un ignoble personnage.
j'appele aux armes citoyens pour deberraser le pays de ses energuménes

18 janvier, 2007 20:31  
Anonymous Anonyme said...

Ano: 20:12

You're funny and different, reason why I hope I know you. But, I am afraid this is not the case. It seems your "Sihr" is not working this time around. No worry, it happens even to you, the great Saher.

Any way, I'm happy to make the acquaintance of someone from the "other world", or more accurately who has relations in the "other world". Send your genies now, puff, smoke, fire…but I'm nowhere to be seen.

About the keyboard: it's mine which can't type French accents because it's ENGLISH.

Ahmed Maaloum who is not your Ahmed Maaloum

18 janvier, 2007 20:42  
Anonymous Anonyme said...

anyone knows xouldy email?
help

18 janvier, 2007 21:17  
Blogger Maatala said...

bonsoir

Hugo

Il existe aussi d’autres scénarios catastrophes:

-Les nominés (lol) du second tour se déclarent vainqueurs

-l'un refuse la victoire de l'autre au premier ou second tour, et appelle à la désobéissance civique ou violente.

-les militaires chauffés par les Damitudes migraineuses ou nostalgiques des tapis rouges et escortes les poussent à siffler la fin de la récréation.

Tu as le choix entre le coup d’état juridique ou le saut dans le vide.

Bon appétit dit le FOU

maatala

18 janvier, 2007 21:46  
Anonymous Anonyme said...

Hi x-ould-y

sorry for my broken english I'm still learning the language but I'll try to make the point.
I'm studying english in Zoni Language Center in new york city.

anyway I was one day talking about mauritania to my classmates and then the teacher heard us, so he asked what's Mauritania where is it? howcome I never heard of it and stuff like that.
I told him about it and we became close friends after that and he told me that he's also writer and that he works for THE NEW YORK TIMES newspaper.
In fact two days ago I explained to him the current political situation of mauritania and he was quite intersted so I suggest to him if he can publish me a document about mauritania on THE NEW YORK TIMES and then he said ok, give me the document and I'll see if it's interesting.

so x-ould-y,can you do me a big favour, I need u to write me "un presume" of our transitional military goverment actions and their lies to the public opinion from the meoment they took power to today.

by the way I'll try to convince the guy to put "info source: x-ould-y" at the end of the doc.

THANKS in advance x-ould-y
REGARDS

PS: my email: ahmed.abdellahi@googlemail.com

18 janvier, 2007 21:54  
Anonymous Anonyme said...

les gars c'est la nouvelle mode, on se la joue anglophone, on se la joue élitiste pour ne pas ressembler au peuple, pour ne pas parler comme lui.
c'est bien les aristos, n'arrêtez pas de vous la péter!

18 janvier, 2007 22:01  
Anonymous Anonyme said...

maatalla , qu'est se qui se passe chez toi? t'as fumé quoi au juste !!!
tu pense qu'ely après avoir pillé le pays avec insolence , vas encore mouiller l'q pour gouverner se pays de merde!!!!!!!!
t'as jamais imaginé le fait que le gars tellement il a de la tune qu'il se dit "vaut mieux se retourner et gerer ses biens que de s'taper un putch au q "

18 janvier, 2007 22:15  
Anonymous Anonyme said...

Le President de DSF Ahmed Ould Salek doit savoir qu'il y a desormais un autre DSF. (RIRE)
Le nouveau DSF est bien fache', il est specialiste en BETISES et il tien a' creer une confusion dans les esprits.
Je pense que mon ecrit qui place la classe politique Mauritanienne dans la categorie des BETES, ne lui a pas plu. Sa replique etait simple: Ecrire une longue betise puis l'attribuer a' DSF.

Democrates sans frontieres n'a pas fait l'ecrit du 18 Janvier, 2007 11:47. Pour la petite histoire, nous demandons au CMJD de faire une declaration pour mettre fin a' cette rumeur qui attribue cet ecrit raciste a' DSF. (RIRE)

Dia Samba Fousseynou, Diallo Soukabe Foulbe', Diabira Silman Fitine'...etc, sont prie's de continuer a' ecrire leurs betises respectives dans utiliser DFS.


Mauritanois:
Sidi Ould Cheikh Abdallahi, Ahmedou Ould Abdallah, Ahmed Ould Dadah, Mohamed Khouna Ould Haidallah et Messaoud Ould Boulkher ont la credibilite' necessaire pour diriger la Mauritanie. Je n'aurais aucun probleme a' ajouter le nom de Mohamed Ould Mowloud a' cette liste.

Les membres de la coalition ne sont pas serieux, sinon c'est Ahmed Ould Dadah leur choix naturel. S'ils sont tous candidats, c'est parce qu'ils ont des comptes a' regler entre eux memes. Des hommes qui ne peuvent meme pas gerer une petite coalition BIDON, ne doivent jamais diriger la presidence de la republique parce qu'ils viennent de montrer au vu et au su du monde entier qu'ils sont incapables de gerer une coalition. SI VOUS NE POUVEZ PAS GERER UNE PETITE COALITION, JE NE VOIS PAS COMMENT VOUS POUVEZ DIRIGER ET/OU GERER LES NOMBREUSES CONTRADICTIONS QUI EXISTENT EN MAURITANIE!

Je suis persuade' que Colonel Ely ne sera pas candidat MAIS SI LES CIRCONSTANCES EXIGENT A' CE QU'IL SOIT CANDIDAT, JE N'Y VOIS AUCUN PROBLEME. Les "dirigeants" politiques ne doivent pas oublier qu'ils ont visite' de nombreuses capitales a' travers le monde pour justifier le coup d'etat du 3 Aout 2005. Je pense qu'ils doivent reprendre leur baton de pelerin pour aller expliquer au monde entier POURQUOI EUX, ILS N'ARRIVENT PAS A' S'ENTENDRE ENTRE EUX MEMES ET DE CE FAIT, POURQUOI COLONEL ELY DOIT RESTER AU POUVOIR JUSQU'A L'AGE DE 83 ANS!(rire)

Des fois. certaines declarations des ces faux dirgeants me donnent des maux de tete. Par exemple, ils demandent au CMJD de faire une declaration pour dire qu'il ne soutient pas Sidi Ould Cheikh Abdallahi. EST-CE QUE CES PERSONNES MEDITENT AVANT DE PARLER?
Si la rumeur persiste et la strategie de Sidi Ould Cheikh Abdallahi marche ( faire croire qu'il a le soutien du CMJD POUR AVOIR TOUS LES OPPORTUNISTES DE SON COTE'), c'est aux autres candidats de savoir quelles sont les strategies qu'il faut utiliser pour combattre la rumeur et gagner du terrain. QU'EST-CE QUE CES FAUX DIRIGEANTS FONT? ILS EXIGENT UNE DECLARATION DU CMJD POUR DIRE QU'IL NE SOUTIENT PAS SIDI OULD CHEIKH ABDALLAHI. EN D'AUTRES TERMES, ILS DEMANDENT AU CMJD DE METTRE FIN A' SA NEUTRALITE' EN SE PRONONCANT SUR LA CANDIDATURE DE SIDI OULD CHEIKH ABDALLAHI. Si le CMJD dit qu'il ne soutient pas Sidi OULD CHEIKH aBDALLAHI, CELA VEUT TOUT SIMPLEMENT DIRE QU'IL SOUTIENT UN AUTRE CANDIDAT.

LE CMJD DOIT RESTER NEUTRE EN REFUSANT DE SE PRONONCER SUR CETTE AFFAIRE!

18 janvier, 2007 22:21  
Anonymous Anonyme said...

Il faut lire "...il tienT..."

18 janvier, 2007 22:23  
Anonymous Anonyme said...

a l'hanonye de 18:17
mauritanien de 34 ans et maure (comme tu le precise) pour savoir que c'est vrai ou faux que 28 negros mauritaniens ont ete pendu la veille d'une des fetes de l'independence (28 novembre) je crois que tu devrais poser la question a Ould Taya.

18 janvier, 2007 22:24  
Anonymous Anonyme said...

هنالك كذاب يبدو من كتابته انه أحد آلمودات الغرب ، هذا الكذاب لا أعرف لمن يوجه كلامه تكلم عن العبودية بيع الرقيق واسواق النخاسة....... نحن في موريتانيا نحتقرك ببساطة لانك كذاب .ولكننا ضد الميثاق واعلي .ومع ذلك فلن نقبل بمن يكذب زورا وبهتانا علي بلدنا رغبة في دريهمات يجود بها الغرب علي الشحاذين من امثالك... اف لك .
ه}لاء الذين يتكلمون عن العبودية في موريتانيا وكأنها لازالت قائمة لم اسمع احد منهم يوما واحدا يتكلم عن العبودية في مجتمع البولار والسوننكي ....... ولا عن التمييز العنصري حتي في المقابر .....
أقسم بالله -غير حانث-ان المقابر عند البولار والسوننكي درجات فهناك مقبرة خاصة بمن يعتقدون انهم نبلاء ومقبرة خاصة بالعبيد والصناع وايكاون.....
مجتمع البظان حتي في العقود الماضية لم يميز بين الناس في المقابر.

18 janvier, 2007 22:39  
Anonymous Anonyme said...

هنالك كذاب يبدو من كتابته انه أحد آلمودات الغرب ، هذا الكذاب لا أعرف لمن يوجه كلامه تكلم عن العبودية بيع الرقيق واسواق النخاسة....... نحن في موريتانيا نحتقرك ببساطة لانك كذاب .ولكننا ضد الميثاق واعلي .ومع ذلك فلن نقبل بمن يكذب زورا وبهتانا علي بلدنا رغبة في دريهمات يجود بها الغرب علي الشحاذين من امثالك... اف لك .
ه}لاء الذين يتكلمون عن العبودية في موريتانيا وكأنها لازالت قائمة لم اسمع احد منهم يوما واحدا يتكلم عن العبودية في مجتمع البولار والسوننكي ....... ولا عن التمييز العنصري حتي في المقابر .....
أقسم بالله -غير حانث-ان المقابر عند البولار والسوننكي درجات فهناك مقبرة خاصة بمن يعتقدون انهم نبلاء ومقبرة خاصة بالعبيد والصناع وايكاون.....
مجتمع البظان حتي في العقود الماضية لم يميز بين الناس في المقابر.

18 janvier, 2007 22:39  
Anonymous Anonyme said...

هنالك كذاب يبدو من كتابته انه أحد آلمودات الغرب ، هذا الكذاب لا أعرف لمن يوجه كلامه تكلم عن العبودية بيع الرقيق واسواق النخاسة....... نحن في موريتانيا نحتقرك ببساطة لانك كذاب .ولكننا ضد الميثاق واعلي .ومع ذلك فلن نقبل بمن يكذب زورا وبهتانا علي بلدنا رغبة في دريهمات يجود بها الغرب علي الشحاذين من امثالك... اف لك .
ه}لاء الذين يتكلمون عن العبودية في موريتانيا وكأنها لازالت قائمة لم اسمع احد منهم يوما واحدا يتكلم عن العبودية في مجتمع البولار والسوننكي ....... ولا عن التمييز العنصري حتي في المقابر .....
أقسم بالله -غير حانث-ان المقابر عند البولار والسوننكي درجات فهناك مقبرة خاصة بمن يعتقدون انهم نبلاء ومقبرة خاصة بالعبيد والصناع وايكاون.....
مجتمع البظان حتي في العقود الماضية لم يميز بين الناس في المقابر.

18 janvier, 2007 22:39  
Anonymous Anonyme said...

هنالك كذاب يبدو من كتابته انه أحد آلمودات الغرب ، هذا الكذاب لا أعرف لمن يوجه كلامه تكلم عن العبودية بيع الرقيق واسواق النخاسة....... نحن في موريتانيا نحتقرك ببساطة لانك كذاب .ولكننا ضد الميثاق واعلي .ومع ذلك فلن نقبل بمن يكذب زورا وبهتانا علي بلدنا رغبة في دريهمات يجود بها الغرب علي الشحاذين من امثالك... اف لك .
ه}لاء الذين يتكلمون عن العبودية في موريتانيا وكأنها لازالت قائمة لم اسمع احد منهم يوما واحدا يتكلم عن العبودية في مجتمع البولار والسوننكي ....... ولا عن التمييز العنصري حتي في المقابر .....
أقسم بالله -غير حانث-ان المقابر عند البولار والسوننكي درجات فهناك مقبرة خاصة بمن يعتقدون انهم نبلاء ومقبرة خاصة بالعبيد والصناع وايكاون.....
مجتمع البظان حتي في العقود الماضية لم يميز بين الناس في المقابر.

18 janvier, 2007 22:39  
Anonymous Anonyme said...

السيد اكس الرجاء تسليط الضوء علي التمييز العنصري الذي يتعرض له اخوتنا في الدين والوطن علي يد من يدعون انهم اسياد .هل تعلم أن سكان سلبابي من البولار والسوننكي تمارس عليهم ابشع انواع العنصرية والتمييز من طرف بني جلدتهم.
مثلا لايستطيع العبد عند افلان التحدث بحضور احد اسياده ولايستطيع الجلوس معه ولا الصلاة في المسجد معه والادهي والامر التفريق حتي في المقبرة يا ناس شوفو درجة العنصرية.ومع ذلك يتهمون الاخرين بالعنصرية........لعنة الله علي الكاذبين

18 janvier, 2007 22:47  
Anonymous Anonyme said...

العنصرية عند مجتمع الفلان لايمكن تصورها ضد بني جلدتهم من البولار فما بالك مع الاخرين هؤلاء الناس لايفكرون الا بمنطق العرق والعنصر .
والاجدر بنا جميعا ان نحارب الميز العنصري الذي تتعرض له شريحة واسعة من البولار علي يد اسيادهم من نفس المجموعة
لا للتمييز في المقابر والمساجد كمرحل

18 janvier, 2007 22:54  
Anonymous Anonyme said...

لا للاضطهاد الذي يتعرض له قسم من اخوتنا البولار علي يد من يدعون انهم اسيادهم ولنحارب كخطوة اولي التمييز في المقابر والمساجد وبعد ذلك لكل مقام مقال

18 janvier, 2007 23:07  
Anonymous Anonyme said...

لا للعنصرية ضد الممارسة من طرف البولار علي من يعتبرونهم عبيدا وصناعا .....لاللتمييز في المساجد والمقابر

18 janvier, 2007 23:09  
Anonymous Anonyme said...

لا للتمييز بجميع اشكاله ولكن اولا لاللتمييز في المقابر والمساجد لا لهذا النوع اولا........

18 janvier, 2007 23:12  
Anonymous Anonyme said...

يا أخي، معروف لدى القاصي والداني أن السواد الأعظم من الطبقة السياسية في مجتمع "لكور" هم أناس عنصريون. ومعروف أيضا أن عامتهم تعيش نظاما طبقيا تفاوتيا منقطع النظير في العالم، وهو لا يزال قائما حتى الساعة. لكن هذا كله لا يستحق كل هذا التكرار والنسخ واللصق. أتعبتنا كثيرا بنسخك المتكرر لنفس الفكرة، هل تتجاوز إلى شيئ آخر، من فضلك.

18 janvier, 2007 23:28  
Anonymous Anonyme said...

diamanelémé a dit...
a l'hanonye de 18:17

j'ai une autre suggestion à faire.
Au lieu de demander à Taya qui était dans son palais, faudrait plutot demander à Ely, car c'était lui le bras droit de Taya, directeur de la sécurité.

Il va sans dire que les ordres ont OBLIGATOIREMENT transité par lui.
Rien ne se faisait sans son aval, et si ça se trouve, Taya l'ignorait même.

Faut bien se rendre à l'évidence, et cela on a tendance à l'oublier totalement, qu'aucune arrestation ne pouvait se faire sans l'aval d'ELY OULD MOHAMED VALL, le président actuel du CMJD, aucune exécution ne pouvait se faire sans son aval.

Réfléchissez donc un peu !
Vu le poste qu'il occupait, TOUT transitait par lui, quand ce n'était pas lui même le commanditaire.

Quand je pense qu'aujourd'hui il a été reçu et honoré par des grands de ce monde, que les mauritaniens l'ont acclamé au mois d'aout 2005, quelque part je me dis que ce monde est fou, TOTALEMENT FOU

C'est à méditer cher(e)s ami(e)s

19 janvier, 2007 00:22  
Anonymous Anonyme said...

AHMED OULD DADDAH N'EST PAS OBSSEDE PAR LA PRESIDENCE DE LA MAURITANIE CONTRAIREMAENT A CE QUE BEAUCOUP D'ENTRE NOUS PENSENT. C'EST UN HOMME PROFONDAIMENT PATRIOTE QUI AIME SON PAYS QUI A ETE RUINE PAR L'IGNORANT TAYA. AHMED DONC, DANS MES YEUX NE VEUT PAS ETRE N'IMPORTE QUEL PRESIDENT, IL VEUT CHANGER LE PAYS ET PAR CONSEQUENT IL VEUT ETRE UN "GREAT PRESIDENT" CES ACTIONS VONT DANS CE SENS LA.

19 janvier, 2007 00:40  
Anonymous Anonyme said...

OS A DIT
diamanelémé
TU AS PARFAITEMENT RAISON.
I AGREE WITH YOU, ELY IS THE CRAB.

19 janvier, 2007 01:39  
Anonymous Anonyme said...

salam
Mauritanie un pays qui a la cote la plus poissoneuse du monde,un mine de fer , le petrole, le gaz mais reste le pays le plus desorganisé du monde ou la moitié de la population est extreme pauvre. Un pays ou ya pas des infrastructure: pas des grande avenue, manque d'eau potable, transport urbain et entre les villes , electricité etc
une capitale sale ya pas d'evacuations des eaux usées exemple le carrefour de polyclinique comment se fait un pays petrolier qui n'arrive pas à regler ce petit probleme? comment se fait un pays qui a toute ses ressources é arrive pas à construire une université digne de ce nom? et qui n'arrive pas à regler le petit robleme de bourse de ses etudiant cmmt un pays petrolier qui depend jusqu' à present à ses voisin pourtant qui n'ont pas bcp des ressources? cmmt se fait un pays comme la Mie qui n'a meme pas des stades pourtant ya des petit en afrique qui ont organisé la coupe d'afrique exemple le Mali et le Faso qui ont encore accueilli les grande rencontres internationales (les sommet France Afrique, les sommets de la Frncophonie,UA etc)
Nouakchott reste la capitale la plus sale du monde pas de lotissement, pas des grande avenue, tu vois des anes à coté des ministere
Regarder nos voisin le Maroc , la Tunisie , le Senegal etc
vraiment c'est la honte, c'est la honte c'est la honte
je vous pose la question est ce la Mauritanie va changer ? quant? et comment?

19 janvier, 2007 02:11  
Anonymous Anonyme said...

slu
Mr vous avez raison c'est meme honteux de dire que Nouachott est la capitale ya rien d'extraordinaire pas des avenue pas des espace vert même les belles mosqués sont entourées pars les boutiques ex: la mosqué marocaine.
de bus en tetanos et des surcharge sauvage, des taxis pourri ya pas d'organisations ya pas de toillette publique partout des urines
ca ne change pas
la meilleure solution c'est de diviser le pays en quatre partie une pour le Maroc une pour le Senegal une le Mali et une pour l'Algerie chacun va travailler au bout d'un an son morceau vous allez voir y'aura un changement brutal

19 janvier, 2007 02:33  
Anonymous Anonyme said...

l'anoyme dit ; ya po de et ya po de
oui je suis tout a fait d'accord
mais aulieu de diviser le pays en quatre partie ENVOYEZ TOUT LE MONDE EN STAGE POUR APPRENDE A NE PAS TRAHIR NI VOLER NI MENTIR NI TOURNER SA VESTE NI PICER DANS LA RUE NI NI ........
APRES LE STAGE DE CINQ CENT ANNEE ON RETOURNE VERS LE PAYS ET ON CHANGE TOUT OK

19 janvier, 2007 02:48  
Anonymous Anonyme said...

LES INTELLO NE PICENT PAS DANS LA RUE
MAIS IL FONT PIRE PILLER LES DERNIERS DE LETAT AVEC CIVISME ET RESPONSABILITE
LETA LUI AUSSI PICE SUR LES PAUVRE
EN LEUR BAISANT A CHAKE FOI COMME PAR EXEMPLE LES PELERIN
MAIS AVANT TOUT IL EST ABSOLUMENT CRUCIAL POUR ORGANISER UN MINI PAYS
AU MOINS FERMER LE CHN CAR C UNE VERITABLE BOUCHERIE!!!!!!!!!!!!!!!!!
PUNIR TOUT PRETENDANT A LA MEDECINE
LES GENS AYANT DES DIPLOME DANS DES PAYS ARABES DOIVENT ETRE MIS SOUS EXTREME SURVEILLANCE ET INTERDIT DOUVRIR AUCUN POSTE MEDICAL
INTERDIR LA LANGUE ARABE DANS TOUT LE PAYS CAR (mazzat mahou legmall)ELLE NAFAIT QUE PERPETUER LES PRATIQUES SAUVAGES DE LA PREHISTOIRE
INTERDIRE CE MOT islamiste CAR TOUT LE MONDE EST MUSUL
et envoyer les deja arabisant en france pour 2x13 annees de stage de bonne conduite ........................................;

19 janvier, 2007 02:59  
Anonymous Anonyme said...

Si les Mauritanien malgré les ressources qu' ils sont le fer, le poisson, le petrole et le gaz et il n'arrivent pas à eradiquer la pauvreté, faire des infrastructure etc vaut mieux vendre ou confier le pays a un pays voisin ou autre
ou sont les jeune cadre ? ou sont les jeune diplomé ?

19 janvier, 2007 03:12  
Anonymous Anonyme said...

OS A DIT
TOUT LES JENES CADRES SONT MAGINALIES .TOUT LES CADRES NOIRES SONT DES LES OUBLIETTES.

19 janvier, 2007 03:35  
Anonymous Anonyme said...

le pays des cent et un dalmatien
des mille et une nuit
de alibaba et les quarante voleur

19 janvier, 2007 04:11  
Anonymous Anonyme said...

LI YIBKHI YEKHLEB SAHBOU YIJENENE RASSOU!

La machine de Sidi Ould Cheikh Abdallahi est tres forte. La seule maniere de l'arreter est d'exiger a' ce que le CMJD disqualifie la candidature de ce Mr..

CHEIKH SIDI TAHAR MECHILI UNE CASSETTE DE BAKAR CHEIKH!

L'autre solution serait de demander au CMJD de dire qu'il n'aime pas Sidi Ould Cheikh Abdallahi.

HADRAMY, MECHI LI UNE CASSETTE DE LIBLEIDA!

La troisieme solution est de pousser le CMJD a' dire que Sidi Ould Cheikh Abdallahi ne peut pas danser le KNOU, DE CE FAIT, il ne peut pas diriger la Mauritanie.

Mohamed Chi, MECHI LI UNE CASSETTE DE TEGRE'!

La quatrieme solution serait d'organiser un concours de danse. Seule la danse KLAH sera au programme.

HAMETE' tu diras a' notre epouse LALE' de m'envoyer une cassette de la musique KLAH! C'est d'ailleurs a' cause d'elle et de Mohamed Bourbosse que je reserve toujours une place pour notre HRITE NATIONAL, Messaoud Ould Boulkher dans mes ecrits.

J'arrete mes betises! Les choses sont tres serieuses, les pauvres cherchent a' manger. Le reste n'est que de la foutaise!

19 janvier, 2007 04:15  
Anonymous Anonyme said...

Ely parle trop,
A mon avis, les CMJD n'a jamais chargé notre moustachu de dire qu'ils n'étaient au pouvoir que pour une transition. C'est lui qui a trop parlé. en effet, ayant plus ou moins grandi au Sénégal, ely a évolué dans un milieu ou l'on essaie toujours de trop parler pour impressionner l'adversaire. C'est ainsi qu'au lendemain du coup d'état que notre sénégalais a tellement parlé qu'il a fait des promesses qu'il n'arrive pas à honorer. De toutes les façons qui est Ely pour honorer ses paroles? Ils s'agit tout juste ni plus ni moins qu'un petit filou des filous de Maawiya, un voluer parmi les voleurs de Maawiya. Croyiez vous q'un traitre qui a trahi son propre maitre ne trahirait pas ce petit peuple qui est d'ailleurs toujours docile et le restera toujours. Ely est habitué au mécontentement des mauritaniens. On déscend dans la rue pour quelques heures, on se défoule et tout est fini après

19 janvier, 2007 07:23  
Anonymous Anonyme said...

A.O.K ,

nous attendons vivement la suite sur "les busbah" arrivage nouveau!!!!!

19 janvier, 2007 08:31  
Anonymous Anonyme said...

En lisant tous les commentaires ici,il me semble qu'il y a une bonne dose de malhonnêteté intellectuelle.En effet pour ne citer que le sujet des débâts relatif au CMJD,il me paraît plus logique d'attendre la fin de la transision pour juger le CMJD.Si,en Mars les élections se passent normalement et le pouvoir est remis à celui qui sortira vainqueur des élections,je crois que le CMJD meritera une médaille d'honneur,quelles que soient par ailleurs ses "petites" erreurs de parcours.Si,au contraire,le CMJD ne tient pas ses promesses(et ce ne sont pas nos critiques fondées ou pas qui vont l'empêcher de le faire,s'il en a déjà l'intention),alors vous serez dans votre droit d'attaquer sévérement le CMJD,membre par membre...
A+

19 janvier, 2007 10:28  
Anonymous Anonyme said...

le blog de xoy a repris la forme.
les commentaires insultant,les "coucou",et surtout les msniens,ne se lisent plus*.
ca me fait trés plaisir,car pour moi cette fenetre est plusque sacré.

Tout pour une mauritanie nouvelle,et un debat utile!

un fan dy

19 janvier, 2007 10:52  
Anonymous Anonyme said...

A.O.K

T'es génial.

T'es X (tremement) genial.

Trop fort X.

19 janvier, 2007 11:07  
Anonymous Anonyme said...

hey Anonyme membre par membre ela ente
gaysine ela Ely lol

19 janvier, 2007 11:08  
Anonymous Anonyme said...

el nagro calde a dit:

hey Anonyme membre par membre ela ente
gaysine ela Ely lol

Membre par membre ela ente:je n'ai rien compris
gaysine ela Ely:d'accord,mais attendez que la période de transition se termine pour le juger,sinon vous serez injuste!!!

19 janvier, 2007 11:20  
Anonymous Anonyme said...

Mindrich
Savez-vous pourquoi, au-delà de sa crainte de se faire lyncher par les gens auxquels il s'en est pris , parfois gratuitement, x-ould-y se camoufle?
Parce qu'ils vous en a rempli les oreilles avec les louanges de Ould Taya avant de changer de veston en 2004.
Ceux qui se doutent de sa véritable identité, savent que son combat n'est pas celui des opprimés.
Un ex-copin de l'école Annexes de x-ould-y

19 janvier, 2007 11:20  
Anonymous Anonyme said...

la meilleure solution de faire sortir la mauritanie de cette situation critique et pauvreté qui vient de se cacher donc est de rester sous le pouvoir des militaire (CMJD)ou choisir sidi o/ cheikh abdellahi pour qu'il puisse nous faire sortir du mauvais héritage pauvre des anciens présidents de notre pays qui ont tout fait pour réculer notre peuple pour qu'ils restent toujour pauvre mais comme ce que vous voyéez maintenant Ely o/ Mohamed vall a put amélioré la situation de notre pays dans une courte période dans des situation très graves dans le monde entier; c'est pour la premère fois dans notre pays le prix des hydrocarbures baisse.

19 janvier, 2007 11:24  
Anonymous Anonyme said...

DSF a dit:l'heure de vérité arrive enfin, la réalitré en face mes fréres et soeurs,ouvrons les yeux mes chérs compatriotes qui venlent une mauritanie unie dans sa diversité culturelle,ou chacun gagnera son pain.

la Mauritanie apparaît comme un pays tranquille, calme, sans problème majeur, stable même aux dires de ses dirigeants. C'est une image trompeuse qui égare bien des observateurs ; la Mauritanie est un pays complexe, secret, un volcan endormi, qui couve une crise interne découlant des relations d'équilibre intercommunautaire, aujourd'hui rompues.
Cette perception première, trompeuse à souhait, est due au fait qu'à l'image de beaucoup de pays africains depuis le discours de la Baule, la Mauritanie, elle aussi, dispose de sa " démocratie". Avec une constitution (sur mesure) des partis politiques qui foisonnent, une presse écrite dite "indépendante" mais je préfère dire "presse privée" et de temps à autre, un simulacre de compétition électorale, pour compléter le tableau ; ce sont bien là des attributs, pour qui n'est pas averti, d'une parfaite démocratie, et l'on se croirait dans un pays où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Nos plaintes et nos réserves à l'endroit de notre"démocratie" mauritanienne ne seraient pas alors comprises. Et pourtant ! La Mauritanie recouvre une tout autre réalité, dissimule une face cachée de démocratie raciale !
Telle est la réalité que bien des gens ne comprennent pas. Et pour la faire comprendre il nous faut faire un détour, un long détour, remonter quelque peu le cours de l'histoire récente du pays .

Il est nécessaire de rappeler que la Mauritanie est un Etat conventionnel, artificiel, créé de toutes pièces pour les besoins du colonialisme français en 1904, je vous fais l'économie de la géopolitique de l'époque. La France, par sa volonté, décida donc de faire coexister, dans un même espace, deux communautés, arabo-berbère et négro-africaine, deux communautés, il faut le souligner, qui s'étaient forgées chacune au cours de l'histoire dans un espace autonome, régies par des pouvoirs politiques spécifiques, indépendantes l'une de l'autre. Elles entretenaient naturellement, du fait de la proximité, des relations tantôt amicales, le plus souvent heurtées à cause des incessants rezzous maures opérés, pillant et capturant la population des villages à des fins d'esclavage (origine, entre autres, de la composante haratine actuelle). Depuis l'indépendance, nos chefs politiques, incapables de se départir de l'esprit partisan, tous issus du milieu maure, se sont attelés sans
relâche à développer,tour à tour, des politiques qui, loin de forger la nation encore inexistante, ont conduit à des crises cycliques, répétées, à une déchirure profonde entre les deux communautés.
Par ces politiques nocives développées au fil des années et des régimes que guidait un système inique, on mit en place un apartheid déguisé. Je dis déguisé car on le chercherait en vain dans les textes institutionnels alors qu'il existe partout, pour peu qu'on observe.

Le racisme d'Etat est partout Cette discrimination raciale commença d'abord feutrée, subtile, insidieuse, pour un projet qui allait devenir obsessionnel : construire une Mauritanie exclusivement arabe !
Pour ce faire, des mécanismes furent mis en oeuvre pour que l'Etat soit la"chose" des arabo-berbères ; progressivement, au rythme des résistances qu'opposaient les négro-Africains, ont fit de sorte que les Arabo-Berbères contrôlent la réalité du pouvoir politique et économique, la justice, l'éducation, l'armée.

La diplomatie ne sera pas en reste ; à l'extérieur , il faut afficher l'image d'une Mauritanie arabe par la composition des délégations, le discours et les clichés culturels, il faut gommer totalement l'autre "personnalité" de la Mauritanie. Évidemment, pour masquer la nature discriminatoire des régimes, on va saupoudrer un peu quelques nègres de service, sans responsabilité aucune, personnalités aux genoux tremblants, figurines sans aucun pouvoir de décision !

Un des rouages essentiels de cette machine à discriminer fut l'usage qu'on fit de la langue arabe.Cette langue, introduite très tôt dans le système éducatif... à des fins" d'indépendance nationale", disait le discours officiel ! Vaste supercherie, qui visait en fait à cacher des motivations sordides. On lui fit jouer un rôle non pas d'intégration, non pas d'épanouissement pour tous, mais d' instrument de sélection et de discrimination dans l'emploi et l'éducation pour éliminer les négro-Africains. Les enfants négro-africains commencèrent à échouer massivement. Ce fut la période où il y eut un raz-de-marée sans précédent de cadis, de magistrats, d'enseignants, des centaines de jeunes sautant à pieds joints dans le système, sans aucune formation, et dont le seul critère de recrutement imposait un passage par l'école coranique. Comme si passer par cette école entraînait automatiquement les compétences et les capacités requises ! Un vrai gâchis au plan national, à la base de
l'impasse et de la déchéance actuelle du système éducatif. Ce fut donc le prélude à la rélève des négro-Africains, le commencement de leur marginalisation massive, qui allait se poursuivre et atteindre son apogée avec l'avènement du colonel Taya . Bien entendu, au fur et à mesure des réformes impopulaires et imposées, des réactions d'hostilité ne manquèrent pas de s'exprimer du côté négro-africain. Les réformateurs marquaient alors un temps d'arrêt ; en fins stratèges ils donnaient du mou à la ligne, pour laisser passer l'orage, et obstinément le projet était poursuivi. Beaucoup d'observateurs, se méprenant alors sur le sens de ces crises, les présentaient, à tort, comme des crises inter-ethniques, comme si les communautés arabo-berbère et négro-africaine se dressaient, par animosité, l'une contre l'autre. Ce ne fut jamais le cas. Ces crises étaient à l'image de ce qui se passait au Kwazulu-natal du temps de Botha. Elles étaient orchestrées par nos dirigeants à
des fins politiques, ils les exploitaient alors à chaque fois et judicieusement ; ils les présentaient, en milieu maure, comme des menaces graves aux intérêts et acquis maures, de manière à créer autour d'eux un consensus. Ce fut le cas pour les évènements de 1966, de 1987 et de 1989 pour ne citer que les plus graves et les plus douloureux. Ce n'est pas par hasard si la déportation de 120 000 noirs mauritaniens au Senégal et au Mali ne suscita que peu d'émoi du côté des intellectuels et de la classe politique beydane, où l'on remarquait un silence assourdissant.
Si, par ailleurs, des blancs risquèrent leur vie ou se firent pendre (aux USA avec l'underground) pour la cause des faibles, ce ne fut pas le cas en Mauritanie pendant ces terribles déportations. Seuls quelques jeunes du Mouvement des démocrates indépendants (MDI) allaient faire exception. Or, j'ai toujours eu le sentiment que l'intellectuel ressemblait davantage à Zola qu'à Gobineau ou Goebbels, et qu'il ne pouvait rester sans rien faire, sans rien dire devant l'injustice.

Pourquoi un tel silence ? Le régime du colonel-président avait-il réussi à les convaincre ? C'est là du reste une dimension, entre autres, qui rend malaisée la recherche d'une solution au problème, au regard de l'ambiguïté de ces formations politiques sur notre question nationale. Certaines formations, si elles ne nient pas purement et simplement l'existence du problème, le réduisent à une simple question linguistique, ou de violation des droits de l'homme. A les entendre il suffirait, pour tout régler, que les déportés reviennent. Le débat, en général, dans l'opposition politique, au lieu de se focaliser sur les vrais problèmes, tourne hélas autour de questions périphériques. En tout état de cause, ces déportations planifiées, aux relents de nazisme, avaient des motivations sordides. Il s'agissait de profiter du "conflit" avec le Sénégal pour tenter de "dénégrifier" le pays, car le taux d'accroissement important des négro-Africains est devenu une hantise, au
point que tous les résultats des recensements démographiques (par ethnie) sont tenus secrets et ceci depuis 1960 ! Il s'agissait aussi de saisir cette occasion pour faire passer enfin une réforme foncière qui rencontrait une forte résistance en milieu négro-africain, pour servir des intérêts inavoués. La déportation, justement, permit de redistribuer la terre, et les terres de ces réfugiés en exil forcé au Sénégal, comme s'ils ne devaient plus jamais revenir ! Il s'agissait enfin de frapper les esprits en sévissant durement et partout pour intimider, afin de décourager à jamais toute velléité de résistance, en décapitant la seule force politique organisée que sont les FLAM, de manière à neutraliser l'avant-garde éclairée de la contestation du projet hégémonique. Dans le feu des événements allait surgir une quatrième raison : récupérer le bétail peulh ( 150 000 bovins ) pour compenser les pertes matérielles subies par les Maures rapatriés du Sénégal. Pour se venger
du Sénégal voisin, les autorités mauritaniennes allaient se rabattre, sans remords, sur leurs propres citoyens qu'elles spolièrent et dépossédèrent pour les chasser ensuite comme de "vulgaires étrangers". Quelle ignominie ! Et dire que l'Afrique se tait devant ces actes barbares, ici et au Soudan ! Et qu'à côté, on garde un silence, à la limite de la complicité. Mais revenons après cette digression, que j'ai crue utile, au fil chronologique de notre marginalisation.
Ainsi donc, au fil des années et des régimes guidés par un même projet, la discrimination raciale allait s'accentuer, pour s'afficher violemment dans les années 1980. Si, avec les premiers régimes, un peu plus futés, elle fut feutrée, sous le règne du colonel Taya qui, lui, ne s'embarrassera pas de scrupules, les négro-Africains passeront de l'état de marginalisation à l'exclusion totale ouvertement déclarée, dans laquelle il faut replacer les déportations évoquées plus haut.

Le colonel Taya allait, le premier, donner le cadre juridique de notre élimination par une constitution qui imposerait désormais la langue arabe comme seule langue officielle. Mesure certainement légitime pour la communauté arabo-berbère, mais injuste pour les négro-africains de l'aveu même de Hamid El Mauritanyi, connu sous le nom de Mohamed Ould Cheikh, ancien ministre de la Défense de Daddah, qui disait : " Vouloir que ceux qui savent à quoi s'identifier abandonnent leurs valeurs propres pour être embrigadés dans l'aventure de ceux qui se cherchent une identité est non seulement de l'arbitraire, mais d'une politique culturelle imbécile." Les plans d'ajustements structurels du FMI, arrivant à point nommé, servirent pour vider l'administration des négro-Africains, surtout. Résolu, par une répression physique et mentale féroce, sans tergiverser comme ses prédécesseurs,Taya allait, à marche forcée, consolider le système et afficher l'option désormais déclarée d'une
Mauritanie exclusivement arabe. " La Mauritanie n'est pas en voie d'arabisation, c'est un pays arabe", devait-il déclarer à Jeune Afrique en janvier 1990. J'avais besoin de ce détour pour montrer les conditions prévalant en Mauritanie, à la veille de la fameuse démocratisation... pour que l'on comprenne que la Mauritanie n'a pas été et n'est pas comme les autres pays africains que balaie le vent démocratique. Ici, on a affaire à une minorité arabe qui, pour pérenniser son pouvoir, abuse de l'Etat et use d'une politique à soubassement idéologique pour assimiler et asservir les autres composantes culturelles, une minorité qui confisque le pouvoir depuis près de quarante-cinq ans, qui ne veut ni l'abandonner, ni le partager. Le contexte dans lequel arrivent notre"démocratie" et le "coup d'Etat " du 3 août 2005, c'est celui-là. Notre "démocratie" arrive donc et se plaque sur cette triste réalité qu'elle recouvre, intacte, sans rien changer, se muant ainsi en
une "démocratie raciale", à la manière de l'antique Afrique du Sud ; il suffit de gratter un peu pour découvrir derrière le racisme le plus hideux, l'exclusion la plus brutale, l'esclavage le plus primaire. Maintenant, vous pouvez comprendre pourquoi les négro-Africains se plaignent (légitimement de leur "démocratie"... qui n'est pas comme les autres. Nous ne nous sentons pas concernés par cette pseudo-démocratie qui nous exclut, nous avons cessé de croire en notre" Etat ", on a fait de nous des spectateurs passifs du jeu de compétitions électorales réservées... aux citoyens (blancs) à part entière. Du reste, on tend de plus en plus à une bipolarisation raciale du champ politique. En Mauritanie, on est dans une phase en-deçà de ces démocraties, même tarées, qu'on retrouve ailleurs, et que nous envions, et pour cause ! Nous sommes, nous, négro-Africains, au stade où nous luttons pour notre survie, pour notre reconnaissance en tant que citoyens, en tant qu'hommes
simplement, dans un milieu hostile où l'homme voue l'homme au racisme et à l'esclavage. Notre "démocratie" est assise sur la tête qu'il faut redresser.

J'ai le sentiment qu'on a mis les charrues avant les boeufs, et qu'il n'est pas encore trop tard pour bien faire. Il est temps de comprendre que l'exclusion est en soi économiquement mauvaise, socialement corrosive, politiquement explosive.
Comprenons qu'une " nation dispersée, battue, humiliée peut (heureusement) toujours se rebeller contre son sort et revenir à la vie". Tentons dès à présent de sortir de ce cul-de-sac qui, tout le monde le sait, ne mène nulle part. Pour en sortir, il faut, à mon avis, une attitude, un climat et des conditions.

Une attitude courageuse, d'ouverture sincère et de reconnaissance du problème de fond.

Un climat de décrispation sociale grâce à un train de mesures positives à l'endroit de tous ceux qui, victimes et blessés dans leur chair, ont subi des préjudices matériels et moraux. La sanction des crimes commis pour rendre leur dignité aux victimes, à leurs veuves et à leurs enfants. Je crois qu'il faut se parler, car ce formidable potentiel de révolte enfouie commence à gronder. Il serait erroné de croire que vingt années de calme plat peuvent exclure toute éventualité de soulèvement populaire. Après seulement ce forum, dont les conclusions pourraient éventuellement être soumises au peuple, comme l'ont proposé les véritables FLAM, on aborderait enfin la phase d'une véritable démocratisation.

D.S.F (vérité et lumiére)@+

19 janvier, 2007 11:25  

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